École centrale de Nantes

École Centrale de Nantes
Histoire
Fondation
1919
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Régime linguistique
Devise
Reinvent Engineering
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
2410
Enseignants-chercheurs
550
Localisation
Pays
Ville
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L'École centrale de Nantes (ECN), communément appelée Centrale Nantes, est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[1].

Ayant une certaine importance sur la côte atlantique, elle fait partie des écoles d'ingénieurs d'excellence à la française d'après le Figaro (classement 2023). L'école est par ailleurs une référence dans les domaines de la mécanique, des matériaux et du génie industriel sur le plan national d'après le magazine l'Usine Nouvelle (classements 2022). Cela s'explique notamment de par son histoire et les besoins industriels de la région.

Créée en 1919 sous le nom de l'Institut polytechnique de l'Ouest, elle est située dans le quartier Nantes Nord à proximité du campus de Nantes Université.

Elle a pour mission principale de former des ingénieurs généralistes destinés en majeure partie aux entreprises. Néanmoins, l'école délivre également des diplômes d'ingénieur en apprentissage spécialisé en partenariat avec l'ITII Pays de la Loire, de mastère spécialisé, de master recherche et de doctorat, pour compter à ce jour près de 2 500 étudiants.

Membre du réseau international Top Industrial Managers for Europe (TIME) au même titre que les autres écoles du Groupe des Écoles centrales dont elle fait partie, elle est depuis 2011 membre fondateur du réseau France AEROTECH (avec notamment l'École centrale de Lyon).

Au , l'école centrale de Nantes devient un établissement-composante de Nantes Université, dont elle est membre fondateur.

1919 : Fondation de l'Institut polytechnique de l'Ouest

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Bâtiment abritant le bassin des carènes.

En , sous l'impulsion d'industriels de la construction navale et du bâtiment, la ville de Nantes décide la création d'un Institut polytechnique de l'Ouest (IPO)[2]. Cet institut devait compléter les diverses formations locales (École de médecine, Institut de sciences, Institut de lettres) rattachées à l'université de Rennes. Sa vocation est multiple : électricité, mécanique, chimie, fonderie. Son statut est celui d'un établissement municipal. Son premier directeur de 1919 à 1934 est Aymé Poirson, ancien professeur de mécanique à Lille[3] puis à l’École nationale professionnelle Eugène-Livet de Nantes. En 1926, l’État reconnaît l'institut et accepte son rattachement à l’Université de Rennes. L’institut figure ainsi parmi les formations d’ingénieurs les plus anciennes reconnues par la Commission des titres d'ingénieur en France. Professeur à l’IPO depuis 1927, Paul Le Rolland en est directeur de 1934 à 1944, avant de devenir directeur de l’Enseignement technique à Paris.

1947 : transformation en École nationale supérieure de mécanique

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En 1947, l’institut est transformé en École nationale supérieure de mécanique (ENSM), du type écoles nationales supérieures d'ingénieurs (ENSI)[4]. Son statut est celui d'un institut de faculté rattaché à l'Université de Rennes. Le rattachement est transféré à l'Université de Nantes lors de la création de celle-ci, en 1962. L'ENSM s'installe en 1977 dans de nouveaux locaux, à proximité des campus de droit et de lettres.

Années 1990

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En 1991, dans le cadre de la création du Groupe Centrale, l’école prend le nom d’École centrale de Nantes (ECN). Elle quitte alors le groupe des ENSI pour rejoindre le Concours Centrale-Supélec comprenant les École centrale Paris, École centrale de Lyon et École centrale de Lille.

L'École centrale de Nantes conserve son statut d'établissement public administratif jusqu’au où elle est transformée en Établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel[5].

Années 2000

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Le directeur Pierre Vaussy quitte ses fonctions en et laisse sa place à Patrick Chedmail[a], ancien directeur des études qui continue le travail de son prédécesseur, notamment dans le projet de refonte des études qui vise à redéfinir le profil généraliste de la formation et à créer ou renforcer les liens avec le monde de l'industrie.

En 2006, Centrale Nantes rejoint la Fondation Centrale Lille qui est renommée Fondation Centrale Initiative[6] pour créer des synergies par le mécénat d'entreprise. En 2009, l'École centrale de Nantes et l'École centrale de Lyon créent une filiale commune de valorisation de la recherche : Centrale innovation[7].

Années 2010

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En , Arnaud Poitou succède à Patrick Chedmail à la direction de Centrale Nantes. En , Centrale Nantes et Audencia annoncent leur alliance structurante. Les deux entités sont rejointes en 2014 par l’École nationale supérieure d'architecture de Nantes (ENSA Nantes) dans une structure appelée L'Alliance[8].

