Connu pour sa maîtrise de l'improvisation à l'orgue, Pierre Pincemaille enseigne différentes disciplines musicales, notamment dans deux conservatoires nationaux supérieurs de musique : celui de Paris et celui de Lyon. Concertiste international, il cherche à rendre l'orgue accessible à un public non averti tout en défendant une facture d'orgue du XXIe siècle. Organiste liturgique, il s'attache à professionnaliser la pratique musicale durant les offices, au cours de ses 30 années de titulariat à la cathédrale de Saint-Denis. Il laisse une discographie comprenant notamment les dix symphonies de Charles-Marie Widor, les intégrales pour orgue de César Franck et Maurice Duruflé, et des improvisations.
Pierre Marie François Pincemaille naît à Paris, dans le 17e arrondissement, le du mariage d'Henri Pincemaille, ingénieur[a], et d'Andrée Schaar[6],[b].
Il épouse le Anne-France Gaudillat (maire-adjointe en 2018 de la commune d'Herblay[14],[15], chargée de la culture et des jumelages). De cette union naissent trois enfants[6] : Claire, Marc et Éric.
Issu d'une famille mélomane depuis plusieurs générations, Pierre Pincemaille commence l'étude du piano en 1965[S 1]. De 1965 à 1975, il étudie le piano en cours particulier, au Perreux-sur-Marne. Il prend quelques cours avec Lucette Descaves (professeur au CNSM). Il se tourne rapidement vers l'orgue, à la faveur de séjours répétés à partir de 1968 chez son oncle, le père eudiste Paul Pincemaille, économe au collège Saint-Sauveur de Redon (Ille-et-Vilaine), qui est lui-même organiste amateur[PQ 1]. Lors de ces séjours durant les vacances scolaires, Paul Pincemaille lui donne accès à l'orgue Debierre de la chapelle du collège.
Il poursuit ses études au collège Albert de Mun de Nogent-sur-Marne puis au lycée Racine à Paris[6]. Autodidacte à l'orgue, doté d'un don précoce pour l'improvisation[17], Pierre Pincemaille réussit le concours d'entrée au Conservatoire national supérieur de musique de Paris sans avoir pris préalablement aucun cours[S 2]. Il y entre à 14 ans en , dans la classe de solfège spécialisé (professeur : Françoise Rieunier, puis Claude Lavoix[d]). Il accomplit toutes ses études musicales au conservatoire national supérieur de musique de Paris, en étant reçu aux classes suivantes[6] :
1973 - 1977 : classe d'harmonie (professeur : Henri Challan, puis Jean-Claude Raynaud) ;
Il obtient cinq premiers prix (harmonie en 1977, contrepoint en 1978, fugue en 1978, orgue-interprétation en 1979 et orgue-improvisation en 1979[OF 2]). Pierre Pincemaille est le seul élève de la classe de Rolande Falcinelli à avoir obtenu les deux premiers prix d'orgue (interprétation et improvisation) le même jour[S 2].
Contrairement à ce qui se dit parfois, il n'a jamais été élève de Pierre Cochereau[19]. N'ayant pas trouvé convenable de se présenter aux masterclass de l'académie internationale d'été de Nice avant d'avoir obtenu ses deux premiers prix (orgue et improvisation) du conservatoire national supérieur de musique de Paris, il n'a pas pu travailler avec Pierre Cochereau, ce dernier étant nommé directeur du Conservatoire national supérieur de musique de Lyon[20],[21]. C'est par sa fréquentation à la cathédrale Notre-Dame de Paris dans les années 1970, et l'écoute de ses enregistrements, que Pierre Pincemaille s'est familiarisé avec le talent de l'improvisation de Pierre Cochereau[PQ 1],[S 3], dont il acquiert la maîtrise[22].
Musicien « complet »[S 5], Pierre Pincemaille connait une carrière professionnelle diversifiée, longue de 40 ans en tant que concertiste (interprète et improvisateur), organiste liturgique[24] et enseignant, récompensée dans ces trois domaines.
