Oh My Darling, Clementine

Oh My Darling, Clementine est une ballade de musique folk américaine écrite en 1884 et généralement attribuée à Percy Montrose mais aussi parfois à Barker Bradford. Cette chanson s'inspirerait d'une plus ancienne, Down by the River Liv'd a Maiden, écrite en 1863 par Henry S. Thompson. Elle relate l'histoire d'un chercheur d'or qui aurait emménagé avec sa fille Clémentine dans un canyon. Cette dernière avait l'habitude d'emmener les canetons jusqu'au lac tous les matins. Mais un jour, elle tomba dans l'eau et se noya.

Anglais Français

Oh my darling, oh my darling
Oh my darling, Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine

In a cavern, in a canyon
Excavating for a mine
Dwelt a miner, forty-niner
And his daughter, Clementine

Oh my darling, oh my darling
Oh my darling, Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine

Light she was and like a fairy
And her shoes were number nine
Herring boxes, without topses
Sandals were for Clementine

Oh my darling, oh my darling
Oh my darling, Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine

Drove she ducklings to the water
Ev'ry morning just at nine
Hit her foot against a splinter
Fell into the foaming brine

Oh my darling, oh my darling
Oh my darling, Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine

Ruby lips above the water
Blowing bubbles, soft and fine
But, alas, I was no swimmer
So I lost my Clementine

Oh my darling, oh my darling
Oh my darling, Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine

How I missed her! How I missed her
How I missed my Clementine
But I kissed her little sister
I forgot my Clementine

Oh my darling, oh my darling
Oh my darling, Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine

Oh ma chérie, oh ma chérie
Oh ma chérie, Clémentine
Tu es perdue et partie pour toujours
Terriblement désolé, Clémentine

Dans une caverne, dans un canyon
Creusant pour une mine
Vivait un mineur, un de '49
Et sa fille, Clémentine

Oh ma chérie, oh ma chérie
Oh ma chérie, Clémentine
Tu es perdue et partie pour toujours
Terriblement désolé, Clémentine

Féerique et légère elle était
Et ses chaussures étaient n°9
Des boites de harengs, sans couvercles
Étaient les sandales de Clémentine

Oh ma chérie, oh ma chérie
Oh ma chérie, Clémentine
Tu es perdue et partie pour toujours
Terriblement désolé, Clémentine

Elle conduisait des canetons à l'eau
Tous les matins à neuf heures
Elle perça son pied contre une écharde
et tomba dans l'écume salée

Oh ma chérie, oh ma chérie
Oh ma chérie, Clémentine
Tu es perdue et partie pour toujours
Terriblement désolé, Clémentine

Lèvres couleur rubis au-dessus de l'eau
Faisant des bulles, douces et fines
Mais, hélas, je n'étais pas nageur
Alors j'ai perdu ma Clémentine

Oh ma chérie, oh ma chérie
Oh ma chérie, Clémentine
Tu es perdue et partie pour toujours
Terriblement désolé, Clémentine

Comme elle me manque! Comme elle me manque
Comme me manque ma Clémentine
Mais j'ai embrassé sa petite sœur
J'ai oublié ma Clémentine

Oh ma chérie, oh ma chérie
Oh ma chérie, Clémentine
Tu es perdue et partie pour toujours
Terriblement désolé, Clémentine

Dans la culture populaire

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Littérature

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Cette chanson est brièvement mentionnée dans La Ferme des animaux.