En , le directeur Arnaud Poitou, élu par le conseil d'administration (CA) de l'école, n'est pas reconduit à son poste par la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Frédérique Vidal après qu'il a, ainsi que le CA, désapprouvé le projet « Next Isite » (Isite pour « Initiatives Science Innovation Territoires Économie »). Il s'agit d'un projet d'investissement d'avenir dans les secteurs de l’ingénierie et de la santé qui implique un rapprochement avec l'université de Nantes, lequel suscite des désaccords quant à la gestion du personnel[9]. Un directeur par intérim, Armel de la Bourdonnaye, est alors nommé en l'attente d'un nouveau concours de recrutement afin qu'un nouveau directeur soit nommé pour le . Arnaud Poitou se représente et est élu par le conseil d'administration. Il indique cette fois être favorable au projet « Next Isite » ; selon Ouest-France, ce revirement a pour origine « des propositions de modification de la loi sur les EPCSCP (établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel) [devant] permettre à chacun [École centrale et université de Nantes] de garder son autonomie »[10]. Cette fois, la ministre de tutelle de l'École centrale de Nantes valide le choix du conseil d'administration[11].

En , la Cour des comptes publie son rapport annuel dans lequel elle pointe l'École centrale de Nantes — avec six autres établissements d'enseignement supérieur — comme sujette à des « difficultés financières avérées » et à un « risque d’insoutenabilité à court ou moyen terme »[12]. Le principal critère d'alerte concernait le niveau de fonds de roulement et se basait sur les prévisions budgétaires 2017 et non sur le compte effectivement réalisé en 2017. D'après la direction, « l'école, portant de gros contrats de recherche a une gestion très dynamique du budget et nécessite une vigilance financière accrue »[13]. En 2020, les comptes financiers de l’école, certifiés sans réserve par les commissaires aux comptes, attestent que la situation financière de l’école est saine : les résultats d’exploitation sont bénéficiaires, le niveau de fonds de roulement et de trésorerie sont au-dessus des seuils d’alerte fixés par le ministère.

En 2018, Centrale Nantes fait sa première entrée dans le classement international du Times Higher Education (THE)[14].

Arnaud Poitou démissionne le . Un directeur par intérim, Marc Renner, est alors nommé en l'attente du recrutement d'un nouveau directeur.

Années 2020

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Le , le conseil d’administration choisit Jean-Baptiste Avrillier comme nouveau directeur, il est nommé officiellement par la ministre le . Polytechnicien de formation, ingénieur du corps des Mines, ancien directeur opérationnel de l’ISITE NExt, Jean-Baptiste Avrillier a notamment occupé des postes à responsabilité à la DIRECCTE des Pays de la Loire et au Ministère de l’économie.

La formation d'ingénieur généraliste

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"Dans la lignée des grandes écoles d'ingénieurs généralistes, Centrale Nantes forme des ingénieurs polyvalents de très haut niveau scientifique et technique, dotés d'une solide culture managériale, capables de replacer les matières scientifiques dans un contexte global intégrant les questions environnementales et sociétales."[15]

La première année de formation correspond au tronc commun. Les élèves suivent ensuite deux options disciplinaires respectivement en 2e et 3e année, parmi une vingtaine d'options disciplinaires qui répondent aux six enjeux sociétaux suivants :

Industrie :

  • aéronautique
  • ingénierie de produits
  • intégration de techniques numériques en Sciences et calcul intensif
  • matériaux et procédés
  • robotique
  • systèmes embarqués et réseaux électriques

Architecture, Ville, Génie civil :

  • génie civil
  • sciences de l'ingénieur pour l'habitat et l'environnement urbain

Responsabilité, Management, Société :

  • génie industriel
  • management de l’économie numérique et des technologies de l’information (en partenariat avec Audencia)

Océan, Énergie :

  • océan
  • production et gestion d’énergie
  • propulsion et transports

Santé :

  • Sciences du numérique pour les sciences de la vie et de la santé
  • signaux, images et applications biomédicales et audio

Numérique :

  • informatique pour les systèmes d'information
  • informatique pour l'intelligence artificielle
  • modélisation et simulation mécanique
  • mathématiques et applications
  • réalité virtuelle

Parallèlement à ces cours dits scientifiques, les élèves suivent des cours de sciences humaines et de langues. Il est aussi demandé aux élèves ingénieurs en troisième année de suivre une des filières métiers (options professionnelles) suivantes[16] :

  • entreprendre
  • finance d’entreprise
  • industrie durable
  • ingénieur d'affaires à l'international
  • manager, leader et communicateur
  • perception et design sonore
  • ville durable
  • recherche et développement
  • science et musique
  • développement d'un projet personnel

Deux langues sont obligatoires tout au long de la scolarité et les élèves sont tenus d'obtenir au moins une qualification internationalement reconnue ; l'objectif de l'école est de dépasser le simple apprentissage scolaire et d'apporter des connaissances culturelles et une aptitude à la communication dans la vie professionnelle.

