Romont | ||||
Armoiries |
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Administration | ||||
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Pays | Suisse | |||
Canton | Berne | |||
Arrondissement administratif | Jura bernois | |||
Nom officiel | Romont (BE) | |||
Communes limitrophes | Court, Sorvilier, Péry, Plagne, Vauffelin, Perles, Longeau, Granges | |||
Maire | Yvan Kohler | |||
NPA | 2538 | |||
No OFS | 0442 | |||
Démographie | ||||
Gentilé | Rominat | |||
Population permanente |
222 hab. (31 décembre 2022) | |||
Densité | 32 hab./km2 | |||
Langue | Français | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 47° 11′ 25″ nord, 7° 20′ 30″ est | |||
Altitude | 755 m |
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Superficie | 7,03 km2 | |||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : canton de Berne
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Liens | ||||
Site web | www.romont-jb.ch | |||
Sources | ||||
Référence population suisse[1] | ||||
Référence superficie suisse[2] | ||||
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Romont est une commune suisse du canton de Berne, située dans l'arrondissement administratif du Jura bernois. Le nom allemand du village est Rothmund[3].
Romont se trouve à 9 km à vol d’oiseau au nord-est de Bienne. Le point culminant de la commune se situe à 1 100 m d'altitude[4]. Le village se situe à 750m d'altitude[4].
La première mention de Romont date de 1335[réf. nécessaire]. On rencontre plusieurs toponymes : Redemont, Rodemont, Rotmund[3]. Une notice de Pierre César sur le pays d'Erguël signale l'existence, vers l'an 1300, d'une maison de Romont appartenant à la famille vivant à Nidau. La commune était rattachée à la Seigneurie d'Erguël, elle-même possession des princes-évêques de Bâle[3]. Sur le plan religieux, la commune de Romont se rattachait à la paroisse bilingue de Perles[3].
De 1797 à 1815, Romont a fait partie de la France, au sein du département du Mont-Terrible, puis, à partir de 1813, du département du Haut-Rhin, auquel le département du Mont-Terrible fut rattaché[3]. Le village passe alors dans la paroisse de Bienne, puis, sur demande des habitants, dans celle de Vauffelin[4]. Par décision du congrès de Vienne, le territoire de l’ancien évêché de Bâle fut attribué au canton de Berne, en 1815[3]. Romont retourne donc à ce canton et, parallèlement, à la paroisse de Perles[4].
En 1839, Romont, qui faisait jusque-là partie du district de Büren, rejoint le district de Courtelary[3]. Le village quitte simultanément la paroisse de Perles pour celle de Vauffelin[3]. En 1863, elle obtient le statut de commune municipale et bourgeoisiale[3].
Romont est une commune bilingue : en 2014, 50,9 % parlaient le français et 47,6 % l'allemand, même si la langue officielle reste le français[5],[6].