Treigny

Treigny
Treigny
Chantier médiéval de Guédelon, sur la commune de Treigny.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Commune Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe
Intercommunalité Puisaye-Forterre
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Paulo Da Silva Moreira
2019-2020
Code postal 89520
Code commune 89420
Démographie
Population 806 hab. (2016 en évolution de −10,14 % par rapport à 2010)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 34′ 56″ nord, 3° 11′ 07″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 367 m
Superficie 52,70 km2
Élections
Départementales Vincelles
Historique
Commune(s) d'intégration Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Treigny
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Treigny
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Voir sur la carte topographique de l'Yonne
Treigny
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne
Voir sur la carte administrative de Bourgogne
Treigny

Treigny est une commune française de la Puisaye, dans le département de l'Yonne en Bourgogne (région Bourgogne-Franche-Comté).

Géographie

[modifier | modifier le code]

Le village est situé en Puisaye dans le sud-ouest du département de l'Yonne, à 50 km au sud-ouest d'Auxerre et 200 km au sud-est de Paris[1], chef-lieu du département de l'Yonne.

La commune est limitrophe de trois communes de la Nièvre : Saint-Amand-en-Puisaye, Dampierre-sous-Bouhy et Bouhy[2].

La Loire coule à 20 km (en ligne droite) au sud-ouest à La Celle-sur-Loire[2].

Description

[modifier | modifier le code]

Le territoire est riche en forêt, qui couvre pratiquement tout le nord de la commune, et en eau avec de très nombreux étangs et cours d'eau.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La Vrille, affluent de la Loire et qui prend source sur la commune, est ramifiée en quatre bras dont l'un arrose Treigny ; elle reçoit ensuite sur la commune trois petits affluents en rive droite et se sépare plusieurs fois en deux ou trois bras[2].

Le Bourdon, divisé en deux bras à sa source, prend lui aussi source sur la commune. L'une de ces branches fournit les étangs de Chassin puis de Guédelon ; elle rejoint ensuite le lac du Bourdonkm après sa sortie de la commune, ayant au passage alimenté l'étang de Charmoy sur Moutiers-en-Puisaye. L'autre branche, plus à l'ouest, fournit les étangs du Château (dit également étang des Moines) et l'étang des Midoux avant de rejoindre le lac du Bourdonkm en aval[2].

Le Loing prend source sur la limite de commune avec Sainte-Colombe-sur-Loing[n 1].

La ligne de partage des eaux entre Loire et Seine passe par Treigny[3] : le Bourdon au nord est un tributaire de la Seine, la Vrille au sud va à la Loire[2].

Au nord-ouest, couches du Crétacé (principalement en vert sur la carte, sauf mention autre) : n3, Hauterivien, calcaires jaunes ; n4a et n4b, Barrémien inférieur et supérieur (en jaune clair) ; n7a et n7b, jonction Albien et Cénomanien.

Au sud-est, couches du Jurassique (en bleu sur la carte) : J7a et J7b, Tithonien inférieur et moyen, 150,7 M. d'années à 145,99 M. d'années ; J8, Tithonien supérieur, 145,99 M. d'années à 142,2 M. d'années ± 2,6 ; J9, Portlandien, calcaires blonds.

FC, présent dans certaines vallées, correspond à des alluvions et colluvions de fond de vallée et des cônes de déjection associés.

La large tache jaune clair (environ 380 ha) marquée LP aux Gâtines Beauchet et alentours au nord-ouest de Treigny, correspond à des limons (Quaternaire) recouvrant localement la craie du Crétacé. Ces plaques, typiques de la bordure Est du bassin Parisien, sont des formations argilo-limoneuses provenant de la décomposition du calcaire[4]. Sur son côté sud, au nord-ouest de ru Bourrier, se trouvent 10 ha de sable ; quelques autres lieux portent aussi l'indication de sable ("SAB"). On trouve également de nombreuses indications ponctuelles d'argile et quelques-unes de grès[5].

