Puylaurens

Puylaurens
Puylaurens
Blason de Puylaurens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes du Sor et de l'Agout
Maire
Mandat
Jean-Louis Hormière
2020-2026
Code postal 81700
Code commune 81219
Démographie
Gentilé Puylaurentais
Population
municipale
3 204 hab. (2021 en évolution de −1,99 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 22″ nord, 2° 00′ 46″ est
Altitude Min. 147 m
Max. 372 m
Superficie 81,83 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pastel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Puylaurens
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Puylaurens
Liens
Site web www.puylaurens.fr

Puylaurens [pɥiloʁɛ̃s] (prononciation locale) est une commune française située dans le sud du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agout, le Girou, le ruisseau de Bagas, le ruisseau d'en Guibaud, Beral Den Alric, le ruisseau de Caudiès, le ruisseau d'Oulmine et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Puylaurens est une commune rurale qui compte 3 204 habitants en 2021. Ses habitants sont appelés les Puylaurentais ou Puylaurentaises.

Géographie

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Localisation

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Puylaurens domine de ses 375 m la plaine du Lauragais, aux portes de la montagne Noire. La commune est située à 41 km à l'est de Toulouse et à 25 km à l'ouest de Castres[1]. Vers le nord se trouve la vallée de l'Agout et, vers le sud, la montagne Noire et les Pyrénées.

Tout comme ses communes voisines, notamment sur l'axe Toulouse-Castres, Puylaurens profite de sa position de carrefour entre ces deux villes. La RN 126 permet de rejoindre l'est de la périphérie Toulousaine en moins de 45 minutes. L'étalement urbain s'accélérant, Puylaurens pourrait prochainement devenir une commune de l'aire urbaine de Toulouse, comme Cuq-Toulza et Cambon-lès-Lavaur depuis 2010.

Comme ses voisins Saint-Félix-Lauragais, Montgey ou Saint-Julia-de-Gras-Capou (de l'Occitan chapon gras), le village s'est construit sur un puy (puech ou puèg, en occitan) qui lui donne une situation « aérienne » privilégiée. Depuis 700 ans, Puylaurens a attiré les éleveurs du grand Sud par le commerce du bétail[réf. nécessaire].

Communes limitrophes

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Puylaurens est limitrophe de dix-sept autres communes.

Communes limitrophes de Puylaurens[2]
Saint-Paul-Cap-de-Joux,
Prades
Guitalens-L'Albarède Vielmur-sur-Agout
Bertre,
Appelle,
Lacroisille,
Cuq-Toulza
Puylaurens Sémalens,
Saint-Germain-des-Prés
Péchaudier,
Saint-Sernin-lès-Lavaur,
Péchaudier,
Aguts (par un quadripoint),
Montgey
Poudis, Blan Lempaut

Voies de communication et transports

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Le village est facilement accessible en voiture par un faisceau de routes (maintenant peu fréquenté avec la rocade et peu de circulation l'été) de campagne, hérité de l'époque où les éleveurs et maquignons de la région se retrouvaient sur la grand place, le mercredi matin, pour le marché au bétail[réf. nécessaire]. Le contournement de Puylaurens, ouvert en 2008, rend au village sa sérénité rurale[Interprétation personnelle ?].

La ligne 760 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Castres et à Toulouse[3].

Hydrographie

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La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par l'Agout, le Girou, le ruisseau de Bagas, le ruisseau d'en Guibaud, Beral Den Alric, le ruisseau de Caudiès, le ruisseau d'Oulmine, Béral d'en Guibaud, la Garenne, le Riafs, Rec de la Ricaudié, Rec d'Engamel, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 107 km de longueur totale[5],[Carte 1].

L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[6].

Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Saint-Jory, après avoir traversé 31 communes[7].

Le ruisseau de Bagas, d'une longueur totale de 21,1 km, prend sa source dans la commune de Montfa et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[8].

Le ruisseau d'en Guibaud, d'une longueur totale de 10,5 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le sud puis se réoriente vers le nord-ouest puis vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Saint-Paul-Cap-de-Joux, après avoir traversé 3 communes[9].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Puylaurens.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 929 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 782,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Statistiques 1991-2020 et records PUYLAURENS (81) - alt : 312m, lat : 43°34'13"N, lon : 2°00'33"E
Records établis sur la période du 01-07-1984 au 31-12-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,2 3,3 5,5 7,8 11,3 14,8 16,7 16,7 13,8 11,1 6,5 4 9,6
Température moyenne (°C) 6,4 7,3 10,4 13,1 16,8 20,7 22,9 23,1 19,5 15,8 10 7,1 14,4
Température maximale moyenne (°C) 9,7 11,3 15,3 18,3 22,2 26,6 29,2 29,4 25,3 20,4 13,5 10,3 19,3
Record de froid (°C)
date du record
−16,5
16.01.1985
−11
09.02.12
−8
01.03.05
−1
14.04.1998
1
04.05.1986
5
09.06.1999
6,5
17.07.00
8
30.08.1986
5
28.09.02
−2
21.10.07
−7
23.11.1988
−8
24.12.01
−16,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
19
05.01.18
26
27.02.19
27
30.03.17
32
30.04.05
35
29.05.01
39,5
21.06.03
40
31.07.20
42,5
13.08.03
37
05.09.06
32
01.10.1997
27
07.11.15
22,5
05.12.06
42,5
2003
Précipitations (mm) 71,9 54,2 62,9 87,6 89,3 61,4 45,4 44,8 60,2 61,1 73,5 69,7 782
Source : « Fiche 81219001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/05/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
9,7
3,2
71,9
 
