Lors d'un séjour à Berlin, il avait fait la connaissance de Friedrich Nicolai, et fut bientôt un assidu de la Société de Mercredi de ce penseur des Lumières. Il se lia également d'amitié avec Moses Mendelssohn. Il était l'un des rédacteurs des lettres relatives à la littérature parues à Berlin en 24 livraisons de 1733 à 1765, et signait B*. Au retour d'un séjour d'une année en France, il passa par Ferney pour rencontrer Voltaire. Il fut l'un des représentants les plus caractéristiques des tendances illuministes de son époque.
Benjamin W. Redekop: Enlightenment and Community. Lessing, Abbt, Herder and the Quest for a German Public, Montreal: McGill-Queen's University Press, 2000. (McGill-Queen's studies in the history of ideas, 28)
Eva Piirimäe: Dying for the Fatherland. Thomas Abbt’s Theory of Aesthetic Patriotism, in: History of European Ideas, (ISSN0191-6599), 35 (2009), S. 194–208.
Friedrich Wilhelm Strieder: Grundlage zu einer Hessischen Gelehrten und Schriftsteller Geschichte. Seit der Reformation bis auf gegenwärtige Zeiten. Barmeier, Göttingen, 1781, Bd. 1, S. 1 (Online)
Johann Georg Meusel: Lexikon der vom Jahr 1750 bis 1800 verstorbenen teutschen Schriftsteller. Gerhard Fleischer d. J., Leipzig, 1802, Bd. 1, S. 3 (Online)
Johann Gottfried Herder: Ueber Thomas Abbts Schriften. Der Torso von einem Denkmaal, an seinem Grabe errichtet. Erstes Stück, 1768[2]