Ce coin de Puisaye est une terre d'élection pour les potiers dont les ateliers exploitent l'argile blanche ou rouge (ferrugineuse) de la région.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas de grand axe routier sur la commune, qui est par contre abondamment sillonnée de petites routes de campagne. Les deux routes les plus importantes sont la D 99 qui joint Cosne-sur-Loire (32 km au sud-ouest) à Joigny (57 km au nord), traversant le nord-ouest et l'ouest de la commune ; et en bordure est de commune, la D 7 joignant Châtillon-Coligny (46 km au nord-ouest) et devenant dans la Nièvre la D 3 jusqu'à Entrains-sur-Nohain (13 km au sud-est)[1].

L'autoroute A77, ou « autoroute de l'Arbre », passe à Cosne-sur-Loire où se trouve l'échangeur no 22 (27 km).

Les gares les plus proches sont à Cosne-Cours-sur-Loire au sud et à Auxerre au nord (50 km).

Il n'y a pas de bus desservant Treigny. Les transports scolaires rejoignant Toucy étaient assurés par le syndicat intercommunal des collège et lycée de Toucy[6], qui est dissout au 1er janvier 2020. La distribution des cartes de transport sera faite directement par la région, par courrier[7].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Dans la figure des communes voisines qui suit, les distances données sont celles à vol d'oiseau. Le nombre d'habitants pour chaque ville apparaît en plaçant la souris sur le point correspondant. Les noms en gras sont ceux des sept communes limitrophes (dont trois dans la Nièvre) : Moutiers-en-Puisaye, Sainte-Colombe-sur-Loing, Lainsecq, Sainpuits, Bouhy (Nièvre), Dampierre-sous-Bouhy (Nièvre), Saint-Amand-en-Puisaye (Nièvre)[2].

Distances et positions relatives des communes voisines
Distances et positions relatives des communes voisines
Treigny
Treigny
Ville de 571 habitants (2016)
Saints
(9,7km)
Ville de 305 habitants (2016)
Thury
(9,2km)
Ville de 315 habitants (2016)Sainpuits (6,7km)
Ville de 813 habitants (2016)Entrains (11km)
Ville de 334 habitants (2016)
Lainsecq
(6,7km)
Ville de 454 habitants (2016)
Bouhy
(7,4km)
Ville de 307 habitants (2016)
Bitry
(10,3km)
Ville de 1282 habitants (2016)
St-Amand
(8,6km)
Ville de 1636 habitants (2016)
St-Fargeau
(13,1km)
Ville de 276 habitants (2016)
Moutiers
(6,6km)

Hameaux, lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

Outre les nombreux hameaux dont la liste suit, la commune est parsemée d'un grand nombre de lieux-dits et écarts aux noms évocateurs, comme Fosses aux Loups[n 2], le Pas de Loup[n 3] ou le Pas Vaut Guère[n 4]. Près du château de la Bussière (ne pas confondre avec d'autres châteaux de la Bussière) se trouve un lieu-dit les Masures[n 5]. Le nom Masure ou Mazure signifie au XVIe siècle une manœuvrerie, de même qu'un mazurier était un manœuvre ou ouvrier, attaché à une ferme ou un domaine tout en en étant indépendant[8].

Au XVIe siècle le seigneur de Perchin est François Ier de La Rivière, fils de Jean Bureau de la Rivière[9], seigneur de la Rivière[n 6]. Enfant d'honneur ou page de Charles VIII, il épouse en 1499[10] Madeleine de Savoisy, dame de Seignelay et héritière de la maison de Seignelay[9] dont il a eu 11 enfants. Son testament date de 1534[10]. Son ancêtre Bureau de la Rivière († 16 aout 1400), grand chambellan de Charles V et de Charles VI, était seigneur de Chassin au XIVe siècle.

En 1972, Treigny absorbe les communes voisines de Perreuse et de Sainte-Colombe-sur-Loing. En 1976, Treigny "cède" la commune de Sainte-Colombe-sur-Loing qui redevient une commune à part entière.