 
 
11,3
3,3
54,2
 
 
 
15,3
5,5
62,9
 
 
 
18,3
7,8
87,6
 
 
 
22,2
11,3
89,3
 
 
 
26,6
14,8
61,4
 
 
 
29,2
16,7
45,4
 
 
 
29,4
16,7
44,8
 
 
 
25,3
13,8
60,2
 
 
 
20,4
11,1
61,1
 
 
 
13,5
6,5
73,5
 
 
 
10,3
4
69,7
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[17], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[18].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[19] :

  • les « bois et coteaux de Sémalens et butte de Laudrandié » (414 ha), couvrant 3 communes du département[20] ;
  • les « bois Grand et bois de Caudeval » (229 ha), couvrant 2 communes du département[21] ;
  • les « coteaux secs du Travers de Gamanel, du chateau d'Arpelle et de la butte Saint-Loup » (188 ha), couvrant 6 communes du département[22] ;
  • les « gravières de Caudeval » (68 ha), couvrant 2 communes du département[23] ;

et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[19] : les « rivières Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn » (1 364 ha), couvrant 24 communes du département[24].

Au , Puylaurens est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,1 %), forêts (9 %), prairies (6,4 %), zones urbanisées (1,2 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Puylaurens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout, le Girou, le ruisseau de Bagas et le ruisseau d'en Guibaud. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 2013, 2018 et 2020[29],[26].

Puylaurens est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 5],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puylaurens.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[31]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 541 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 539 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].

La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[36].

Le nom de la commune en occitan est Puèglaurenç (prononcé localement [pɛlljaurens]), ce qui a été francisé en Puylaurens. Il est intéressant de noter qu'en occitan le g ne se prononce pas, mais provoque une gémination du l qui suit. Le premier élément, puèg, provient du latin podium « hauteur, lieu élevé », tandis que le deuxième laurenç est la forme occitane du prénom Laurent et fait probablement référence à un ancien notable de la ville.

Le château de Cap de Castel

L'édification du château Cap de Castel, dont la fin de construction date de 1258, a été confiée aux corvées cathares sur ordre de Saint Louis, dont les parents Blanche de Castille et Louis VIII auraient séjourné à Puylaurens. Ce bâtiment de briques inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques est situé à la tête du village (Lou Cap, en Occitan) et a servi les intérêts convergents de Rome et de Paris dans la répression des Cathares. Deux fonctions parallèles, politique et religieuse, lui étaient assignées : chapelle et prison du village. Il est aujourd'hui intégré à l'hôtel qui porte son nom.

En , par ses lettres patentes, le roi Louis XI (1423-1483) autorisa trois foires annuelles par an, en confirmant les privilèges de la ville attribuées par ses prédécesseurs[37].

En 1534 Jehan Baile est capitaine de Puylaurens, aux gages de 48 livres tournois par an. (Cf quittance en parchemin)

De 1660 à 1685, l'académie de Puylaurens joue un rôle important dans l’histoire de l’Église réformée.

C'est à Puylaurens, en 1792, que le cordonnier Guillaume Lavabre composa la musique La Garisou de Marianno, qui a donné son nom à Marianne, allégorie de la République française[38].

Héraldique et devise

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Blason de Puylaurens

Les armes de Puylaurens se blasonnent ainsi : D'argent au laurier terrassé de sinople, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or, soutenu d'une divise du même.

La devise de Puylaurens est « Virescit vulnere virtus » en latin (« la blessure renforce le courage »).

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1947 mars 1971 Léopold Raynaud SFIO Artisan
Conseiller général du canton de Puylaurens (1951 → 1970)
mars 1971 mars 1983 Louis Maruéjouls CD puis UDF Artisan
Conseiller général du canton de Puylaurens (1970 → 1988)
mars 1983 mars 2001 Louis Fournès PS Enseignant
Conseiller général du canton de Puylaurens (1988 → 1994)
mars 2001 avril 2018[39]
(démission)
Anne Laperrouze UDF puis MoDem
puis AC puis DVC
Directrice de projet
Députée européenne (2004 → 2009)
Conseiller général du canton de Puylaurens (2001 → 2015)
Conseiller départemental du canton du Pastel (2015 → )
3e vice-présidente de la CC du Sor et de l'Agout
avril 2018[40] 2020 Patricia Rosenthal[41] DVC Biologiste retraitée
2020 En cours Jean-Louis Hormière   Artisan plâtrier
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43]. En 2021, la commune comptait 3 204 habitants[Note 7], en évolution de −1,99 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 1095 6486 0036 1126 1606 2806 0956 0946 178
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5 8995 9405 6495 5115 1415 0124 9454 5854 372
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 1034 1244 0783 4733 4823 5063 3683 2453 207
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
3 0882 9362 7822 7782 7082 7922 8712 8913 118
2014 2019 2021 - - - - - -
3 2703 1603 204------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Église Saint-Jean de Saint-Jean-de-Tourtray

