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Werner Düggelin, deuxième depuis la droite, avec l'auteur allemand Carl Zuckmayer, au milieu de face. Répétition Das Leben von des Horace A.W. Tator (Schauspielhaus Zürich,1964).
Werner Düggelin nait à Zurich et grandit à Siebnen dans le canton de Schwyz. Il est le fils de Marie, née Eugster, et de Josef Düggelin, député au Grand Conseil et maître charpentier. Il étudie à l'Université de Zurich les langues et littératures romanes et allemande sans terminer son cursus. Il entre dans le milieu du théâtre en travaillant comme éclairagiste au Schauspielhaus de Zurich. Il devient l'assistant du réalisateur de film austro-suisse Leopold Lindtberg qui lui conseillera de monter à Paris pour se former à la mise en scène[4],[5] Dans les années 1950, il commence ainsi à diriger des mises en scène. Il est l'un des premiers metteurs en scène germanophones à adapter et monter les pièces en allemand de Samuel Beckett, Eugène Ionesco, Georges Schehadé, Albert Camus, Jean Genet ou Paul Claudel. De 1968 à 1975, il est directeur du Théâtre de Bâle[6]. Par la suite, il travaille comme metteur en scène indépendant[4].
En 1995, il reçoit le Prix de la Culture de la Ville de Bâle et le Prix d'Art de la Ville de Zurich en 2014[7].
1985 : Johann Sebastian Bach : Passion selon saint Jean . – Téléfilm. Livre : Maja Hoffmann et Werner Düggelin. Production : Schweizer Fernsehen DRS, WDR Cologne, SFB Berlin. Réalisateur : Werner Düggelin.
↑, Zum Tod von Werner Düggelin: Der beste aller Zuhörer (ISSN0174-4909)Gerhard Stadelmaier: . In: . ISSN 0174-4909 (faz.net [abgerufen am 14. August 2020]).
↑erreur modèle {{Lien archive}} : renseignez un paramètre « |titre= » ou « |description= »Website des Schauspielhauses Zürich.