Le marque un retour à une commune avec les limites fixées en 1972 à la suite d'un arrêté préfectoral du [11]. Son nom fut initialement Treigny-Perreuse-Sainte Colombe mais un arrêté rectificatif, en date du corrige le nom de la commune en Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe de sorte qu'il corresponde aux normes toponymiques françaises[12].

Unique au monde, le projet de création du château médiéval de Guédelon a généré une réelle dynamique sur la commune et les environs. Au-delà des emplois créés et de la dynamique de fonctionnement induites par les nombreux bénévoles, le chantier est passé d'une affluence de 80 000 personnes la première année, à environ 265 000 en 2013, malgré une baisse entre 2009 et 2013. Il reçoit plus de 300 000 visiteurs en 2015, ce qui assure le financement du projet et en fait le deuxième site touristique de Bourgogne, après les Hospices de Beaune.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2019 En cours Paulo Da Silva Moreira LREM Médecin
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981[13] mars 2008 Gérard Morisset UDF Conseiller général
du canton de Saint-Sauveur-en-Puisaye (1982-2008)
mars 2008 mars 2014 Gaëtan Dupont[14]    
mars 2014 décembre 2018 Paulo Da Silva Moreira SE puis LREM[15] Médecin[16]

Tendances et résultats politiques

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2016, la commune comptait 806 habitants[Note 1], en évolution de −10,14 % par rapport à 2010 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8071 8471 9402 1172 2492 2842 3032 5172 590
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5052 6002 6862 6642 5912 5582 5602 5072 411
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2012 1092 0471 6421 5621 5041 4351 3651 260
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1511 0701 1961 000932840878910806
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Le château de Ratilly.
  • Le chantier-médiéval de Guédelon : construit sous les yeux des visiteurs, un château fort dans le respect des techniques du XIIIe siècle, au cœur d'une ancienne carrière boisée, dans un espace naturel mettant à la disposition de 45 « œuvriers » tous les matériaux nécessaires à la construction : l'eau, la pierre, la terre, le sable et le bois.
  • Le château de Ratilly du XIIIe siècle.
  • Le château de la Bussière : château construit aux XIIe, XVe, XVIe et XVIIe siècles, restauré au XXIe siècle. À ne pas confondre avec le château de La Bussière dans le Loiret, ou le château de La Bussière à Oullins dans le Rhône.
  • L'église Saint-Symphorien, gothique, du XVe siècle, classée monument historique ; surnommée « cathédrale de la Puisaye ».
  • Le couvent : bâtiment dont les parties les plus anciennes remontent au XVe siècle. Il a appartenu à la congrégation des sœurs hospitalières de la Providence de Sens et abrité une école. Restauré par la commune, il accueille aujourd'hui des expositions de céramique contemporaine.
  • Le parc Nature Aventures du Bois de la Folie (accrobranche)[22].
  • Le parc naturel de vision de Boutissaint[23]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Élodie Frégé, née à Cosne-Cours-sur-Loire en 1982, (gagnante en 2003 de l'émission Star Academy) a passé toute son enfance à Treigny.
  • Antoine de Vinck, céramiste sculpteur belge, a vécu et travaillé sur la commune de Treigny les dernières années de sa vie, de 1984 à 1992. Il est l'auteur de la Croix des potiers érigée dans le hameau du Chaineau.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Treigny Blason
D'argent à la barre ondée d'azur, accompagnée en chef d'un chêne arraché de sable, feuillé de sinople et englanté d'or, et en pointe de trois épis de blés, tigés, feuillées et empoignés d'or; sur le tout, d'or à la bouteille de grès en couronne de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Arthur de Vathaire de Guerchy, « Notice sur Treigny et la vie de nos ancêtres », Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne Année 1935, Auxerre, vol. 89,‎ , p. 9-132 (lire en ligne)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. « La source du Loing, carte interactive » sur Géoportail.