De plus, tous les élèves doivent, au cours de leur scolarité, effectuer un séjour de six mois consécutifs minimum à l'étranger. Dans le cadre des accords Top Industrial Managers for Europe (TIME, réseau qui regroupe une quarantaine de grandes universités européennes), les élèves ingénieurs peuvent effectuer une scolarité de 18 à 24 mois dans un établissement partenaire et obtenir au terme de 4 ans à la fois le diplôme d'ingénieur ECN et le diplôme de niveau équivalent de cet établissement (double diplôme).

Pour obtenir le diplôme, les élèves doivent avoir un score minimum de 850 au TOEIC.

Formation Masters

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Centrale Nantes propose 6 masters et 4 masters conjoints Erasmus Mundus - gage d’excellence de la formation donnée - et trois programmes joints de master dans les domaines de la technologie marine, ingénierie mécanique, automatique et robotique, génie civil, ville et environnement urbain. Un certain nombre de spécialités sont proposées dans chaque master, dont les enseignements se font en anglais.

Technologie marine (M-TECH)

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  • Hydrodynamique et génie océanique (M-TECH HOE)
  • Master Atlantique en Opération et Ingénierie Navale (M-TECH-AMASONE)[17]
    • L’École Navale et Centrale Nantes se sont associées afin de proposer l’Atlantique MAster in Ship Operations and Naval Engineering, master international dispensé en langue anglaise. Cette formation technique à l’hydrodynamique et à l’énergie/propulsion navale s’appuie sur une expérience pratique du pilotage des navires (une partie de la formation est dispensée à bord de navires de la marine française) et donne une place importante aux techniques de conduites d’opérations. Le projet AMASONE a l’originalité d’allier la complémentarité des deux établissements et ainsi couvrir la théorie, l’expérimentation et la conduite du navire. La formation fait une large part aux sciences expérimentales et à l’apprentissage des opérations navales, ce qui constitue une offre unique à ce niveau en France et en Europe[18].

Mécanique (M-ENG)

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Advanced Manufacturing (M-ENG AM)

  • Mécanique numérique (M-ENG CM)
  • Science et Ingénierie des Structures Composites (M-ENG-ACES)
  • Energétique et Propulsion (M-ENG-EP)

et le Programme Joint de Master :

  • Programme in Computational Mechanics

Automatique et robotique (CORO)

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  • Traitement du signal et de l'image (CORO SIP)
  • Robotique Avancée (CORO IMARO)
  • Temps Réel – Systèmes Embarqués (CORO ERTS)
  • Systèmes de contrôle (CORO C-Sys)

et le Programme Joint de Master :

  • European Master on Advanced Robotics (EMARO+)

Génie civil (C-ENG)

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  • Matériaux et Structures dans leur environnement (C-ENG MSE)

Ville et environnement urbain (U-ENV)

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  • Atmosphère, Eau et Environnement (U-ENV AWE)
  • Architecture, Ambiances, Urbanité (U-ENV AAU)

Génie industriel (I-ENG)

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  • Management de l'Usine Agile (I-ENG AFM)
  • Entreprise Intelligente et Connectée (I-ENG SCE)et le Programme Joint de Master :
  • EIT Manufacturing Master School

Erasmus Mundus Joint Master Degrees (EMJMD)

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Un EMJMD est un programme d'études international prestigieux et intégré, proposé conjointement par un consortium international d'établissements d'enseignement supérieur. Les EMJMD attribuent des bourses financées par l'Union Européenne aux meilleurs candidats étudiants postulant dans le cadre des cycles de sélection annuels. Centrale Nantes est impliquée dans quatre EMJMD :

  • Electric Vehicle Propulsion and Control (E-PiCo) - coordonné par Centrale Nantes
  • Japan-Europe Master on Advanced Robotics (JEMARO) - coordonné par Centrale Nantes et L'Université de Keio au Japon
  • Advanced design of ships and offshore structures (EMship+)
  • Master in Renewable Energy in the Marine Environment (REM+)

Depuis 2021, Centrale Nantes propose un BBA Big Data & Management co-construit avec Audencia. Ce bachelor enseigné en anglais offre une formation hybride alliant le management et l’ingénierie[19].

