La commune est située dans l'unité urbaine de Bergerac. Bordée au sud par la Dordogne, elle est arrosée par un de ses affluents, l'Estrop, qui y prend sa source.
Trois ponts traversent la Dordogne à ce niveau du fleuve : le pont Michel-de-Montaigne (vers Sainte-Foy, ancien pont suspendu dont ont été conservés les piliers d'entrée), le nouveau pont suspendu (vers Pineuilh, construit en 1961[1]) et le pont ferroviaire.
Bien que la commune soit dans le département de la Dordogne (numéro 24), son code postal commence par 33 (bureau distributeur : Sainte-Foy-la-Grande en Gironde).
Parmi les dix communes limitrophes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, la moitié se trouvent dans le département de la Gironde. Son territoire est limitrophe de celui d'Eynesse, au sud-ouest sur moins de 300 mètres, et d'environ 350 mètres de celui de Saint-Avit-Saint-Nazaire à l'est. Au sud-est, la commune de Pineuilh est limitrophe en deux endroits disjoints, séparés par Sainte-Foy-la-Grande.
Les limites communales de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » et « no 829 - Duras » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Molasse de l'Agenais sup. à faciès argileux dominant : argiles silteuses carbonatées vertes, noires à blanches à niveaux de sables ou grèsmicacés à rares graviers, quelques bancs de calcaires lacustres localement meuliérisés (Chattien continental)
Formation du Calcaire de Castillon s.s. : calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
g1b :
Formation de Boisbreteau moy. : sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses - deuxième séquence différenciée et cartographiée sur la feuille de Sainte-Foy-la-Grande (Rupélien inf. continental)
Molasse du Fronsadais sup. à faciès sableux dominant : sables argileux grossiers feldspathiques, argiles silteuses/sableuses gris-vert et grès carbonatéss. Nombreux chenaux sableux au sommet (Priabonien sup. à Rupélien basal continental)
e7c-A :
Molasses du Fronsadais inf. à moy. (faciès argileux dominant) : argiles sableuses bariolées jaunes à vertes à chenaux sableux micacés et feldspathiques (Priabonien sup. continental)
e6-7 :
Argiles à Paléotherium : argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux, à niveaux carbonatés +/- durcis, sables grossiers micacés marron rouge à la base (Bartonien sup. à Priabonien inf. continental)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 7 mètres et 167 mètres[6],[7].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,32 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,79 km2[3].
L'Estrop, d'une longueur totale de 17,8 km, prend sa source dans le nord la commune et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Saint-Antoine-de-Breuilh et de Saint-Seurin-de-Prats, face à Pessac-sur-Dordogne[18],[19]. Il arrose le nord de la commune sur deux kilomètres et demi, lui servant de limite naturelle sur plus d'un kilomètre, face à Fougueyrolles.
Son affluent de rive gauche le ruisseau du Lardot prend sa source sur la commune qu'il baigne sur 300 mètres.
Deux autres affluents de rive droite de la Dordogne arrosent le territoire communal : la Prunarède à l'ouest sur plus de deux kilomètres, et la Rode qui sert de limite naturelle à l'est sur 1,8 kilomètre face au Fleix.
La Léchou, affluent de rive gauche de la Lidoire, borde le territoire communal au nord-est sur un kilomètre et demi, face à Monfaucon.
Quai le long de la Dordogne (promenade de la Batellerie).
Chemin sur berge le long de la Dordogne (promenade de Larmane).
Réseaux hydrographique et routier de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].
Statistiques 1991-2020 et records PORT STE FOY (24) - alt : 28m, lat : 44°51'00"N, lon : 0°11'08"E Records établis sur la période du 01-07-1956 au 31-05-2017
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[28],[29]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[30].
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[31],[32], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[33].
