Oradour-sur-Vayres

Oradour-sur-Vayres
Oradour-sur-Vayres
Blason de Oradour-sur-Vayres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Richard Simonneau
2020-2026
Code postal 87150
Code commune 87111
Démographie
Gentilé Oratoriens
Population
municipale
1 564 hab. (2021 en évolution de +2,76 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 00″ nord, 0° 52′ 04″ est
Altitude Min. 246 m
Max. 370 m
Superficie 39,09 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Oradour-sur-Vayres
Liens
Site web http://www.oradour-sur-vayres.fr/

Oradour-sur-Vayres (Orador de Vairas en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés Oratoriens.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie

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Situation de la commune d'Oradour-sur-Vayres en Haute-Vienne.

La commune se trouve dans l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart.

La commune se situe sur le Plateau du Limousin, dans le Massif central.

La commune d'Oradour-sur-Vayres a une superficie de 39,1 km2. La plus grande ville la plus proche est Limoges, qui est située à 33 km au nord-est.

Communes limitrophes d’Oradour-sur-Vayres[1]
Vayres Saint-Auvent
Saint-Bazile Oradour-sur-Vayres Saint-Laurent-sur-Gorre
Cussac Champagnac-la-Rivière

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Poitou-Charentes » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 105 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Champagnac-la-Rivière à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 189,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Oradour-sur-Vayres est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,5 %), prairies (36,8 %), forêts (20,1 %), terres arables (3,1 %), zones urbanisées (2,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Oradour-sur-Vayres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Oradour-sur-Vayres.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 19,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Oradour-sur-Vayres est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

L'origine du nom d'Oradour est le mot latin oratorium qui signifie oratoire, lieu consacré à la prière[19], qui a donné orador en occitan[Note 2]. Historiquement la commune fait partie de l'aire culturelle occitane.

Léon Roche, maire de 1921 à 1940 (destitué par Vichy le 3 octobre 1940)[20], est le seul parlementaire de la Haute-Vienne (député SFIO de l'arrondissement de Rochechouart) à ne pas voter les pleins pouvoirs à Philippe Pétain le 10 juillet 1940. Il entrera dans la résistance en 1941[21].

Le 2 mars 1943, des jeunes d'Oradour-sur-Vayres refusent de passer la visite médicale du Service du travail obligatoire et manifestent contre le régime de Vichy. Ils partent dans la forêt de Gaboureau y former un maquis, en creusant des caches dans le tuf[22],[23].

Jean Fredon (1911-1944), résistant, y fut fusillé avec le capitaine Raymond Faro, chef départemental de l’Armée secrète et sont enterrés à Oradour-sur-Vayres. Une stèle en leur honneur a été érigée dans la cour de l’ancienne prison de Tulle. Aujourd’hui devant une école primaire rappelle le souvenir de cette tragique disparition. Le nom de Jean Fredon a depuis été donné à une rue de Limoges.

L'après midi du , des résistants Francs-tireurs et partisans de St-Junien font dérailler un convoi ferroviaire allemand à Puymoreau, sur la ligne Rochechouart-Oradour-sur-Vayres[24]. Le 19 juillet, un train blindé réussit à s'approcher d'Oradour-sur-Vayres et les combats reprennent, avec l'appui des FTP de Pressac et Gaboureau et l'Armée Secrète de la forêt de Boubon. Finalement, les allemands se replient : 7 maquisards y perdront la vie[25],[26].

Passé ferroviaire du village

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Réparation de la ligne vers 1910.
Carte postale de la gare d'Oradour-sur-Vayres vers 1910.
Horaire de la ligne en 1956.

De 1880 à 1996, la commune d'Oradour-sur-Vayres a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant, qui, venant de Saint-Laurent-sur-Gorre se dirigeait ensuite vers la gare de Champagnac.
A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
2020 En cours Richard Simmoneau    
2008 2020 Guy Ratinaud[28] DVG  
1989 2008 Jean Caperan    
1971 1989 Robert Morange DVD Conseiller général
1945 1971 Pierre Chambord PCF Conseiller général du canton d'Oradour-sur-Vayres (1951-1970)
1945 1945 Georges Boyer    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 1 564 habitants[Note 3], en évolution de +2,76 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 5642 8392 8682 9763 0583 3483 1283 3653 446
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 3313 3103 2712 9623 1773 3353 4543 3313 293
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 2563 3213 3453 0062 9822 7152 5862 4042 234
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 3022 0861 9471 8411 8111 6361 5301 5221 514
2021 - - - - - - - -
1 564--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La Voie verte des Hauts de Tardoire offre un itinéraire sécurisé d'Oradour à Châlus à pied, vélo, ou roller[33].

Les fêtes de la Saint-Christophe se tiennent à Oradour pendant quatre jours et quatre nuits le dernier week-end de juillet : la plus grande fête foraine de la région, la course cycliste, la corrida des feuillardiers, le corso fleuri, les bandas, majorettes et le feu d'artifice attirent jusqu'à 80 000 visiteurs[34].

