Le genre Oplismenus a été décrit par le naturaliste français Palisot de Beauvois en 1810 dans son ouvrage Flore d'Oware et de Benin. la même année le botaniste Robert Brown l'avait décrit sous le nom de Orthopogon, dansProdromus Florae Novae Hollandiae et Insulae Van Diemen.
Des formes panachées d’Oplismenus ont été cultivées comme plantes d'intérieur en Europe[4].
En Australie, des espèces locales ont été utilisées pour des actions de revégétalisation dans des zones ombragées ou humides, bien que certaines puissent être considérées comme envahissantes[5].
Certaines espèces ont été choisies comme plantes indigènes locales pour les jardins naturels[6] et comme plantes à gazon[7].
D'autres espèces sont consommées par le bétail[8].
↑(en) Ursula Scholz, Monograph of the genus Oplismenus (Gramineae), Hirschberg, Strauss & Cramer GmbH, , 213 p. (ISBN3-7682-1292-0, lire en ligne).
↑(en) Elliot, Rodger W., Jones, David L. et Blake, Trevor, Encyclopaedia of Australian Plants Suitable for Cultivation : Volume 7 – N-Po, Port Melbourne, Lothian Press, , 106–07 p. (ISBN0-85091-634-8).
↑(en) Charlotte Seidenberg, The Wildlife Garden : Planning Backyard Habitats, Univ. Press of Mississippi, , 200 p. (ISBN0-87805-835-4, lire en ligne).
↑(en) Stevie Daniels, Easy Lawns : Low Maintenance Native Grasses for Gardeners Everywhere, Brooklyn Botanic Garden, , 68 p. (ISBN1-889538-12-4, lire en ligne).
↑(en) Umberto Quattrocchi, CRC World Dictionary of Grasses : Common Names, Scientific Names, Eponyms, Synonyms, and Etymology, Volume 1, Boca Raton, CRC Press, , 1410–11 p. (ISBN0-8493-1303-1, lire en ligne).