Au , Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[34].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[35],[36]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pineuilh, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[36]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[37],[38].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
cultures permanentes (31,9 %), zones agricoles hétérogènes (29,7 %), zones urbanisées (12,8 %), forêts (12,5 %), prairies (6,1 %), eaux continentales[Note 4] (3,2 %), terres arables (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernées par un risque de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[42]. Les événements significatifs antérieurs à 2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s à Bergerac, la crue de référence historique de période de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (période de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (période de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[43]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2015[44],[40]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne », couvrant 9 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[45],[46].
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[47]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[48],[49].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[50]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[51]. 90,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[52].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005, 2011, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[40].
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 6] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[54].
En , à la suite de l'avancée des forces allemandes en Alsace et en Lorraine, les habitants de ces deux régions sont évacués et répartis dans le Centre-Ouest et le Sud-Ouest de la France[57]. Le , la gare de Sainte-Foy-la-Grande voit arriver 850 Alsaciens originaires de Plobsheim, dont une partie est accueillie à Port-Sainte-Foy[58].
En 1960, les communes de Ponchapt et de Port-Sainte-Foy fusionnent sous le nom de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[55].
En eaux profondes, ce petit village de mariniers, pêcheurs, artisans, et commerçants de la vigne et du vin a connu son apogée artisanal et commercial avec l'âge d'or de la batellerie sur la Dordogne. Une intense vie marinière animait alors quais, chais et entrepôts bordant la rivière.
Le , le train TER en provenance de Bordeaux et à destination de Sarlat percute à 120 km/h un camion-citerne chargé de 31 tonnes d'hydrocarbures, au passage à niveau du Noble où se croisent la ligne ferroviaire de Libourne au Buisson et la route départementale 936 (axes Bordeaux-Bergerac). Le bilan de cet accident est de 13 morts et 43 blessés, dont dix grièvement brûlés[59].
Au XXIe siècle, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt promeut le tourisme et les loisirs : sentiers de randonnées, églises romanes et moulins, deux bases de loisirs nautiques (aviron et canoë-kayak), tennis-club et enfin la Maison du Fleuve et du Vin, musée de la Dordogne batelière, avec sa vue imprenable sur la Dordogne.
Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sont les suivantes :
Élections départementales de 2015[80] : 43,20 % pour Serge Fourcaud et Pascale Penisson (PS), 30,53 % pour Thierry Boidé (UMP) et Christel Defoulny (DVD), 26,27 % pour Simone Gateau et Jean Gratade (FN). Le taux de participation était de 59,30 %.
Élections départementales de 2021[81] : 55,77 % pour Christel Defoulny et Éric Frétillère (DVD), 44,23 % pour Serge Fourcaud et Célia Landreau (PS[82]). Le taux de participation était de 36,71 %.
Élections cantonales de 1994 : 58,84 % pour Serge Fourcaud (PS), 41,16 % pour Didier Lourec (RPR). Le taux de participation était de 73,95 %.
Élections cantonales de 2001 : 55,74 % pour Serge Fourcaud (PS), 26,91 % pour Robert Descoins (RPR), 17,35 % pour Didier Lourec (DVD). Le taux de participation était de 76,34 %.
La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[84],[85].
À l'origine, l'école communale se trouvait dans le même bâtiment que l'hôtel de ville, comme dans la plupart des autres municipalités (mairie-école)[89].
Avant l'instauration de la mixité, Port-Sainte-Foy disposait d'une école de filles, dont l'inscription est toujours visible sur le fronton du 54 rue Onésime-Reclus, au croisement avec la rue Jules-Ferry. L'édifice accueille de nos jours la bibliothèque municipale.
En 2023, les établissements scolaires sont les suivants :
Les habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sont appelés les Port-Foyens[92].
Jusqu'en 1859, les trois communes du Canet, de La Rouquette et de Saint-Avit-du-Tizac étaient indépendantes. Leur regroupement a donné naissance à la commune de Port-Sainte-Foy.
Lors de la fusion des communes de 1859, Saint-Avit-du-Tizac prend le nom de Port-Sainte-Foy. En 1960, la commune de Ponchapt fusionne avec Port-Sainte-Foy qui devient Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1861. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[93]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[94].