La formation doctorale

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L'école est impliquée dans deux écoles doctorales :

  • Sciences pour l'Ingénieur, Géosciences, Architecture (SPIGA) ;
  • Mathématiques et STIC (MathSTIC);

Centrale Nantes est l'établissement support de l'école doctorale SPIGA, en partenariat avec des établissements co-accrédités (l’université de Nantes, l'École des mines de Nantes, l'université du Maine, Oniris).

Le nombre moyen des étudiants de Centrale Nantes en préparation de thèse est d’environ 45 pour l’axe mécanique / génie civil et de 55 pour IRCCyN. L'école délivre une trentaine de doctorats par an.

Classements

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Classements nationaux (classée en tant que Centrale Nantes au titre de son diplôme d'ingénieur)

Nom Année Rang
DAUR Rankings[20] 2021 12
L’Étudiant[21] 2024 4-5
L’Usine Nouvelle[22] 2021 9
Le Figaro Étudiant[23][pertinence contestée] 2022 13

Classements internationaux (classée en tant que Centrale Nantes)

Nom Année Rang (monde) Rang (France)
CWUR[24] 2021-2022 N.C. N.C.
QS Top Universities[25] 2022 N.C. N.C.
Shanghai Ranking[26] 2021 N.C. N.C.
Times Higher Education[27] 2022 501-600 18-21

Centrale Nantes figure depuis 2016 dans le Top 25 de la mobilité étudiante du U-Multirank[28]

Selon le classement mondial des universités par discipline de 2021 du Times Higher Education, sur 1 098 établissements classés dans le monde pour l'ingénierie et la technologie, Centrale Nantes se situe dans les 250 premiers pour 2021[29]. Ce classement place l'école dans les 70 premiers en Europe, les 10 premiers en France et la première en dehors de la capitale.

La recherche s'appuie sur six unités de recherche :

  • Laboratoire des Sciences du Numérique de Nantes (LS2N, UMR CNRS 6004) ;
  • Laboratoire de recherche en Hydrodynamique, Énergétique et Environnement Atmosphérique (LHEEA, UMR CNRS 6598)[30] ;
  • Institut de recherche en Génie civil et Mécanique (GeM, UMR CNRS 6183)[31] ;
  • laboratoire de mathématiques Jean-Leray (UMR CNRS 6629)[32] ;
  • Unité de Recherche Ambiances Architecture Urbanités (AAU)[33] ;
  • Institut de Calcul Intensif (ICI)[34].

La recherche à Centrale Nantes s'appuie sur des plateformes d'envergure européenne qui permettent de tisser un lien académique-industriel fort et consiste en l'utilisation partagée de très grands équipements de recherche. L'usage de ces équipements est proposé aux chercheurs de la communauté académique nationale et européenne et aux industriels pour y mener des expérimentations sur des prototypes de tailles adaptées au réel.

Centrale Nantes compte 12 plateformes de recherche :

  • Les bassins océaniques
  • Le site d'essai en mer SEM-REV[35]
  • Le Centre de Ressources en Essais Dynamiques (CRED)
  • Les bancs d'essais moteur et véhicules
  • Le mésocentre de calcul
  • La halle Composites
  • La Rapid Manufacturing Platform/Fabrication additive et usinage
  • La plate-forme robotique
  • La dalle Génie Civil
  • La Smart Factory
  • La plateforme de réalité virtuelle
  • Les souffleries

Anciens élèves

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Le réseau des centraliens de Nantes compte près de 20 000 membres, ingénieurs, docteurs, masters, étudiants ou diplômés. Centrale Nantes Alumni est membre de la Confédération des associations centraliennes.

Depuis la création de l'IPO en 1919, l'hippocampe est la mascotte de l'école. Cet animal apparaît sur les logos de l'établissement jusqu'en 2017 ainsi que sur les logos de la plupart des associations liées aux centraliens de Nantes.

Les promotions sont numérotées par année d'entrée depuis 2014.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Patrick Chedmail est ingénieur diplômé de Centrale Paris.

