Trancault

Trancault
Trancault
Centre du village
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Nogent-sur-Seine
Intercommunalité Communauté de communes de l'Orvin et de l'Ardusson
Maire
Mandat
Kévin Gravelle
2020-2026
Code postal 10290
Code commune 10383
Démographie
Gentilé Tranquilisiens, Tranquilisiennes
Population
municipale
180 hab. (2021 en évolution de −1,64 % par rapport à 2015)
Densité 6,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 22′ 24″ nord, 3° 32′ 16″ est
Superficie 26,8 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nogent-sur-Seine
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Lyé
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Trancault
Géolocalisation sur la carte : France
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Trancault
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Trancault
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Trancault

Trancault est une commune française située dans le département de l'Aube, en région Grand Est.

Ses habitants s'appellent les Tranquilusiens.

Géographie

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Communes limitrophes de Trancault
Soligny-les-Étangs Avant-lès-Marcilly Charmoy
La Louptière-Thénard Trancault
Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes
Yonne
Bourdenay

Située à 14 km au sud de Nogent-sur-Seine[1], la commune est traversée par la rivière l'Orvin dans laquelle vient se jeter le ru le Rognon[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Orvin, un bras de l'Orvin et le Rognon[3],[Carte 1].

L'Orvin, d'une longueur de 38 km, prend sa source dans la commune de Saint-Lupien et se jette dans la Seine à Villiers-sur-Seine, après avoir traversé douze communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Trancault[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassée Voulzie ». Ce document de planification concerne le territoire du bassin versant de l'Armançon qui s’étend sur 1 710 km2 et se répartit sur trois départements (l'Aube, l'Yonne et la Marne). Le périmètre a été arrêté le , le diagnostic a été validé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat mixte ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), dont le siège est à Troyes[5].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bouy-sur-Orvin », sur la commune de Bouy-sur-Orvin à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −20,5 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Trancault est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nogent-sur-Seine, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,5 %), forêts (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Trancault est habité dès le néolithique. La commission de la topographie des Gaulles répertorie en 1878, pas moins de 7 dolmens à Trancault. C'est alors la commune la plus riche de l'Aube pour ce type de monuments (un total de 27 Dolmens sont répertoriés sur 11 communes de l'Aube)[18].

L'église Saint-Pierre-ès-Liens du hameau de Villeneuve-aux-Riches-Hommes est rattachée à l'abbaye de Molesme au XIIe siècle. En 1515 elle est reconstruite ; mais dès le XVIIe siècle elle est mentionnée comme étant en très mauvais état. Elle est vendue comme bien national en l'an V et de nouveau restaurée en 1853. Propriété privée très délabrée au début du XXe siècle, la marquise de Maillé s'attache à sa restauration. En une association de sauvegarde de l'église est créée et restaure le toit (charpente et couverture)[19].
Cette église abrite quelques tombes, dont celle de Pierre Antoine Crépin, procureur au parlement de Paris à la fin du XVIIe siècle[19].

En 1832, les communes de Villeneuve-aux-Riches-Hommes et de Charmesseaux, se fusionnent dans la commune de Trancault.

De 1973 à 1999, les communes de Bercenay-le-Hayer, de Bourdenay et de Trancault sont fusionnées pour former la commune de Val-d'Orvin[20].

Politique et administration

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Mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2008 M. Jacky Blanchet    
mars 2008 2014 Mme. Sandrine Doyen[21]    
mars 2014 mai 2020 M. Jean-Claude Bollaert LR Agriculteur retraité
mai 2020 En cours Kevin Gravelle[22]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 180 habitants[Note 4], en évolution de −1,64 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
244215239205279336349335345
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
352371358325309311285292254
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
234237236198219210198209200
1962 1968 2006 2007 2012 2017 2021 - -
193159202206175186180--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 98 hommes pour 87 femmes, soit un taux de 52,97 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,1 
7,1 
75-89 ans
16,1 
15,1 
60-74 ans
9,2 
20,2 
45-59 ans
24,1 
20,2 
30-44 ans
18,4 
14,1 
15-29 ans
16,1 
23,2 
0-14 ans
14,9 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2021 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
7,4 
75-89 ans
10,2 
17,4 
60-74 ans
18,4 
19,4 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,3 
18,3 
15-29 ans
15,9 
19 
0-14 ans
17,1 

Lieux et monuments

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Église Saint-Pierre
  • Sur les 7 dolmens répertoriés en 1878 par la commission de la topographie[18], il en reste peu. En 2020, un dolmen répertorié par le Service National d'Archéologie a été détruit par un agriculteur pour faire pousser ses betteraves[29].

Personnalités liées à la commune

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Plusieurs membres de la famille Feydeau sont inhumés en l'église de Trancault:

  • Charles-François Feydeau, baron de Bourdenay, seigneur de Trancault, Charmoy, Charmesseaux, Etreiles. Ecuyer. Il décède le et est inhumé en l'église de Trancault.
  • Charles-François Feydeau. Petit-fils du précédent. Chevalier de Saint Louis, baron de Bourdenay, seigneur de Trancault, Charmoy et Charmesseaux, lieutenant-colonel au régiment des Gardes Françaises. Il teste en 1762 dans son château de Trancault.
  • Charles Lefèvre du Quesnoy, seigneur de Trancault. Né le à Valognes (Manche), il décède le . Époux en 1750 de Jeanne Feydeau (sœur du précédent). Elle décède le à Trancault[34].

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Trancault » sur Géoportail (consulté le 18 mai 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Trancault », sur google.fr/maps.
    Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
  2. « Trancault, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  3. « Fiche communale de Trancault », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  4. Sandre, « l'Orvin »
  5. « SAGE Bassée Voulzie », sur gesteau.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Trancault et Bouy-sur-Orvin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Bouy-sur-Orvin », sur la commune de Bouy-sur-Orvin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Bouy-sur-Orvin », sur la commune de Bouy-sur-Orvin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nogent-sur-Seine », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « LISTE DES DOLMENS ET ALLÉES COUVERTES DE LA GAULE Classés par départements, d'après les documents recueillis par la Commission de la topographie des Gaules, 1878. Revue Archéologique, Nouvelle Série, Vol. 35 (Janvier à Juin 1878), pp. 316-333 (18 pages) » [PDF], sur JSTOR, (consulté le ).
  19. a b et c D.B., « Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes », église de Villeneuve-aux-Riches-Hommes, sur sauvegardeartfrancais.fr (consulté en ).
  20. « Commune de Val-d'Orvin (10054) − COG | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Site officiel de la préfecture de l‘Aube
  22. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21599644
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trancault (10383) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
  29. « dolmen-ou-tas-de-cailloux-un-agriculteur-condamne » Inscription nécessaire, sur Journal L'Est Eclair, (consulté le ).
  30. Michel de la Torre, Aube - le guide complet de ses 430 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5010-1)
  31. « CHAPELLE DE VILLENEUVE-AUX-RICHES-HOMMES », sur stmaurice89.fr (consulté le ).
  32. Journal L'Est Éclair, « Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes:le clocher de la chapelle de Villeneuve restauré », L'Est-Éclair,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  33. https://www.lyonne.fr/saint-maurice-aux-riches-hommes-89190/actualites/des-edifices-ont-disparu-du-senonais-au-fil-de-lhistoire_13838435/
  34. Pierre Millat, « Inventaire du château de Trancault au décès, en 1774, de Charles Lefèvre du Quesnoy, seigneur de Trancault », Bulletin des Amis de la chapelle de Villeneuve-aux-Riches-Hommes, no 30,‎ , p. 33 à 60.

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Articles connexes

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Liens externes

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