En 2021, la commune comptait 2 501 habitants[Note 7], en évolution de −0,08 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Complexe sportif de Mézieres Pierre-Lart. Sur plus de 11 872 m2, il accueille plusieurs terrains de sport[98].
Club de tennis.
Plage des Bardoulets, au bord de la Dordogne, surveillée durant l'été dans le cadre de l'opération CAP33, en partenariat avec le département de la Gironde. Activités culturelles et sportives proposées, dont du beach-volley[99],[100].
En 2015[105], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 873 personnes, soit 34,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (135) a augmenté par rapport à 2010 (122) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,5 %.
En 2015, la commune offre 984 emplois pour une population de 2 503 habitants[106]. Le secteur tertiaire prédomine avec 42,2 % des emplois mais le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est également très présent avec 33,9 %.
Au , la commune compte 228 établissements[107], dont 141 au niveau des commerces, transports ou services, trente-trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans l'industrie, et quinze dans la construction[108].
Jusqu'à l'ouverture à Pineuilh du centre commercial Grand Pineuilh, en 2012, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt comptait une grande surface, avenue de Bordeaux, par la suite reconvertie en magasin de bricolage[109].
Église de l'Immaculée-Conception, lieu de culte catholique. Au-dessus de la porte de l'église est installé un bas-relief figurant les armoiries (dont une tiare pontificale) du pape Pie IX, pape qui proclama le dogme de l’Immaculée Conception en 1854. Étape du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle (via Lemovicensis). Un refuge paroissial destiné aux pèlerins se trouve près de l'église. Une coquille Saint-Jacques en métal est incrustée dans la voirie, au croisement de la rue Notre-Dame et de la rue Jacques-Jasmin. Avant la construction du pont Michel-de-Montaigne, les pèlerins gagnaient Sainte-Foy-la-Grande par le bac et, lorsque c'était possible, par un gué[112].
Jacques Reix, Port-Sainte-Foy. Chroniques du temps passé, Fanlac, 1981.
Jacques Reix, Origine des noms de lieux et hameaux de Port-Ste-Foy-et-Ponchapt, Bulletin municipal, 1985.
Jacques Reix, Aux portes de Sainte-Foy. Monographie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, 2001.
Jacques Reix, Ponchapt. Dans les pas de l'histoire, Itinérance, 2015 (ISBN978-2-9547839-1-8).
Michel Villemiane, La colonie agricole évangélique pénitentiaire de Sainte-Foy, Les Dossiers d'Aquitaine, 2014.
Pays foyen
Jacques Reix, La Dordogne du temps des bateliers, Fanlac, 1990.
Jacques Reix et Jean Vircoulon, Chronique des années de Guerre en pays foyen, Fanlac, 1995.
Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.
Jacques Reix, Sainte-Foy-la-Grande et le pays foyen, Nouvelles Éditions Sutton, 2005.
Jacques Reix, Le pays foyen dans la guerre, 1939-1945, Nouvelles Éditions Sutton, 2007.
Jacques Reix, Un siècle de vie sportive en pays foyen, Nouvelles Éditions Sutton, 2008.
Jacques Reix, La Dordogne batelière. Images au fil de l'Onde, Les Dossiers d'Aquitaine, 2010.
Jacques Reix, Entre Gironde et Périgord. Le pays foyen. Bastides et villages, La Lauze, 2012.
Jacques Reix, Au cœur des bastides. Du Périgord à l'Entre-Deux-Mers, Éditions Sutton, 2013.
Jacques Reix, Libération Sainte-Foy-Castillon 1943-1944, Itinérances, 2014 (ISBN978-2-9547839-0-1).
Jacques Reix (préface de Dominique Lormier), Le pays foyen et castillonnais dans la guerre juin 1940-août 1944 aux confins du Périgord et de la Gironde, Les Livres de l'Îlôt, 2024, 275 p. (ISBN979-10-92474-83-1)
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[53].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».