Yves Ternon estime que le massacre de Srebrenica est un crime contre l'humanité et un acte génocidaire isolé dont les responsables sont des militaires, mais pas un génocide planifié par un État. Il accuse la Cour internationale de justice, qui a retenu la qualification de génocide sans reconnaître, pourtant, la complicité de la Serbie, d'ouvrir une boîte de Pandore[5].
La Cause arménienne est un ouvrage historique écrit par Yves Ternon et publié en 1983 aux Éditions du Seuil. Bien qu'il retrace rapidement l'histoire de l'Arménie, le propos de ce livre est centré autour de la naissance de la Cause arménienne avec le génocide arménien, et son évolution, au travers des Arméniens, leurs partis et leur diaspora[6].
L'Empire ottoman. Le déclin, la chute, l’effacement Paris, éditions du Félin et éditions Michel de Maule, 2002 puis en version de poche en 2005. Nouvelle édition, éditions du Félin, 2020.
L’État criminel. Les génocides au XXe siècle, Paris, Seuil, 1995.
1917-1921, Makhno, Bruxelles, Complexe, collection histoire, 1987 ; rééd. Les Belles Lettres, coll. "Le goût de l'Histoire", suivi de Nestor Makhno et la question juive par V. Litvinov, 288 p., 2024 (ISBN978-2251455167)
↑ a et bYves Ternon, Université Paris - Sorbonne, Étude sur les génocides du 20e siècle (thèse de doctorat en histoire sous la direction de Jacques Frémieux), Paris, (SUDOC041589505, lire en ligne)
↑Début de la présentation de Frère arménien, frère juif, frère tutsi : « Jeune chirurgien, Yves Ternon se voit demander par la fédération de France du FLN d’opérer les blessés algériens de la guerre triangulaire que se livrent OAS, gaullistes et indépendantistes. »
↑Article d'Yves Ternon dans lequel il analyse les stratégies des négationnistes concernant les trois génocides juif, arménien et tutsi. Disponible sur le site www.imprescriptible.fr, mais publié originellement en mai 2003 dans la Revue de l'Arche, mensuel du judaïsme français.
↑Raspoutine, une tragédie russe, Bruxelles, André Versaille éditeur, 2011, 315 pages, (ISBN978-2-87495-137-4) ; comporte une « bibliographie complémentaire à cette nouvelle édition » (p. 299-300).