Ahmed Benbitour أحمد بن بيتور | |
Fonctions | |
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Chef du gouvernement algérien | |
– (8 mois et 3 jours) |
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Président | Abdelaziz Bouteflika |
Gouvernement | Benbitour |
Prédécesseur | Smail Hamdani |
Successeur | Ali Benflis |
Ministre des Finances | |
– (2 ans, 5 mois et 15 jours) |
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Président | Liamine Zéroual |
Gouvernement | Sifi I et II Ouyahia I |
Prédécesseur | Sid Ahmed Ghozali (indirectement) |
Successeur | Abdelkrim Harchaoui |
Ministre de l'Énergie | |
– (7 mois et 21 jours) |
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Chef de l'État | Ali Kafi (président du Haut Comité d'État) Liamine Zéroual (président de l'État) |
Gouvernement | Malek |
Prédécesseur | Hacène Mefti |
Successeur | Amar Makhloufi |
Ministre délégué au Trésor | |
– (1 an, 5 mois et 30 jours) |
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Chef de l'État | Président du Haut Comité d'État : Mohamed Boudiaf Ali Kafi |
Gouvernement | Ghozali II Abdesslam |
Prédécesseur | Mourad Medelci |
Successeur | Ali Brahiti |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Metlili (Algérie) |
Parti politique | Indépendant |
Diplômé de | Université d'Alger Université de Montréal |
Religion | Islam |
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Chefs du gouvernement algérien | |
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Ahmed Benbitour (arabe : أحمد بن بيتور), né le à Metlili en Algérie, est un homme d'État algérien, sénateur et ancien chef du gouvernement (du au ), plusieurs fois ministre de 1992 à 1996.
En décembre 2012, il annonce sa candidature à l'élection présidentielle algérienne de 2014, finalement remportée par Abdelaziz Bouteflika. Le , Benbitour se retire de la compétition, jugeant le scrutin joué d'avance en faveur du président sortant[1].
En , Ahmed Benbitour annonce qu'il ne se présentera pas à l'élection présidentielle algérienne annoncée pour le .
Ahmed Benbitour, est né dans la ville de Metlili dans la wilaya de Gardaïa. Lorsqu'il a deux ans, ses parents quittent sa ville natale, pour aller plus au sud dans l'autre oasis de Ghardaïa dans la ville El Menia[réf. nécessaire].
L'ancien chef de gouvernement a annoncé, en décembre 2012, sa candidature à l'élection présidentielle d'. Ahmed Benbitour n'a pas réussi à soutenir sa candidature.
Dans le contexte du Hirak algérien de 2019, Ahmed Benbitour a annoncé qu'il ne se porterait pas candidat à l'élection présidentielle prévue pour le [3].
Le , plusieurs personnalités, dont l'ancien chef du gouvernement Ahmed Benbitour, l'ancien ministre des Affaires étrangères Ahmed Taleb Ibrahimi, l'ancien ministre de la Culture Abdelaziz Rahabi et l'ancien ministre de l'Éducation Ali Benmohamed, de même que les avocats Ali Yahia Abdennour et Abdelghani Badi, et les universitaires Nacer Djabi et Louisa Ait Hamadouche, appellent à « une nouvelle lecture de la réalité », avec des mesures d'apaisement, d'ouverture démocratique, au départ des dignitaires du régime, ainsi qu'à la tenue de la présidentielle après un dialogue[4].
Le 10 décembre, 19 personnalités, dont Ahmed Taleb Ibrahimi, l'opposant Mostefa Bouchachi, Ali Benmohamed, Abdelaziz Rahabi, Ali Yahia Abdenour, Ahmed Benbitour, Abdelghani Badi, ainsi que Nacer Djabi et Louisa Ait Hamadouche, appellent à ne pas empêcher ceux qui veulent voter de le faire[5].
Le 29 décembre, il est reçu par le nouveau président Abdelmadjid Tebboune avec qui il s'entretient au sujet des « bases de la nouvelle République »[6].