Pierre Pincemaille occupe plusieurs tribunes en tant qu'organiste titulaire. Considérant sa fonction comme un « privilège », il vise « une qualité optimale, musicalement et liturgiquement ». Ainsi, lorsque cela est possible, Pierre Pincemaille cherche à instaurer la fonction de maître de chapelle, et à mettre en place l'utilisation de l'orgue de chœur pour l'accompagnement des chants[19] (ce qui est réalisé à Saint-Denis, avec une équipe d'organistes de chœur[OF 3]). Lorsque l'organiste titulaire est un professionnel de la musique, il recommande qu'il soit seul titulaire[α], et qu'il puisse se voir conférer l'autorité suffisante pour élaborer le programme musical des célébrations[S 6].
Il est ensuite nommé, au terme du concours du [S 2], organiste titulaire des grandes orguesCavaillé-Coll de la basilique Saint-Denis (cathédrale depuis 1966)[6] parmi quinze candidats[LeP 1], poste qu'il occupe durant 30 ans (du au [PQ 1]). Seul organiste titulaire durant cette période, il se qualifie de « Seul maître à bord après Dieu, et heureux de l'être ! ». En tant qu'organiste titulaire, il joue lui-même aux grandes orgues en se faisant exceptionnellement remplacer par ceux de ses élèves qu'il sélectionne en fonction de leur capacité à tirer parti de cet instrument difficile à maîtriser[S 8],[S 9],[LeP 2] (instrument « déséquilibré »[S 10], cornements du fait du grand âge de l'instrument, claviers et pédalier incomplets[27], etc.). En , le nouveau recteurDominique Lebrun (futur archevêque de Rouen)[28] lui donne « carte blanche » pour l'organisation de la musique liturgique de la cathédrale. S'inspirant de l'« esprit » du chanoine Jehan Revert, il crée un chœur à 4 voix mixtes avec son épouse, et crée un corpus de chants liturgiques qu'il ré-harmonise[29], pour les inscrire au programme des célébrations.
Il compose le programme de ses concerts en fonction de l'instrument, du lieu et du public[PQ 19],[PQ 20], soucieux de donner de l'orgue l'image renouvelée d'un véritable instrument de musique plus que d'un simple outil liturgique[β] (de la même manière qu'il se considère plus comme un « musicien qui joue de l'orgue » que comme un organiste[S 15],[PQ 5]). À cet égard, il présente au public lors de ses concerts les œuvres ou compositeurs interprétés[40], voire quelques éléments vulgarisés de technique musicale (comme le choral orné avec certaines œuvres de Jean-Sébastien Bach[PQ 21]), et préfère les consoles proches du public (ou à défaut une retransmission par vidéoprojection[PQ 11],[OF 10],[OF 11]), pour rendre visible l'organiste auprès du public.
Pierre Pincemaille défend une facture d'orgue du XXIe siècle, s'appuyant sur des technologies nouvelles au service du confort de l'organiste[S 10] et de son inspiration créatrice[S 16]. Il est, le cas échéant, en faveur des orgues numériques ou hybrides[OF 13], comme celui de l'abbaye de Saint-Jean-aux-Bois (Oise)[42], poursuivant l'objectif de rendre l'orgue accessible au plus grand nombre[43] et de séduire un public non averti[S 17].
À la cathédrale de Saint-Denis, dans le cadre des messes dominicales, Pierre Pincemaille improvise à sept reprises : entrée, verset après le psaume, méditation après l'homélie, offertoire, consécration, communion, sortie (ce qui lui permet de s'adapter à la liturgie[46]). En 30 ans, il improvise pour accompagner plus de 1 600 célébrations[47].
