Parnay (Maine-et-Loire)

Parnay
Parnay (Maine-et-Loire)
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire
Maire
Mandat
Éric Lefièvre
2020-2026
Code postal 49730
Code commune 49235
Démographie
Gentilé Parnaisiens
Population
municipale
393 hab. (2021 en évolution de −12,86 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Population
agglomération
29 338 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 47° 13′ 37″ nord, 0° 00′ 59″ est
Altitude 32 m
Min. 26 m
Max. 101 m
Superficie 6,54 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Saumur
(banlieue)
Aire d'attraction Saumur
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saumur
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Parnay
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Parnay
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Parnay
Liens
Site web www.parnay.fr

Parnay est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie

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Localisation

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Commune angevine du Saumurois, Parnay se situe dans l'est du département de Maine-et-Loire, en rive gauche (côté sud) de la Loire, sur la route D947[1] entre Saumur (8 km au nord-ouest)[2] et Montsoreau (4 km au sud-est). Sa préfecture Angers est à 56 km au nord-ouest[3].

La commune est traversée par le méridien de Greenwich[4],[5].

Panneau du méridien de Greenwich à Parnay sur le bord de la route départementale.
Panneau du méridien de Greenwich à Parnay sur le bord de la route départementale.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Parnay[1]
Varennes-sur-Loire
(rive droite de la Loire)
Souzay-Champigny Parnay[1] Turquant

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 634 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil à 11 km à vol d'oiseau[8], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 612,8 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Parnay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saumur[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (39,8 %), forêts (27,2 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), zones urbanisées (8 %), eaux continentales[Note 4] (6,7 %), prairies (4,7 %), mines, décharges et chantiers (2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'église appartient au XIe siècle à Renaud, chanoine d'Angers, qui la tient en fief de l'évêque. Il en fait don ensuite à l'abbaye Saint-Aubin. Elle passe plus tard entre les mains du chapitre de Poitiers[18].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Mauriceau    
    Dupuy de Briacé    
1808   Gigault de Marconnay    
1811   Édouard Dupuy de Parnay    
1830   Henri de Marconnay    
1852   Henri de Marconnay    
1871 24 mai 1873 René Allain-Targé[19]   Avocat. Sera révoqué
1875 1877 René Allain-Targé   Deviendra sous-préfet de Joigny en 1878
         
... 2005 Marcel Bonnet    
2005 mars 2008 Huguette Goumain    
mars 2008 mars 2014 Bertrand Thyreault    
mars 2014 En cours
(au 2 juin 2020)
Éric Lefièvre[20],[21]    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 393 habitants[Note 5], en évolution de −12,86 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
514508608585558577562533532
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
491494485481448439418407383
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
361374362318302319295299351
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
364342365312438460482487435
2021 - - - - - - - -
393--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 215 hommes pour 216 femmes, soit un taux de 50,12 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,0 
12,0 
75-89 ans
7,2 
15,6 
60-74 ans
22,9 
30,9 
45-59 ans
30,7 
14,0 
30-44 ans
11,8 
17,5 
15-29 ans
13,4 
9,6 
0-14 ans
12,9 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Au début du XVIIIe siècle, la vigne couvre les deux tiers du territoire. Le vignoble y est encore important à la fin du XXe siècle. L'activité occupe alors la majorité des exploitants[28].

Sur 39 établissements présents sur la commune à fin 2010, 33 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 46 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[29].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Pierre du XIe siècle, classée au titre des monuments historiques depuis 1950[30] ; elle est située au milieu des vignes et profite d'un point de vue dominant la Loire. Elle possède un clocher carré roman à flèche de pierre, une nef et des chapiteaux XIe siècle, un chœur gothique, un portail Renaissance ; bénitier XIIe siècle, enfeu. Il y a aussi le tombeau de Jean du Plessis, seigneur de Parnay et de sa femme, Michelle des Clousis (XVe siècle).
  • Le château de Parnay des XVe et XIXe siècles, classé à l'inventaire général des monuments historiques depuis 2003[31].
  • Le « Clos des Murs », inscrit au titre des monuments historiques depuis 2011[32], qui appartient au château de Parnay, doit son nom au fait que le clos est entouré de grands murs, chaque pied de vigne correspond à un trou aménagé dans la maçonnerie, de telle sorte que la vigne a le pied à l'ombre, côté Nord, et que les grappes sont exposées au soleil, côté Sud.
Château de Targé

Personnalités liées à la commune

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  • François Allain-Targé (1832-1902), avocat, magistrat et homme politique est décédé au château de Targé.
  • Antoine Cristal (1837-1931) invente un concept pour la culture du vignoble saumurois et produit un cru célèbre. Vingt ans plus tard, il fournit la Cour d'Angleterre et les grands restaurants de la capitale. Dans une région traditionnellement productrice de vin blanc, il sort les vins rouges de l'anonymat. Il était l'ami et le fournisseur de Georges Clemenceau, friand des vins de Saumur. Le , Maurice Cristal fait don de son clos aux hospices de Saumur, avec l'espoir de perpétuer son œuvre[34].
  • Amédée de La Porte (1848-1900), avocat, auditeur au Conseil d'État et homme politique est décédé au Château de Targé.
  • Véronique Courjault, auteure d'un triple néonaticide, est née en 1967 dans la commune.

Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : N-R, t. 3, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 40869771, lire en ligne), p. 96-99.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saumur comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b « Parnay (Maine-et-Loire), carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées.
  2. « Orthodromie entre Parnay et Saumur », sur fr.distance.to (consulté en ).
  3. « Parnay (Maine-et-Loire) », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (dans l'onglet à gauche de l'écran, cliquer sur "Directions").
  4. « Méridien de Greenwich », sur aaanjou.fr, Association astronomique d'Anjou (consulté en ).
  5. Célestin Port 1989, p. 96.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Parnay et Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Saumur », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Parnay ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saumur », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr, le et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  18. Célestin Port 1989, p. 97.
  19. « Allain-Targe, René Alfred », sur siv.archives-nationales.culture.gouv.fr, Archives nationales (consulté en ).
  20. « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), document du 11 avril 2014.
  21. « Parnay. Eric Lefièvre conserve son fauteuil de maire », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté en ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Parnay (49235) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  28. Célestin Port 1989, p. 98.
  29. Insee, Statistiques locales du territoire de Parnay (49), consultées le 5 mai 2013.
  30. « Église paroissiale Saint-Fiacre », notice no IA00120871, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Château de Parnay », notice no IA49009727, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Clos des Murs », notice no PA49000082, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Demeure dite logis de Marconnay », notice no IA49009728, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Les « Murs » d'Antoine Cristal à l'inventaire de « monuments historiques », sur saumur-kiosque.com, Le Kiosque info (consulté en ).