Épinay-Champlâtreux

Épinay-Champlâtreux
Épinay-Champlâtreux
L'église Saint-Eutrope de 1766.
Blason de Épinay-Champlâtreux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité Communauté de communes Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Jean-Marie Cazieux
2020-2026
Code postal 95270
Code commune 95214
Démographie
Gentilé Spinaciens
Population
municipale
62 hab. (2021 en évolution de −6,06 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 00″ nord, 2° 25′ 00″ est
Altitude 156 m
Min. 85 m
Max. 173 m
Superficie 3,56 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fosses
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Épinay-Champlâtreux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Épinay-Champlâtreux
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Voir sur la carte topographique du Val-d'Oise
Épinay-Champlâtreux
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Épinay-Champlâtreux

Épinay-Champlâtreux est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune se situe au cœur de la plaine de France, à 25 km au nord de Paris, sur la RD 316, au sud de Luzarches.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Luzarches, Belloy-en-France, Jagny-sous-Bois, Lassy, Mareil-en-France et Villiers-le-Sec.

Communes limitrophes d’Épinay-Champlâtreux
Luzarches Lassy
Belloy-en-France Épinay-Champlâtreux Jagny-sous-Bois
Villiers-le-Sec Mareil-en-France

Épinay-Champlâtreux compte six communes limitrophes. Les limites communes avec trois de ces communes sont toutefois assez courtes : 800 m pour Villiers-le-Sec, 600 m pour Lassy et 400 m pour Lassy[1]. Bien que le territoire communal soit de petite dimension avec 3,56 km2, il dépasse largement la superficie de celui du Plessis-Luzarches, de 0,9 km2, ou de Lassy, de 1,92 km2. En effet, la densité de population est particulièrement faible à Épinay-Champlâtreux, avec 19 hab./km2. À titre de comparaison, la commune de Fosses, dans le canton de Luzarches également, dispose d'une superficie quasiment identique à celle d'Épinay-Champlâtreux (3,61 km2), mais compte 9 700 habitants, et la densité de population y est de 2 687 hab./km2.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Il n'existe pas de village d'Épinay-Champlâtreux, la commune se composant du château et des trois hameaux de Champlâtreux, le long de la RD 316, de Trianon, au nord, et d`Épinay, à l'ouest.

Trianon ne compte qu’une ferme avec plusieurs logements ainsi qu'une petite maison vacante, et Épinay se résume aujourd'hui à une unique maison et quelques bâtiments à vocation agricole et utilitaire. Champlâtreux, le chef-lieu, ne présente pas de noyau urbain : l'on trouve deux maisons au sud du château, une sur la RD 316 et une dans la rue de l'ancienne Mairie-École ; deux anciens pavillons de domestiques du château au sud de l'église ; ainsi qu'une alignement de six maisons sur l'ancienne RN 16. Dans le périmètre du château, une maison est habitée.

Le territoire communal se partage entre le domaine du château de Champlâtreux, des surfaces agricoles et des bois privés interdits d'accès : le bois de Champlâtreux au centre, le bois de Goulette au nord-ouest et un troisième petit bois au nord. Hormis la RD 316 et l'ancienne RN 16, la commune ne compte que deux routes ouvertes à la circulation : une voie communale reliant le château à Lassy, et une autre contournant le domaine du château par le nord et menant vers Belloy-en-France.

L`allée d'Écouen est un chemin forestier traversant le bois de Champlâtreux du nord au sud ; il correspond à l'ancien tracé de l'actuelle RD 316 jusqu'en 1755[2]. La commune a décidé de sortir du parc naturel régional Oise-Pays de France ne comprenant pas, après 10 ans d'adhésion, à quoi servait cette association.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Witz à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 676,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Épinay-Champlâtreux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

En 2008, Épinay-Champlâtreux comptait vingt-cinq logements, tous des résidences principales, et tous construits avant 1949. Ce chiffre représente une augmentation d'un logement depuis 1999, mais le nombre de maisons a en même temps reculé de vingt-deux à dix-huit. Deux logements qui n'étaient ni des maisons, ni des appartements, ont disparu. Par contre, sept appartements ont été créés dans des bâtiments qui existaient déjà. Les trois quarts des logements sont occupés par les mêmes ménages depuis dix ans ou plus.