La plupart des œuvres de Pierre Pincemaille sont des improvisations, dont la majorité n'a pas été enregistrée. Ce dernier écrit d'ailleurs, concernant l'œuvre d'improvisation :
« Elle n'est appelée à n'être entendue qu'une fois, puis à s'évanouir définitivement dans un fugitif souvenir, en ne laissant aucune trace dans l'Histoire de la musique[68]. »
Pierre Pincemaille ne se considère pas comme compositeur, pour un certain nombre de raisons qu'il explique dans À propos de la composition[68]. Il estime qu'en composant, il aurait « passé son temps à se corriger et se renier »[S 15] : même encouragé à composer par ses maîtres Jean-Claude Raynaud et Rolande Falcinelli[68], il préfère l'art de l'improvisation, « surgissant dans l'émotion de l'instant »[S 15]. Il laisse néanmoins quelques compositions :
En Louisiane (pièce pour trombone) éditée chez Delatour[69] (BNF39714241) ;
Prologue et Noël varié, aux éditions Delatour (2007)[68],[70],[71] (BNF41063813), destiné à être le « morceau imposé » du Grand Prix Florentz de 2007 dont Pierre Pincemaille préside le jury ;
Ses œuvres sont jouées dans le cadre de concerts, festivals ou cérémonies religieuses, par exemple lors du récital du donné en la cathédrale nationale de Washington par Jeremy Filsell[75] ou lors de la messe radiodiffusée depuis la chapelle « Sainte-Marie Mère de l'Église » de l'institution Sainte-Marie d'Antony le par la Maîtrise Sainte-Marie d'Antony[76].
Œuvres de Franck, Boëllmann, Vierne, Alain, Improvisation à Marienstatt - IFO 00039.
Camille Saint-Saëns : 3e Symphonie et Trois fantaisies pour orgue, enregistrés sur l'orgue de la basilique Saint-Denis (Pierre Pincemaille, Orchestre français d'oratorio, direction Jean-Pierre Loré) - EROL ER 94001 (1992) - (BNF38510012) - (EAN3503509400106).
(de) Orgelimprovisationen 1997 - 10. Internationale Altenberger Orgelakademie - Jos van der Kooy, Theo Brandmüller, Pierre Pincemaille, Wolfgang Seifen, Tmk Medienproduktion & Vertrieb
Improvisations - Six chansons de France, Prélude et Fugue sur « Aristide » - Basilique Saint-Denis, 2000 - Motette 12551.
Improvisations sur des thèmes de Noëls anglo-saxons - Perkins Chapel, SMU, Dallas (Texas)[81], - Solstice SOCD 203 - (BNF39010887) - (EAN3279792032033).
Chœur, orgues, orchestre - Pierre Pincemaille, Vincent Guyot - Les Moineaux du Val-de-Marne, Ensemble Orchestral de Nogent-Le Perreux, direction Claude Desprez - 1990 - MVCD9001 - (BNF38191554)
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
(de) Elke Völker, « Der Reiz perfekter Illusion : Ein Interview mit dem Pariser Organisten und Starimprovisator Pierre Pincemaille » [« L'attrait de l'illusion parfaite »], Organ – Journal für die Orgel, vol. 1, no 1, , p. 18–21 (ISSN1435-7941).
↑« Pour moi, à UN instrument doit correspondre UN artiste. Pourrait-on imaginer (en leurs temps) un Vierne, un Tournemire, un Dupré, un Langlais, un Messiaen, un Cochereau partager leur poste ? Pourrait-on imaginer plusieurs archevêques de Paris officiant à tour de rôle ? ».
↑« c'est un instrument qui souffre d'une odeur de sacristie. On le considère rarement comme il devrait l'être : un instrument de musique »[S 15].
↑Son père, Henri Pincemaille (mort le ) et son grand-père, Fernand Pincemaille (mort le , chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur) étaient tous deux anciens élèves de l'École polytechnique, respectivement promotions 1933[1],[2] et 1905[3]. Henri Pincemaille est le fils de Fernand Pincemaille (1885-1959) et de Suzanne Belot (1885-1974), elle-même fille de l'ingénieur en chef des manufactures de l'État Émile Belot (1857-1944), lui-même fils de l'historien Joseph-Émile Belot (1829-1886)[4],[5].
