Réalisation | Lisa Azuelos |
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Scénario | Lisa Azuelos |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Bethsabée Mucho Pathé TF1 Films Production Movie Pictures Chaocorp |
Pays de production | France |
Genre |
Romance Drame |
Durée | 81 minutes |
Sortie | 2014 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Une rencontre est un film romantique et dramatique français réalisé par Lisa Azuelos, sorti en 2014, avec Sophie Marceau et François Cluzet dans les rôles principaux. Le film est dédié à Valérie Benguigui, qu'un cancer a emportée l'année précédente.
Elsa, écrivain et Pierre, avocat pénaliste parisien, se croisent lors de la soirée de clôture du salon du livre de Rennes. Très nerveux tous les deux, cette rencontre peut peut-être donner lieu à une belle histoire d'amour.
Sauf que Pierre est marié et que pour lui c'est d'abord sa famille, il est heureux comme ça. Avec ses deux enfants et Anne, sa femme depuis quinze ans, tout va bien.
Elsa, de son côté, est une femme libre et un écrivain à succès qui se partage entre l'écriture, ses enfants qui grandissent trop vite, ses amies et une liaison peu sérieuse avec Hugo, son amant.
Pour Pierre, l'infidélité ne lui a jamais traversé l'esprit, même si parfois il se sent étriqué dans sa vie et sa routine.
Pour Elsa, si la personne qu'elle rencontre est mariée, elle n'envisagera jamais une quelconque relation amoureuse.
Pourtant, cette rencontre pourrait tout changer.
Dès le premier regard, l'histoire de Pierre et Elsa s'inscrit dans une temporalité différente, comme si présent et futur possible se dédoublaient, s'entrechoquaient, jusqu'à créer une réalité où tout serait possible.
Pour Le Parisien, la réalisatrice « rate complètement sa cible » dans un film où il ne se passe rien[1]. Pour Critikat, la comédie romantique de Lisa Azuelos a le mérite d'être plus proche de la famille du XXIe siècle que bien d’autres. Néanmoins, malgré des idées parfois ingénieuses en termes de mise en scène, les bonnes scènes peinent à exister « dans un scénario grossièrement ficelé », le film souffrant « d’une musique omniprésente » qui en fait une « sorte de clip à certains moments »[2].