Généralités historiques

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L'église d'Oradour
  • Ancienne église fondée au XIe siècle, sous le vocable de Saint-Christophe.
  • On trouve un Hélie d'Oradour en 1290, et un Géraud d'Oradour en 1301.

Vestiges préhistoriques et antiques

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Un tumulus est mentionné à environ 200 m de la gare, au lieu-dit le Champs-des-Mottes. Il mesurait avant sa destruction 4 à 5 m de hauteur, de 8 m de circonférence à la base. Lors d'une fouille menée en 1899, il aurait été découvert du mobilier (blocs de quartz, grand vase, urne, clous, anneau, morceaux de fer,…). À 80 m de cette motte, on trouvait un autre tumulus et plus au sud, un souterrain-refuge découvert à la suite des travaux du chemin de fer[36].
  • Station néolithique au plateau de Parade
Dolmen de la Tamanie.

Architecture civile

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Maisons près de l'église.
  • Les Chalards : vestiges d'un camp retranché du haut Moyen Âge.
  • Château du Puychevalier, appelé aussi château Desbrosses (XVIIe siècle) : tourelle. En 1574, il est fait mention d'un François Hugonneau, qui prit plus tard le titre d’écuyer et de seigneur des Brosses-d’Oradour, qui épousa Jeanne de Rousiers, fille de Gabriel, archer de la garde du roi sous François Ier, et de Françoise de Rousiers de Chéronnac. Pierre Longeaud-Desbrégères, bourgeois, l'acquis en 1786.
  • Souterrain-refuge médiéval de 55 m, sous la rue Torte.

Architecture sacrée

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  • Église Saint Christophe reconstruite à la fin du XIXe siècle : clocher de l'ancienne église XIe siècle (église délabrée démolie en 1877) ; bénitier monolithe en granit sous le porche, de l'ancienne église ; vitraux XIXe siècle.
  • Nombreuses fontaines guérisseuses : de l'Élysée contre l'épilepsie ; Saint-Christophe contre les maux de ventre ; de Javelaud contre les rhumatismes ; du "Bouna", des Raques, du Ras.

Patrimoine environnemental

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La commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).

  • La ZNIEFF continentale de type 2 de la « vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) »[37], soit 2 130,31 hectares, concerne dix communes[Note 4] dont Oradour-sur-Vayres.
  • La ZNIEFF continentale de type 1 de l'« étang de la Monnerie (vallée de la Tardoire) »[38], soit 30,11 hectares, concerne Cussac et Oradour-sur-Vayres. Cette ZNIEFF comprend une chênaie mésophile et une aulnaie-saulaie marécageuse, une mégaphorbiaie de plaine à angéliques, des bras morts de la Tardoire et des mares. On y trouve le râle d'eau, la loutre, l'hespérie à miroirs (papillon menacé en Limousin), le galéruque à quatre taches (Phyllobrotica quadrimaculata) ou le Gnorimus variabilis octopunctatus. Cette ZNIEFF est complètement incluse dans la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) »[37].

Personnalités liées à la commune

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Naissance

Héraldique

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Blason de Oradour-sur-Vayres Blason
D'or au lion couronné de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Enregistrement en parler Limousin à Orador s Vaire YT: una jornada a Bornaseu - IEO Lemosin

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  2. Voir aussi Oradour au nord-ouest du département voisin de la Charente, Oradour-Saint-Genest et Oradour-sur-Glane en Haute-Vienne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Les dix communes de la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) » sont : Châlus, Champagnac-la-Rivière, Champsac, Chéronnac, Cussac, Maisonnais-sur-Tardoire, Oradour-sur-Vayres, Saint-Bazile, Saint-Mathieu et Les Salles-Lavauguyon.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Oradour-sur-Vayres et Champagnac-la-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Champagnac la R » (commune de Champagnac-la-Rivière) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Champagnac la R » (commune de Champagnac-la-Rivière) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Oradour-sur-Vayres », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 509..
  20. « liste des maires du département de la haute vienne », sur archives haute vienne (consulté le ).
  21. pascal Plas, visages de la resistance, lucien souny, 249 p. (ISBN 2-84886-033-2), p. 14.
  22. pascal Plas, visages de la resistance, lucien souny, 249 p. (ISBN 2-84886-033-2), p. 97.
  23. roger Chastaingt, des ftp limousins au combat, lucien souny, 195 p. (ISBN 2-907261-27-4), p. 43.
  24. « bouby henri », sur maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr (consulté le ).
  25. Nicolas Lestieux, Oradour-sur-Vayres, 18-19 juillet 1944: la bataille de l'autre Oradour des maquis au combat dans le sud de la Haute-Vienne, été 1944, la Geste, (ISBN 979-10-353-2095-9)
  26. « carreau andré », sur maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr (consulté le ).
  27. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  28. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. La voie verte sur Véloroutes et voies vertes.
  34. Le Petit Futé Limousin sur books Google ; et images des fêtes, de 2008, et d'avant.
  35. Notice no PA00100410, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 384.
  37. a et b « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) » - 740000072. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  38. « Étang de la Monnerie (vallée de la Tardoire) » - 740120048. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.