Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Trélissac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde : sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Campanien 2 : calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie (formations de Marsaguet, de Segonzac et sommet de Trémolat)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 82 mètres et 239 mètres[5],[6].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 22,88 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 24,08 km2[3].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[20].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 904 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 7 km à vol d'oiseau[21], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe principalement dans sa « zone de transition », et partiellement, en vallée de l'Isle, dans sa « zone tampon »[27].
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2022, deux ZNIEFF sont recensées sur la commune d'après l'INPN[30].
le site « vallée de l'Isle en amont de Périgueux » est une zone de prairies humides qui concerne cinq communes, depuis Sarliac-sur-l'Isle au nord-est jusqu'à Trélissac au sud-ouest ; Trélissac est concerné très marginalement par cette ZNIEFF, sur environ deux hectares, au sud-est du lieu-dit Malayolle[32]. L'intérêt majeur de cette ZNIEFF réside dans la présence d'une espèce déterminante de plantes, la Jacinthe des bois (Hyacinthoides non-scripta)[33].
De plus, un site sur lequel ont été observées vingt espèces différentes d'orchidées sauvages a été délimité au nord du bourg de Trélissac[34] ; il est délimité à l'est par l'avenue Jean-Jaurès, au nord par la rue du 8-Mai-1945 et au sud par la rue du 19-Mars-1962.
Au , Trélissac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[35].
Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[36],[37]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[37]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38],[39].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (44,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (40,8 %), zones urbanisées (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), prairies (6,5 %), terres arables (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
En 2012, la commune dispose de 6,11 % de logements sociaux, taux largement inférieur à l'obligation minimale de 20 % pour les communes de plus de 3 500 habitants dans l'agglomération périgourdine, ce qui a valu à la commune de payer en 2013 des pénalités pour un montant de 100 000 euros[41].
Début 2021, la commune dispose de 11 % de logements sociaux[42]. Elle a jusqu'à 2025 pour atteindre ce quota et plusieurs projets sont en cours, notamment un dans le parc du château Magne[42].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Périgueux, regroupant 12 communes concernées par un risque de débordement de l'Isle, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[45]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1783 (15,21 m à l'échelle de crue, la crue la plus importante connue), de 1843 (14,83 m) et de 1944 (14,5 m, 630 m3/s, la crue centennale de référence). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[46]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[47],[43]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomération de Périgueux » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l’Isle, avec un débit estimé de 630 m3/s à Périgueux, présente une période de retour centennale et sert de crue de référence au PPRI[48].
Trélissac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[49]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[50],[51].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[52]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[53]. 92 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[54].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[43].
Une occupation du site au Néolithique puis au Moyen Âge a été constatée en 2011 lors de fouilles archéologiques au niveau du parc d'activités de Borie Porte[56].
Le village est identifié sous le nom de Traillissac sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789.
Au XIXe siècle, les bâtiments communaux, situés en zone humide, nécessitaient de nombreuses et couteuses réparations[57].
De 1870 à 1874, un nouveau centre bourg (église, presbytère, mairie, école, avec leurs dépendances et jardins) fut alors construit de l'autre côté de la route nationale 21, à la suite d'une proposition d'Alfred Magne et à ses frais[57].
À la fin des travaux, Alfred Magne est devenu propriétaire des anciens bâtiments et terrains situés en bordure de l'Isle et sur lesquels il fera ensuite ériger le château Magne et son parc.
La population de la commune étant comprise entre 5 000 et 9 999 habitants au recensement de 2017, vingt-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[59],[60].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[70].
En 2021, la commune comptait 7 268 habitants[Note 11], en évolution de +9,66 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sport athlétique trélissacois, club de rugby fondé en 1961[73], relégué en Fédérale 3 en 2021 pour raisons financières[74]. À la mi-, avant le lancement de la saison 2023-2024, les dirigeants demandent la liquidation de l'association du SAT[75],[76]. Afin de pérenniser la pratique du rugby à Trélissac et d'y conserver l'existence d'une école de rugby, un nouveau club est créé dans la foulée avec une demande d'affiliation fédérale, le Rugby Club de Trélissac (RCT)[75],[76] qui fait ses débuts lors de la saison 2023-2024 en Régionale 2[77].
