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Le traité définit les grandes lignes qui doivent servir de base aux relations pacifiques, à la coopération économique, ainsi qu'à la confiance diplomatique et géopolitique. L'article n°9 du traité stipule que "Lorsqu'une situation se présente dans laquelle l'une des parties contractantes estime que la paix est menacée et compromise ou que ses intérêts en matière de sécurité sont en jeu ou lorsqu'elle est confrontée à une menace d'une agression, les parties contractantes procéderont immédiatement à des contacts et à des consultations afin d'éliminer ces dites menaces." [3] D'autres articles (Article n°7 et n°16) indiquent un renforcement de la coopération militaire, notamment le partage du "savoir-faire militaire" (Article 16), à savoir l'accès chinois à la technologie militaire russe.
Selon Paul Stronski et Nicole Ng de la Fondation Carnegie pour la paix internationale, "la plus grande menace pour l'Occident du partenariat sino-russe émane de leurs efforts pour ajuster le système international à leur avantage"[4].
La Chine souhaite développer et moderniser ses forces armées, dont une grande partie reste obsolète. [Passage à actualiser] Ce processus peut être accéléré grâce à la formation et à la technologie militaires russes.
La Chine souhaite obtenir un niveau stable, constant et abordable d'importation de carburant, en particulier de pétrole. Cet objectif peut être mieux atteint par l'achat et la livraison de pétrole russe, notamment la construction d'un oléoduc Sibérie orientale-océan Pacifique[6].
La Russie s'efforce d'obtenir des sources de capitaux, dont elle a besoin à la suite de graves pertes subies par les spéculateurs internationaux au cours du processus de dissolution de l'Union soviétique[Passage à actualiser] . Cet effort peut être considérablement aidé par l'utilisation de capitaux chinois. En conséquence:
La Russie veut trouver des sources d'emploi pour sa main-d'œuvre qualifiée.
La Russie veut vendre sa technologie et son expertise militaire.
La Russie veut vendre ses importantes réserves de pétrole et de gaz naturel.
La Russie reçoit l'assurance que l'expansion de son influence économique chinoise dans l'espace post-soviétique ne s'oppose pas à l'influence politique russe[4].
Concurrence économique avec les États-Unis, le Japon et l'UE
Les États-Unis, le Japon et l'Union européenne sont les trois puissances économiques qui disposent d'une main-d'œuvre qualifiée et d'un accès aux capitaux. La Russie et la RPC peuvent rivaliser plus efficacement avec ces puissances dans l'économie mondiale, la Russie ayant accès aux capitaux chinois et la Chine ayant accès à la formation et à la technologie russes.