Les logements ont deux pièces minimum, et treize logements (soit plus que la moitié) ont plus de cinq pièces. Le nombre moyen de pièces est de 4,7 dans les maisons et de 3,4 dans les appartements. Deux logements ne disposent pas de salle de bain. Comme particularité, les occupants de douze logements sont logés gratuitement. Il n'y a pas de HLM sur la commune. Les habitants de huit logements sont propriétaires et les habitants des cinq logements restants sont locataires[13].

Le village d'Épinay est mentionné pour la première fois en 1383.

Raoul Avrillot, époux d'Ambroise Brûlart de Crosne, est dans les années 1550 seigneur de Champlâtreux[14]

À partir de 1567, Épinay-Champlâtreux est la propriété de la famille Molé, originaire de Troyes, lorsque Édouard Molé en fait l'acquisition. En 1641, son fils Mathieu Molé (1584-1656) devient Premier président du Parlement de Paris puis, dix ans plus tard, garde des sceaux de France. Son rôle pendant la Fronde sera très important. Entre 1751 et 1757, Mathieu-François Molé fait construire le château actuel. En 1836, le roi Louis-Philippe y organise un conseil des ministres alors que Mathieu Molé est son président du Conseil. Après la mort de ce dernier en 1855, la famille de Noailles hérite du château de Champlâtreux.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Épinay-Champlâtreux fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en [15]), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[16],[17].

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes Carnelle - Pays de France.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1857 1891 Barthélémy Marie Bernard Désert    
1891 1899 Edmond Adolphe Buffault    
1899 1904 François Xavier Martinand    
1904 1932 Hélie de Noailles   Marquis de Noailles
1932 mars 2001[18] François de Noailles[19],[20]
Fils du précédent
  7e duc d'Ayen puis 9e duc de Noailles
mars 2001 mars 2008 Hélie de Noailles
Fils du précédent
  8e duc d'Ayen puis 10e duc de Noailles
Diplomate
mars 2008[21] 2014 Édith Bossuto    
2014[22] 2020 Emmanuel de Noailles
Fils d'Hélie de Noailles
  9e duc d'Ayen
2020 En cours Jean-Marie Cazieux    

Une nouvelle mairie a été inaugurée en . Elle succède à l'ancienne mairie, installée dans une dépendance du château[23].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 62 habitants[Note 2], en évolution de −6,06 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
20098178139129115112105115
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
909611512814212711610693
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
981311241091271491097964
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
697766676675696865
2021 - - - - - - - -
62--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2008, Épinay-Champlâtreux comptait quinze habitants de 0 à 14 ans ; quarante-cinq habitants de 15 à 64 ans ; et sept habitants de 65 ans ou plus (dont un de 75 à 89 ans et un de 90 ans et plus). La tranche d'âge la plus représentée était celle de 45 à 59 ans, avec dix-neuf personnes au total[28].

Au , Épinay-Champlâtreux compte cinq entreprises, dont

  • deux dans le secteur du commerce et de la réparation auto (totalisant trois salariés), et
  • trois dans le secteur des transports et services divers (une employant deux salariés, deux n'employant aucun salarié).

Existaient en outre deux exploitations agricoles (une employant deux salariés, l'autre aucun) ; un établissement du secteur des transports et services divers occupant une personne ; ainsi qu'un établissement du secteur de l'administration publique / enseignement / santé / action sociale, occupant une personne également. En total, neuf établissements actifs ont ainsi été recensés sur la commune, employant au total sept salariés. Aucun établissement ou entreprise n'a été créé en 2010.

En 2008, la population active d'Épinay-Champlâtreux présentait un taux d'activité de 72,3 % et comptait trente-trois personnes, dont deux chômeurs. Vingt-quatre personnes étaient salariés et sept personnes non salariés, et 28,1 % de ces personnes travaillaient en temps partiel. Les deux tiers des salariés étaient fonctionnaires ou en CDI. Sept personnes parmi la population active travaillait sur la commune même. Parmi les trente foyers fiscaux sur la commune, douze n'étaient pas imposables (soit 40 %)[29].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Monuments historiques

[modifier | modifier le code]

Épinay-Champlâtreux compte deux monuments historiques sur son territoire.