Références

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  1. Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
  2. Philippe Hervouët et Virginie Champeau-Fonteneau, L'histoire de l'École Centrale de Nantes : 1919-2009 : une aventure humaine, pédagogique et scientifique, Nantes, Société nantaise d’éditions et de réalisations,
  3. Aymé Poirson : « La formation du concepteur de l’IPO, Aymé Poirson, n’est pas à négliger car elle influence l’orientation des cours et les spécialisations proposées. En effet, ingénieur de l’École Supérieure des Constructions Mécaniques et Aéronautiques, créée en 1909 à Paris, il s’en inspire naturellement pour définir le profil de l’école nantaise. » -Virginie Champeau, « L’Institut polytechnique de l'ouest et l'école supérieure du bois : des ingénieurs pour les industries de l'entre-deux guerres. : 1850-2000, 150 anys d'enginyeria industrial : International symposium on history of engineering (2000, Barcelona) », Quaderns d'historia de l'enginyera, vol. V,‎ , p. 156 (lire en ligne) - Il « enseignait à l'École Pratique d'Industrie à Lille en 1914 et en même temps était Maître de conférences à l'École Normale d'enseignement technique. Enseignant pendant la guerre à l'École nationale professionnelle, il a des titres universitaires et techniques reconnus. (...) À la demande de la Commission municipale, il établit un programme qui est présenté à la séance du 5 août 1919 » - Anne-Claire Déré et Gérardl Emptoz, Nantes : la formation des ingénieurs premier maillon pour la reconquête de l'enseignement supérieur ; Programme « Villes et institutions scientifiques » - Programme interdisciplinaire de recherche sur les villes (PIR-VILLES - CNRS), Toulouse, CNRS, (lire en ligne), p. 197
  4. Décret du 27 mars 1948 relatif à l'École nationale supérieure de mécanique de Nantes.
  5. Décret no 93-1143 du 29 septembre 1993 relatif à l'École centrale de Nantes.
  6. Fondation Centrale Initiatives.
  7. Centrale innovation.
  8. L'Alliance.
  9. « Le directeur de Centrale Nantes n'est pas renouvelé dans son poste », Ouest-France,
  10. Yasmine Tigoé, « Nantes. L’école Centrale vote pour son ancien directeur », Ouest-France,
  11. « Arnaud Poitou retrouve la tête de Centrale », Presse-Océan,
  12. Caroline Pain, « La situation budgétaire de sept universités inquiète la Cour des comptes », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  13. Agnes Millet, « Budget de Centrale Nantes : stratégie scientifique réaffirmée mais vigilance accrue" », Newstank,‎
  14. (en) « Centrale Nantes », sur Times Higher Education (THE), (consulté le )
  15. Jean-Baptiste Avrillier, « Centrale Nantes, une école de 1er rang dans la compétition internationale »
  16. Sylvie BOMSKI, « Filière métier », sur Centrale Nantes (consulté le )
  17. (en) Sandrine Jamet, « Atlantic Master on Ship Operation & Naval Engineering (M-TECH AMASONE) », sur Centrale Nantes (consulté le )
  18. « Atlantic Master on Ship Operation & Naval engineering | Ecole Navale », sur www.ecole-navale.fr (consulté le )
  19. Christine Reveillaud, « BBA Big Data & Management », sur Centrale Nantes (consulté le )
  20. « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur daur-rankings.com
  21. « Classement général des écoles d'ingénieurs », sur L’Étudiant
  22. « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur Usine Nouvelle
  23. « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur Le Figaro étudiant
  24. « GLOBAL 2000 LIST BY THE CENTER FOR WORLD UNIVERSITY RANKINGS », sur CWUR
  25. « QS World University Rankings 2022 », sur QS Top Universities
  26. « 2021 Academic Ranking of World Universities », sur Shanghai Ranking
  27. « World University Rankings 2022 », sur Times Higher Education
  28. « Page Umultirank Centrale Nantes »
  29. « Ranking THE »
  30. Sandrine Jamet, « Site web du LHEEA », sur LHEEA (consulté le )
  31. « Site web du GeM »
  32. « Site web laboratoire Jean Leray »
  33. « Site web CRENAU »
  34. « Site web ICI »
  35. « sem-rev.ec-nantes.fr »
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  37. « Cédric Gautier - », sur Ouest-France, (consulté le )
  38. « [NOMINATION] Paul-Henri Renard est nommé Directeur général du Centre technique des industries de la fonderie », sur Actu-Environnement, (consulté le )
  39. « Pierre Budar succède à Yves Matton à la tête de Citroën Racing », Autoplus.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. Thierry Gouby, « Axa XL : Julien Guénot et Peter Knaus élargissent leurs fonctions », sur News Assurances Pro, (consulté le )
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