Tercé

Tercé
Tercé
Carrière de Normandoux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Grand Poitiers
Maire
Mandat
Christian Richard
2020-2026
Code postal 86800
Code commune 86268
Démographie
Population
municipale
1 134 hab. (2021 en évolution de +1,7 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 31′ 03″ nord, 0° 33′ 53″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 136 m
Superficie 23,53 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chasseneuil-du-Poitou
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Tercé
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Tercé
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
Tercé
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Tercé

Tercé est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Tercéens et les Tercéennes.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Tercé est située à 19 km au sud-est de Poitiers, qui est la plus grande ville aux alentours.

La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Tercé
Saint-Julien-l'Ars Pouillé
Savigny-Lévescault Tercé Valdivienne
Fleuré

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La région de Tercé présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose[1], sur les plateaux du seuil du Poitou, de terres de brandes pour 42 %, de terres fortes pour 32 % et de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 26 %.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Aucun cours d’eau n'a été recensé sur le territoire de la commune.

232 mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal. Nombreuses dans la Vienne, elles ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage[2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 759 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Biard à 21 km à vol d'oiseau[6], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Les gares les plus proches de Tercé se trouvent à Mignaloux-Beauvoir à 11,74 km, Lussac-les-Châteaux à 17,15 km, gare de Dissay à 23,53 km, gare de Poitiers à 19,14 km et Chasseneuil-du-Poitou à 20,97 km.

L'aéroport et l'aérodrome les proches de Tercé sont :

Au , Tercé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,2 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), forêts (13,8 %), zones urbanisées (2,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Tercé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tercé.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[17]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2006 et 2010, par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1996, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Risque technologique

[modifier | modifier le code]

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 3]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 4],[21],[22].

Tercé : "Situé sur la troisième borne" borne leugaire de la voie gallo-romaine. Ad Tiercum (s.-e. lapidem, "à la troisième borne") donne Tercé. Ce qui donnerait une distance approximative de 7,2 km par rapport à une borne leugaire de référence à déterminer.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ligne de démarcation traversait la commune[23], du au , laissant le chef-lieu en zone occupée.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Depuis 2015, Tercé est dans le canton de Chasseneuil-du-Poitou (n° 1) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Tercé était dans le canton n° 24 de Saint-Julien-l'Ars dans la 1re circonscription.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1983 mars 2001 François Jallais DVG  
mars 2001 réélu en 2008[24] Christian Richard PS historien

Instances judiciaires et administratives

[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 1 134 habitants[Note 5], en évolution de +1,7 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
354329323378366415415412396
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
426432425489553649718686712
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
733747834741769696715673695
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
6306475988269521 0151 0551 0671 115
2018 2021 - - - - - - -
1 1171 134-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 45 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 1 085 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (21 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 1 064.

La répartition de la population, en 2010 était la suivante : 52,4 % d'hommes pour 47,6 % de femmes.

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école maternelle (114 places) dépend de l'inspection académique de la Vienne.

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[29], il n'y a plus que 11 exploitations agricoles en 2010 contre 22 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 497 hectares en 2000 à 1 359 hectares en 2010. 45 % sont destinées à la culture des céréales (en blé tendre essentiellement mais aussi un peu d'orge), 38 % pour les oléagineux (2/3 en colza et 1/3 en tournesol), 6 % pour le fourrage et 2 % restent en herbe. En 2000, un hectare (zéro en 2010) était consacré à la vigne[29].

Trois exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un élevage de bovins (87 têtes en 2010 contre 110 têtes en 2000). L'élevage d'ovins a connu une très forte baisse : 1 005 têtes en 2000 répartis sur neuf fermes contre 405 têtes en 2010 répartis sur six fermes[29]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[30].

La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

  • Chabichou du Poitou (AOC)
  • Beurre Charente-Poitou (AOC)
  • Beurre des Charente (AOC)
  • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
  • Veau du Limousin (IGP)
  • Agneau du Poitou-Charentes (IGP)
  • Jambon de Bayonne (IGP)

Selon l'INSEE, en 2009, il ne restait plus que deux commerces, une épicerie et un magasin de meubles.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Équipement culturel

[modifier | modifier le code]
  • Musée de la Seconde Guerre mondiale[32] date de 2004. Sa gestion est assurée par une association : l'association pour la Valorisation et l'Animation du Patrimoine Rural en Vienne et Moulière (VAPRUM). Il était logé dans un ancien presbytère. Après deux ans de travaux, le musée a déménagé en 2015, dans un nouveau site. Il se compose de salles de présentation des collections permanentes de 150 m2, d'une petite salle de conférence, d'une salle destinée aux expositions temporaires et d'une réserve de 80 m2. Il rassemble une soixantaine de panneaux explicatifs et environ 300 pièces : des armes, des masques à gaz, des uniformes mais aussi des objets de la vie quotidienne et des parachutes. Ces derniers étaient en effet récupérés par les résistants pendant le conflit afin d'être utilisés pour confectionner des vêtements dont certains sont exposés au musée. Un point de contrôle allemand, installé sur la ligne de démarcation, passant à quelques kilomètres seulement de Tercé, a été reconstitué. Une maquette du camp d'internement de Rouillé réalisé par une collégienne est également exposée. Le musée de la Seconde Guerre mondiale est le seul musée public sur ce thème dans le département de la Vienne.
  • La carrière de Normandoux, espace d’art contemporain comprenant entre autres un hôtel ainsi qu'un restaurant et un spa. La carrière abrite une salle de vidéo projection en plein air projetant des reportages "Microcosmos". Le le Domaine de Normandoux est placé en liquidation judiciaire[33].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Illustration filmée : émission La Carte Au Trésor diffusée sur France 3 le .

Articles de Wikipédia

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  4. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
  2. Mares répertoriées par maille, d’après cartes IGN, dans l’Inventaire des mares de Poitou-Charentes - Poitou-Charentes Nature 2003
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Tercé et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Poitiers-Biard » (commune de Biard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Poitiers-Biard » (commune de Biard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Tercé ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Tercé », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Tercé », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur edf.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  23. Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », , 63 p. (ISBN 2-910919-98-6), carte p 5
  24. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  30. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
  31. « Eglise paroissiale », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  32. Fabienne Maurice, « Un nouveau don au musée », Centre Presse, 7 août 2010, p. 23.
  33. « Dans la Vienne, la liquidation judiciaire du domaine du Normandoux laisse des futurs mariés dans le désespoir », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).