Renesas Electronics Corporation[1] | |
Création | 1er novembre 2002[1] |
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Forme juridique | Kabushiki gaisha |
Action | Bourse de Tokyo (6723) |
Siège social | Tokyo Japon |
Direction | Takao Endo (DG) Tetsuya Tsurumaru (DOP) |
Activité | Électronique |
Produits | Semi-conducteurs |
Filiales | Renesas Electronics (United Kingdom) (d) Renesas Electronics (United States) (d) Altium |
Effectif | 21 017[2] |
Site web | www.renesas.com (Global) |
Résultat net | 256,63 milliards de dollars américains (2022) +114% (2022) |
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Renesas Electronics (ルネサス エレクトロニクス, Renesasu erekutoronikusu ) est un important fabricant de semi-conducteurs japonais, coté à la bourse de Tokyo (TSE : 6723). Ses opérations portent sur le développement, la conception, la fabrication, les ventes et le service après-vente de composants électroniques.
Renesas Technology naît en en tant que coentreprise de Hitachi (55 %) et Mitsubishi Electric (45 %) spécialisée dans les semi-conducteurs.
Renesas Technology fusionne avec NEC Electronics (filiale de NEC spécialisée dans les semi-conducteurs créée en ) en et devient Renesas Electronics, coentreprise de NEC (33,97 %), Hitachi (30,62 %), Mitsubishi Electric (25,05 %) et Japan Trustee Services Bank (en) (1,49 %)[3].
Le , Renesas annonce la sortie du processeur d'architecture ARM, MP5232, un Cortex A9, dual core à 1.5GHz, équipé d'un processeur graphique PowerVR[4].
En , les effectifs sont réduits de 7 446 personnes, et le , un nouveau plan de départs de 3 000 à 4 000 employés est annoncé[5]. Entre 2012 et 2019, Renesas s'est séparé de 29 000 travailleurs, soit 60 % de ses effectifs[6].
En , l'INCJ acquiert pour 180 milliards de yens, soit l'équivalent de 2,2 milliards de dollars, 66,66 % de Renesas[7].
En , Renesas annonce vouloir acquérir Intersil pour près de 3,2 milliards de dollars[8],[9].
En , Renesas annonce l'acquisition d'IDT, entreprise américaine spécialisée notamment dans l'électronique analogique, pour 6,7 milliards de dollars[10].
En , Renesas annonce l'acquisition de Dialog Semiconductor pour 4,9 milliards d'euros[11].
Parts supérieures à 1 %, au [12] :
Hitachi | 30,62 % |
Mitsubishi Electric | 25,05 % |
Japan Trustee Services Bank (en) | 18,75 % |
NEC | 16,71 % |