Yannick Bokolo | ||
Yannick Bokolo en 2015 | ||
Fiche d’identité | ||
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Nom complet | BOKOLO N’DJALI | |
Nationalité | France | |
Naissance | Kinshasa (Zaïre) |
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Taille | 1,91 m (6′ 3″) | |
Poids | 85 kg (187 lb) | |
Surnom | Bokolović[1] (ancien) ou Bok's[2] ou Youngbokz car 2ème d’une fratrie de 3. | |
Situation en club | ||
Club actuel | Retraité | |
Numéro | 10 | |
Poste | Meneur / Arrière | |
Carrière universitaire ou amateur | ||
2000-2003 | Centre fédéral | |
Carrière professionnelle * | ||
Saison | Club | Moy. pts |
2003-2004 2004-2005 2005-2006 2006-2007 2007-2008 2008-2009 2009-2010 2010-2011 2011-2012 2012-2013 2013-2014 2014-2015 2015-2016 2016-2017 2017-2018 2018-2019 | Le Mans Le Mans Le Mans Le Mans Le Mans Gravelines Dunkerque Gravelines Dunkerque Gravelines Dunkerque Gravelines Dunkerque Gravelines Dunkerque Gravelines Dunkerque Pau-Lacq-Orthez Pau-Lacq-Orthez Pau-Lacq-Orthez Pau-Lacq-Orthez Pau-Lacq-Orthez | 6,4 5,6 6,3 5,4 10,8 9,8 11,9 7,8 5,6 8,1 4,6 4,1 4,7 2,9 1,9 | 3,8
Sélection en équipe nationale ** | ||
2004-2012 | France (91 sél.) | 262 |
* Points marqués dans chaque club dans le cadre de la saison régulière du championnat national. | ||
** Points marqués pour l’équipe nationale en match officiel. | ||
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Yannick Bokolo, né le à Kinshasa (Zaïre), est un joueur français de basket-ball. Il évolue au poste de meneur avant de prendre sa retraite sportive au mois de .
Né au Zaïre en 1985, Bokolo quitte le pays à l'âge de 3 ans pour la Yougoslavie et Belgrade. Puis à l'âge de 5 ans, il arrive en France, à Besançon. Yannick débute le sport à Sarreguemines en pratiquant de la lutte gréco-romaine, puis du football dans le club de son quartier Beausoleil. Bokolo découvre le basket dans le club de l’ASSO Sarreguemines. Il rejoint un peu plus tard le Centre fédéral (INSEP) où il côtoie la génération des Johan Petro, Terence Parker. Démarrant une bonne carrière internationale avec les équipes de France jeunes, il rejoint alors Le Mans, équipe avec laquelle il écrira ses premières lignes à son palmarès. Il se dévoile réellement aux yeux du monde avec une bonne entame du Mondial 2006. Après cinq années dans la Sarthe, Bokolo rejoint Gravelines Dunkerque en 2008.
Très rapidement, il s'impose dans le cinq majeur de l'équipe et peut s'appuyer sur de bonnes statistiques. Peu à peu, il mène Gravelines jusqu'au haut de l'affiche, remportant en 2011 la Semaine des As et étant élu MVP de la compétition[3]. La saison suivante, autour de joueurs de qualité, Bokolo termine la saison régulière à la première place mais s'arrête au stade des quarts de finale lors des play-offs. Quelques mois plus tard, il décide d'activer sa clause de départ[4]. Cependant, après un essai à Séville, il ne trouve pas preneur et décide de resigner un contrat de deux ans à Gravelines[5].
Lors de la saison 2013-2014, il ne participe qu'à 16 matchs sur 30 et manque la fin de saison à cause d'une blessure aux adducteurs[6]. Gravelines-Dunkerque ne participe pas aux playoffs a lutté contre le maintien. À la fin de cette saison, après six années dans le Nord, il est annoncé sur le départ[7] et Limoges se montre intéressé[8].
Cependant, le , il décide de s'engager pour trois ans à Pau-Lacq-Orthez[9] avec le « besoin de se mettre en danger[10] ».
Le , il ne fait pas partie de la liste des vingt-quatre joueurs pré-sélectionnés pour la participation à la Coupe du monde 2014 en Espagne[11].
Malgré l'offre de prolongation de l'Élan béarnais, il annonce sa retraite sportive le après 16 saisons et 550 matchs de première division[12].