Sport Nautique Trélissacois, club d'aviron fondé en 2006.
Élan Sportif Trélissacois ESP, club d'athlétisme.
Croquants Foot, fondé en 1981, club sport amateur loisir ouvert aux plus de 30 ans.
La « Caussadaise[Note 12] » est une épreuve de course nature qui propose différents parcours (15e édition en 2019 avec courses de 5, 12 ou 17 km pour les adultes ou adolescents, et de 800 m, 1 200 m et 2 km pour les enfants.)[80],[81].
En 2018[83], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 2 906 personnes, soit 42,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (316) a fortement diminué par rapport à 2013 (363) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,9 %.
En 2018, la commune offre 3 485 emplois pour une population de 6 821 habitants[84]. Le secteur tertiaire est ultra prédominant avec 69,7 % des emplois.
Fin 2018, la commune compte 324 établissements actifs employeurs[85], dont 254 au niveau des commerces, transports ou services, 40 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 17 dans la construction, 10 dans l'industrie, et 3 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[86].
Au on recense 406 entreprises — hors agriculture — dans la commune dont 158 dans le commerce, le transport, l'hébergement ou la restauration (38,9 %), 114 dans les services aux particuliers (28,1 %), 73 dans les services aux entreprises (18,0 %), 38 dans la construction (9,4 %), et 23 dans l'industrie (5,7 %)[87].
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, cinq situées à Trélissac se classent parmi les cinquante premières quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016[88] :
Trelidis (hypermarché), 3e avec 113 783 k€ ;
Garage moderne Serreau SA (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 8e avec 50 104 k€ ;
SA réparation distribution auto (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 11e avec 46 813 k€ ;
Jean Lagarde (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 25e avec 34 363 k€ ;
H. Deluc et compagnie (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 38e avec 27 218 k€.
Avec cinq entreprises parmi les cinquante premières de Dordogne, Trélissac est la deuxième commune la mieux représentée dans ce classement, derrière Boulazac Isle Manoire et ses onze entreprises.
Parmi les cinquante premières entreprises de chaque secteur économique dans le département, classées selon le chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016, on trouve implantées à Trélissac :
ABM Périgueux (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 32e avec 19 569 k€ ;
Les Romains (supermarché), 39e avec 16 695 k€ ;
dans les services, SA Clinique du Parc (activités hospitalières), 17e avec 6 152 k€[90] ;
dans le BTP, Stelso (construction de réseaux électriques et de télécommunications), 47e avec 2 549 k€[91] ;
dans l'agroalimentaire, Fournil des Jalots (boulangerie-pâtisserie), 44e avec 1 454 k€[92].
En nombre total d'entreprises classées parmi les 50 premières de la Dordogne pour chaque secteur économique, la commune occupe avec 10 entreprises la quatrième place — ex aequo avec Périgueux — derrière Boulazac Isle Manoire (26), Bergerac (21) et Sarlat-la-Canéda (16).
Pierre Magne (1806-1879), homme politique, ministre des finances de Napoléon III, était propriétaire du vieux château de Trélissac. Son fils, Alfred Magne, fit ériger juste à côté le château Magne.
Thierry Dusautoir a commencé sa carrière de rugbyman dans le club du SAT (Sport Athlétique Trélissac) à l'âge de 20 ans (2001) avant de progresser rapidement dans les grands clubs d'Aquitaine.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le tribunal administratif de Bordeaux annule le 10 juin 2008 les élections de mars 2008, Sud Ouest, édition Périgueux du 11 juin 2008. M. Colbac ayant fait appel, le Conseil d'État confirme le 31 décembre 2008 cette invalidation. Elle entraîne la révocation du maire et du conseil municipal, une mise sous tutelle de la commune à compter du 14 janvier 2009 et de nouvelles élections en mars 2009 Sud Ouest, édition Périgueux, du 1er, du 14 et du 20 janvier 2009.
↑Délégation spéciale chargée de gérer la commune dans l'attente de nouvelles élections. « Commission spéciale pour gérer Trélissac », Sud Ouest, édition Périgueux, du 15 janvier 2009
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Le nom de Caussadaise est dérivé du château de Caussade situé sur les hauteurs de Trélissac.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 33.