En 2018, la commune compte 1 406 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 3 193 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 040 [I 5] (20 400  dans le département[I 6]). 40 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (42,8 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 7,5 % 10,2 % 9,5 %
Département[I 8] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 815 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (67,2 % ayant un emploi et 9,5 % de chômeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 10],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 996 emplois en 2018, contre 991 en 2013 et 907 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 256, soit un indicateur de concentration d'emploi de 79,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,7 %[I 11].

Sur ces 1 256 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 416 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 6,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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295 établissements[Note 11] sont implantés à Puylaurens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 295 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
37 12,5 % (13 %)
Construction 38 12,9 % (12,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
70 23,7 % (26,7 %)
Information et communication 8 2,7 % (2,1 %)
Activités financières et d'assurance 9 3,1 % (3,3 %)
Activités immobilières 10 3,4 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
39 13,2 % (13,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
58 19,7 % (15,5 %)
Autres activités de services 26 8,8 % (9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,7 % du nombre total d'établissements de la commune (70 sur les 295 entreprises implantées à Puylaurens), contre 26,7 % au niveau départemental[I 15].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[46] :

  • SA Des Abattoirs Puylaurentais, transformation et conservation de la viande de boucherie (3 228 k€)
  • Silastef, supermarchés (2 484 k€)
  • Midi Pyrenees Environnement - Mpe, services d'aménagement paysager (1 591 k€)
  • Eco Invest, activités des sociétés holding (576 k€)
  • Les Circuits De L'aubepine, location et location-bail d'articles de loisirs et de sport (458 k€)

Agriculture

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La commune est dans le Lauragais tarnais, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département du Tarn[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 183 140 108 94
SAU[Note 14] (ha) 5 863 5 266 4 792 4 992

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 183 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 140 en 2000 puis à 108 en 2010[49] et enfin à 94 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 49 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[50],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 5 863 ha en 1988 à 4 992 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 53 ha[49].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Château de Puylaurens[51].
  • Motte Saint-Jean à Saint-Jean-de-Tourtrac. La motte est située sur un léger relief de terrain, dans un vallon. De forme circulaire, elle a un diamètre de 30 m à sa base et de 10 à 15 m de hauteur. Un effondrement au pied de la motte indique l'entrée d'un souterrain artificiel connu des habitants du village voisin d'Alric. À la surface de la motte, des effondrements, des poteries et autres artefacts, semblant indiquer la présence de fosses[52].
  • Site du Fort (la Métairie Blanche). Le site du Fort est l'emplacement probable d'une ancienne motte. Au nord, à 150 m se trouve une cavité monocellulaire, complétée par une structure bâtie extérieure, creusée dans la falaise à laquelle on accédait par une petite galerie dotée de feuillures[53].
  • Académie de Puylaurens.
  • Église Notre-Dame d'Ardialle.
  • Église Notre-Dame de La Barthe.
  • Église Saint-Étienne de Florac.
  • Église Saint-Jean de Saint-Jean-de-Tourtray.
  • Église Notre-Dame-du-Lac de Puylaurens.
  • Église Saint-Loup de Saint-Loup.
  • Église Saint-Théodard de Vénès.
  • Temple protestant de Puylaurens. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2015[54].
  • Chapelle ruinée de Notre-Dame de Sabournac. Elle occupe le sommet d'une ancienne motte. On mentionne oralement l'existence sur le site d'un souterrain qui à ce jour n'a pas été localisé[55].

Personnalités liées à la commune

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Vie pratique

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Service public

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Enseignement

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L'éducation est assurée sur la commune de Puylaurens depuis la crèche jusqu'au collège.

Activités sportives

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Écologie et recyclage

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[35].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Puylaurens » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  2. Insee, « Métadonnées de la commune de Puylaurens ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Puylaurens » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Puylaurens » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Puylaurens » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Puylaurens » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources

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  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Puylaurens », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « l'Agout »
  7. Sandre, « le Girou »
  8. Sandre, « le ruisseau de Bagas »
  9. Sandre, « le ruisseau d'en Guibaud »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  13. « Station Météo-France « Puylaurens » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
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  21. « ZNIEFF les « bois Grand et bois de Caudeval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  52. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 364.
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  55. Noël et Stevens 2022, p. 372.
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