  2. « Fosses aux Loups, carte interactive » sur Géoportail.
  3. « Pas de Loup, carte interactive » sur Géoportail.
  4. « Pas Vaut Guère, carte interactive » sur Géoportail.
  5. « Les Masures, carte interactive » sur Géoportail.
  6. François Ier de La Rivière était aussi seigneur de Champlemy, vicomte de Tonnerre et de Quincy, baron de Seignelay, seigneur de Anthiol, Arzembouy, Beaumont, Bennes, Bonnard, Boulon (commune de Lurcy-le-Bourg), Cheny, Chevannes, Colméry, Corvol le Damp-Bernard, La Garde, Lurcy-le-Bourg, Lucy- ou Lurcy-le-Châtel, Norry, Ormoy, Perchin, Poilly, Rebourceau (Rebourseaux, commune de Vergigny), Saint-Martin, Souffin, Vézannes, etc. Comme son ancêtre Bureau de la Rivière avait été seigneur de Chassin, il est possible que François Ier de La Rivière ait également tenu Chassin et d'autres lieux sur Treigny.
Notes sur la démographie
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b « Treigny », sur google.fr/maps.
    Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
  2. a b c d e et f « Treigny, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  3. Christian Picardeau, « Treigny retrouve ses racines vineuses », L'Yonne Républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. M. Donsimoni, « Carte géologique harmonisée du département de la Meuse - notice technique », sur infoterre.brgm.fr, BRGM, (consulté le ), p. 40.
  5. « Treigny, carte interactive géologie » sur Géoportail.
  6. « TRANSPORTS SCOLAIRES TOUCY - Les circuits », sur web.archive.org, (consulté le )
  7. « Le syndicat intercommunal de transport du collège et du lycée de Toucy va s'arrêter », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne [sur lyonne.fr], consulté le ).
  8. M. Déy, Histoire de la Ville et du Comté de Saint-Fargeau, Auxerre, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 409.
  9. a et b Philippe Le Bas, « Famille de la Rivière », dans Dictionnaire Encyclopédique, vol. 10, Paris, impr. Firmin Didot frères, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 65.
  10. a et b Jean Née de la Rochelle, Pierre Gillet et Jean-François Née de La Rochelle, « Jean Bureau », dans Mémoires pour servir à l'histoire, politique et littéraire, à la géographie ... du département de la Nièvre, 1827.
  11. Patrice Latron, « Arrêté N°PREF/DCL/BCL/2018/2205 du 29.11.18 portant création de la commune nouvelle de Treigny-Perreuse-Sainte Colombe », Recueil des actes administratifs spécial n°89-2018-109,‎ , p. 3-6 (lire en ligne [PDF])
  12. Patrice Latron, « Arrêté n° PREF/BCL/2018/2310 portant modification de l'arrêté préfectoral n° PREF/DCL/BCL/2018/22205 du 29 novembre 2018 portant création de la commune nouvelle de Treigny-Perreuse-Sainte Colombe », Recueil des actes administratifs spécial n°89-2018-116,‎ , p. 161-163 (lire en ligne [PDF])
  13. « Élection du président de la République », sur legifrance.gouv.fr, Journal officiel de la République française, (consulté le ).
  14. Conseil général de l’Yonne, « Ma Commune » (consulté le ).
  15. Tiphaine Pfeiffer, « Yonne : Paulo Da Silva Moreira, En marche dans la 1re circonscription », sur France 3 Bourgogne Franche-Comté, (consulté le ).
  16. « Treigny 89420 », sur france3-regions.francetvinfo.fr (consulté le ).
  17. Résultats de l'élection présidentielle de 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur..
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
  22. Damien Cornillet, « Parc d'aventure, Nature Adventure du Bois de la Folie », sur Parc d'aventure du Bois de la Folie (consulté le )
  23. « Parc Naturel de Boutissaint », sur Parc Naturel de Boutissaint (consulté le )