Montignac-le-Coq

Montignac-le-Coq
Montignac-le-Coq
L'église de Montignac-le-Coq.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Alain Desert
2020-2026
Code postal 16390
Code commune 16227
Démographie
Population
municipale
137 hab. (2021 en évolution de +0,74 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 15″ nord, 0° 13′ 26″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 191 m
Superficie 10,20 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montignac-le-Coq

Montignac-le-Coq (Montinhac en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation et accès

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Montignac-le-Coq est une commune du Sud Charente, située non loin du département de la Dordogne, à 9 km au nord d'Aubeterre et 35 km au sud d'Angoulême.

Montignac est aussi à 10 km au sud-est de Montmoreau, 11 km à l'ouest de Verteillac, 13 km au nord-ouest de Ribérac et 16 km au nord-est de Chalais[1].

La route départementale D 709 de Montmoreau à Saint-Séverin et Ribérac traverse la commune, ainsi que la D 19 qui va au nord vers Angoulême en empruntant la ligne de crête. La D 78 traverse le bourg en direction d'Aubeterre[2].

La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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La commune compte de nombreuses fermes et de petits hameaux, comme Labreuille au sud-est, Servolle, les Loges et les Rides à l'ouest, le Cadusseau au nord du bourg, etc. La mairie est située près du bourg à la Croix du Cadusseau[2].

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Montignac-le-Coq
Juignac Salles-Lavalette
Pillac Montignac-le-Coq Palluaud
Saint-Séverin

Géologie et relief

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Géologiquement, la commune est située dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur, comme toute la moitié sud du département de la Charente. On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale. La crête à l'extrême nord de la commune (Bel-Air) est recouverte de dépôts du Tertiaire composés de galets, sables et argiles, propice aux bois de châtaigniers[3],[4],[5].

Le territoire communal est assez vallonné et compose la Champagne charentaise qui s'étend entre le sud de Cognac et le Périgord blanc[6].

La commune occupe le versant oriental de la vallée de l'Auzonne, et les hauteurs sont regroupées à l'est et au nord. La ligne de crête séparant la vallée de l'Auzonne de celle de la Lizonne fait la limite orientale de la commune. Le point culminant est à une altitude de 191 m, situé sur la limite communale avec Salles et Juignac au nord. Le point le plus bas est à 62 m, situé le long de l'Auzonne en limite sud. Le bourg, perché sur un promontoire, est à 130 m d'altitude[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Montignac-le-Coq.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Auzonne, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est sur le bassin versant de la Dordogne, comme une grande partie du Sud Charente. L'Auzonne, qui se jette dans la Dronne entre Laprade et Nabinaud, borde la commune à l'ouest[9].. De nombreux petits ruisseaux affluents de l'Auzonne naissent et parcourent le territoire communal, qui comporte aussi quelques sources et fontaines, comme la Font Cuve, la Font Neuve, la Fontbureau, ainsi que quelques retenues d'eau[2].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Au , Montignac-le-Coq est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), forêts (14,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Montignac-le-Coq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montignac-le-Coq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 130 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 127 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 1999 et 2013. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2010 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Les formes anciennes sont Malniaco, in villa quae dicitur Malniaco Monte Galliniaco vers le XIe siècle[22], Montanhac en 1270[23].

Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine, fondée sur l'anthroponyme Mallonius auquel est apposé le suffixe -acum, c'est-à-dire *Malloniacum (Malniaco vers le XIe siècle) au sens de « domaine de Mallonius »[24]. Le nom dérive aussi du latin mons (colline), et d'un nom de personne Gallinius (Lecoq) avec le suffixe -acum[24]. L'introduction de Malniaco entre Monte (mont) et Galliniaco, a provoqué, par suite de la chute du M de Malniaco, la formation du nom de Montignac-le-Coq. Gallinius est la traduction savante de Lecoq, autrefois Lecoc, du bas latin d'origine gauloise coccum « coq »[25].

Au XVIIIe siècle, la paroisse est cartographiée Montignac le Cocq[26],[Note 1].

Limite linguistique

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La commune est dans le domaine occitan, et marque la limite avec la langue d'oïl (à l'ouest)[27]. Elle se nomme Montinhac en occitan[28].

Sous l'Ancien Régime, Montignac-le-Coq était une paroisse de l'Angoumois, alors que Palluaud était dans le diocèse de Périgueux[29].

Au XIXe siècle, on pouvait remarquer au Rigalaud, propriété viticole au sud du bourg, un tonneau pouvant contenir au moins 1 000 hectolitres. Ce tonneau a été vendu et démoli en 1910[30].

Administration

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La mairie en 2014.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
depuis 2001 En cours Alain Désert DVD Négociant en matériaux

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 137 habitants[Note 2], en évolution de +0,74 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
625634620530552572551563561
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
600557514532515505392383334
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
342320319291290303301261252
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
251224209162150140139131136
2020 2021 - - - - - - -
140137-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 68 hommes pour 71 femmes, soit un taux de 51,08 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,5 
90 ou +
2,8 
13,2 
75-89 ans
15,3 
26,5 
60-74 ans
20,8 
25,0 
45-59 ans
25,0 
8,8 
30-44 ans
8,3 
17,6 
15-29 ans
11,1 
7,4 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[37] et de l'AOC/AOP Noix du Périgord[38].

Équipements, services et vie locale

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Enseignement

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L'école était un RPI entre Montignac, Palluaud et Salles-Lavalette. Salles-Lavalette accueille l'école maternelle, et Montignac et Palluaud les écoles élémentaires, avec une classe unique chacune mais a fermé en 2016. Le secteur du collège est Montmoreau-Saint-Cybard[39].

Lieux et monuments

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L'église paroissiale de l'Exaltation-de-la-Sainte-Croix date initialement du XIe siècle. Elle a été remaniée par la suite, en particulier à la suite de l'effondrement de sa coupole[40].

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur l’église de Montignac.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. En Charente, il y a aussi Montignac-Charente, et Montigné au nord de la ligne des noms en -ac / -é,-ey,-ay,-y qui coupe la France d'est en ouest. Voir aussi Juillac-le-Coq, près de Segonzac.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Montignac-le-Coq » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
  6. Michel Vigneaux, Aquitaine occidentale, Paris, Masson, , 223 p. (ISBN 2-225-41118-2, lire en ligne), p. 48, 79
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Montignac-le-Coq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Auzonne »
  10. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Montignac-le-Coq », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montignac-le-Coq », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 12,13
  23. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 214
  24. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 477.
  25. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  26. Carte de Cassini, visualisable sous Géoportail
  27. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  28. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  29. Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, Volumes 40 à 41, Imp. Joucla, (lire en ligne), p. 77
  30. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 248
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montignac-le-Coq (16227) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  37. « AOC Grande Champagne, Grande Fine Champagne, Petite Champagne, Fine Champagne, Borderies, Fins Bois et Bons Bois », sur inao.gouv.fr, (consulté le ).
  38. Bulletin officiel du Ministère de l'Agriculture, « Cahier des charges de l'appellation d'origine « Noix du Périgord » » [PDF], (consulté le )
  39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  40. Société archéologique et historique de la Charente, Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente 1861, Nadaud, Angoulême, , 430 p. (lire en ligne), p. 258

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Articles connexes

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Liens externes

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