↑Andrée Schaar (1915-1997)[7] est née du mariage le à Ixelles en Belgique de Marguerite Rollet et de Maurice Schaar (famille d'Ixelles)[8]. Marguerite Rollet est une cantatrice belge intervenue lors des concerts de La Libre Esthétique. Elle donne des auditions de 1908 à 1912 dans La Libre Esthétique (cercle artistique auquel a participé notamment Vincent d'Indy, disciple de César Franck)[9],[10],[11]. Dans l'ouvrage Bruxelles ou la convergence des arts, il est précisé que « Au cours des années 1910, les cantatrices Marie-Anne Weber (1884-1953) et Marguerite Rollet deviennent les cantatrices habituelles de la scène de La Libre Esthétique »[12]. On trouve en outre la trace d'un concert qu'elle a donné le à Ypres dans Le Progrès[13].
↑Fondée le , la manécanterie des Moineaux du Val de Marne change de nom en 2013 pour s'appeler « Les Petits Chanteurs de Nogent-sur-Marne ». Le chœur est affilié depuis 1955 à la Fédération Internationale des Pueri Cantores, qui regroupe des chorales du monde entier[25]. On trouve sur le site de la Bibliothèque nationale de France des enregistrements de la manécanterie des Moineaux du Val de Marne avec Pierre Pincemaille comme interprète à l'orgue[26].
↑Le secrétaire de l'association de sauvegarde de l'orgue de Vimoutiers considère dans un article du quotidien Ouest France à propos de Pierre Pincemaille : « Instrumentiste virtuose, son talent d'improvisateur est unanimement reconnu par l'opinion internationale »[OF 4]. Le journal Sud Ouest parle quant à lui, à l'occasion du concert d'inauguration des orgues de l'église Notre-Dame d'Oloron-Sainte-Marie, d'« un des plus grands organistes du monde »[PQ 11].
↑ a et bOuest-France publie, pour le concert à l'église Saint-Tudy de Loctudy : « Instrumentiste virtuose, son extraordinaire talent d'improvisateur lui permet d'exploiter toutes les ressources sonores d'un orgue. »[OF 14]. Dans un autre article de La Presse (Montréal), à l'occasion du concert à Lachine (Montréal, Canada) : « toujours éblouissant virtuose de l'orgue et, surtout, possesseur de cette science organistique grâce à laquelle il peut aller au maximum des possibilités offertes en une heure de fréquentation d'un instrument nouveau pour lui. »[PQ 27].
↑Pour la 5ème soirée du Printemps musical du Vaucluse, le journal La Provence précise que Pierre Pincemaille est un « interprète dont on ne se lasse pas, tant sa verve organistique et son talent d'improvisateur font de chacun de ses concerts un événement mémorable »[PQ 14].
↑Le journal La Croix parle de Pierre Pincemaille comme d'un « virtuose renommé pour son formidable talent d'improvisateur »[PQ 23].
Pour le journal L'Alsace, « Pierre Pincemaille est considéré comme le plus grand improvisateur de notre époque après son maître Pierre Cochereau »[PQ 24].
Le journal Le Progrès écrit à propos de Pierre Pincemaille que « son prodigieux talent d'improvisateur est universellement reconnu. »[PQ 25].
↑Vincent Warnier déclare dans Le Monde, « Je ne suis pas de ceux qui, comme Pierre Pincemaille, par exemple, peuvent improviser un prélude et fugue dans le plus parfait style à la Jean-Sébastien Bach. »[PQ 26].
↑C'est le cas par exemple le au conservatoire de Meudon[60].
↑Le magazine Diapason consacre une page (page 54) à cet enregistrement qu'il qualifie de « un régal ». La critique commence par ces termes « Si l'on commence en saluant l'exploit de Pierre Pincemaille, terme si peu musical, je crains qu'on passe à côté de l'essentiel, la musique. Et pourtant ! Les dix symphonies de Widor sur dix des plus beaux Cavaillé-Coll, tous admirables et singuliers, le tout gravé en un an jour pour jour : chapeau bas. ».
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↑« Récital d'orgue », Le Journal de Saint-Denis, no 24, , p. 30 (ISSN0997-6094).
↑Michel Dréano, « Pierre Pincemaille, un organiste qui sait manier les nuances : Le portrait de la semaine », Le Journal de Saint-Denis, no 74, 2 au 8 décembre 1992, p. 4 (ISSN0997-6094).
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