Entouré d'un vaste parc à l'anglaise au nord et Jardin français à la française à l'ouest, le domaine de ce château du XVIIIe siècle comprend plusieurs autres éléments classés également Monuments historiques par l'arrêté du , à savoir la grille d'entrée avec ses pavillons de garde, les douves et les grandes écuries avec leur fontaine-abreuvoir.
Ce bâtiment se trouve à gauche de l'allée du château, c'est-à-dire au sud du domaine. Un peu plus à l'ouest, l'on trouve les petites écuries et l'ancienne glacière. La mairie a été aménagée dans un pavillon près du château, avec la particularité de se situer au milieu d'un domaine dont des panneaux interdisent l'accès au public. Cependant, le parc et les écuries sont ouvertes à la visite pendant cinquante jours par an, récemment du 1er juillet au [31].
  • L'église Saint-Eutrope, en haut de l'ancienne RN 16 (nom d'une rue de la commune) (inscrite monument historique en 2021)[32]
Elle a été construite dans le style classique en 1766, selon le plan de l'architecte du château, Chevotet. Le bâtiment est orienté inhabituellement dans un sens nord-sud, avec le portail donnant sur le nord. Ce dernier est de caractère monumental, avec une haute porte plein cintre encadré de larges pilastres stylisés et surmonté d'un fronton surbaissé. La nef de deux larges travées est précédée d'un narthex supportant le petit clocher carré aux pans coupés, coiffé d'une coupole en pierre. Le chœur est en cul de four et plus bas que la nef. - Le cimetière se situe à l'ouest de l'église, et le monument aux morts sur le mur du cimetière, à droite du portail de l'église[33],[34].

Autres éléments du patrimoine

[modifier | modifier le code]
  • Ancien manoir fortifié au hameau de Trianon (actuel centre équestre de Trianon)
Cet ancien manoir fait partie d'un corps de ferme, qui, avec une maison d'ouvriers agricoles, constitue le hameau de Trianon. Du manoir fortifié subsistent le porche avec son portail plein cintre, aujourd'hui désaffecté, et deux tourelles rondes à gauche et à droite de ce portail. La tourelle de droite est couvert d'un toit en poivrière et flanquée d'une petite tour d'escalier rectangulaire. Au-dessus du portail, l'on remarquera une niche abritant une statue de saint.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Épinay-Champlâtreux Blason
D'argent à la branche d'épine de gueules posée en barre; à la bordure d'azur chargée de dix fleurs de lis d'or[37].
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Épinay-Champlâtreux », p. 456–457

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25 000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site « Geoportail » (consulté le ). Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D.
  2. Cf. Jean-Michel Rat et Rénée Baure, Luzarches : Histoire d'une ville en pays de France, des origines à 1914, Luzarches, Syndicat d'initiave de Luzarches, , 164 p. (ISBN 9782904494000) ; p. 68-71.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Épinay-Champlâtreux et Saint-Witz », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St Witz » (commune de Saint-Witz) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « St Witz » (commune de Saint-Witz) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Cf. Épinay-Champlâtreux (95214 - Commune) Chiffres clés, op. cit., p. 10-11.
  14. « Brulart », sur Racines & Histoire
  15. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
  16. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  17. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  18. Eric Delporte, « Le duc cède la mairie à son fils », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  19. « François, duc de Noailles », Libération,‎ (lire en ligne).
  20. « Décès du 9ème duc de Noailles », sur Noblesse & Royautés, (consulté le ).
  21. Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009 [PDF]
  22. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
  23. « Inauguration de la nouvelle mairie d’Épinay-Champlâtreux (archive) » [PDF], Jean-Pierre Blazy, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. [PDF] « Épinay-Champlâtreux (95214 - Commune) Chiffres clés », sur INSEE (consulté le ) ; p. 1 et 3.
  29. Cf. Épinay-Champlâtreux (95214 - Commune) Chiffres clés, op. cit., p. 5-9 et 13-17.
  30. « Domaine de Champlatreux », notice no PA00080055, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Cf. « Découvertes de jardins et de nature : Les parcs et les jardins », sur PNR Oise-Pays de France (consulté le ). Cette possibilité de visite n'est pas signalée sur place, les panneaux donnant toujours l'impression que l'accès serait interdit.
  32. « Église Saint-Eutrope », notice no PA95000023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Dominique Foussard, « Épinay-Champlâtreux - Saint-Eutrope », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 112 (ISBN 9782953155402).
  34. Yann Audino et Christian Garcia, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Épinay-Champlâtreux », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 456-457 (ISBN 2-84234-056-6).
  35. L'auteur de romans d'espionnage Jean Bruce trouve la mort au cours d'un accident d'automobile
  36. L'Echo Régional, supplément gratuit au N°3106 du 12 septembre 2008 - Guide du Val d'Oise 2008-2009 : Sur la trace des écrivains
  37. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).