Wolfgang Hildesheimer est né à Hambourg. Après avoir commencé des études de menuiserie en Palestine, où ses parents avaient émigré, il partit à Londres étudier la peinture et la création de décors pour le théâtre.
En parallèle de ses créations littéraires, Hildesheimer a fait des travaux de collages, qu'il a réunis en 1984 dans le recueil Endlich Allein, qui a été suivi d'autres volumes. Il est bien connu en Allemagne notamment pour son ouvrage sur Mozart — traduit en français en 1977 — qui a eu un certain retentissement en Allemagne et a inspiré en partie le film de Miloš Forman, Amadeus quant à la personnalité peu connue de Mozart[1].
Voyage nocturne [« Tynset »], trad. de Gabrielle Wittkop-Ménardeau, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Du monde entier », 1967, 226 p. (BNF33042153)
L’Oiseau Toc [« Paradies der falschen Vögel »], trad. de Gabrielle Wittkop-Ménardeau, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Du monde entier », 1968, 245 p. (BNF33042152)
Quatre ratons laveurs [« Was Waschbären alles machen »], trad. de Patrick Jusserand, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Folio benjamin », 1980, 41 p. (BNF34638228)
Sir Andrew Marbot [« Marbot »], trad. de Martin Kaltenecker, Paris, Éditions JC Lattès, 1984, 248 p. (BNF34744814)
La Victime Hélène et Mary Stuart, trad. de Pierre Deshusses, Saulxures, France, Éditions Circé, coll. « Théâtre », 1994, 199 p. (BNF35685701)
Masante [« Masante »], trad. d’Uta Müller et Denis Denjean, Lagrasse, France, Éditions Verdier, coll. « Der Doppelgänger », 1999, 252 p. (ISBN2-86432-300-1)