Alain Maron | |
Fonctions | |
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Ministre bruxellois de l'Environnement et du Climat, de la Propreté, de l'Énergie et de la Démocratie participative. Membre du collège de la Commission communautaire française chargé de la Santé et de l'Action sociale. | |
En fonction depuis le (5 ans, 4 mois et 11 jours) |
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Ministre-président | Rudi Vervoort |
Gouvernement | Vervoort III |
Législature | 7e législature |
Prédécesseur | Céline Fremault (Environnement et Énergie) Didier Gosuin (Économie) Fadila Laanan (Collecte et Traitement des déchets) |
Député bruxellois | |
– (1 mois et 22 jours) |
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Successeur | Ingrid Parmentier |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Verviers (Belgique) |
Nationalité | Belge |
Parti politique | Ecolo |
Diplômé de | Université catholique de Louvain |
Site web | https://maron-trachte.brussels |
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Alain Maron, né le à Verviers[1], est un homme politique belge bruxellois, membre d'Ecolo. Il est ministre de l'Environnement, de la Transition Climatique, de la Propreté publique, de l'Énergie, de la Démocratie participative, de la Santé et de l'Action sociale au sein du gouvernement bruxellois depuis le . Il est également membre du collège de la Commission communautaire française chargé de la Santé et de l'Action sociale.
Licencié en politique économique et sociale, il est élu pour la première fois au Conseil communal de Saint-Gilles, en 2004. Il y restera jusqu'en 2018. En 2009, il est élu au Parlement de la région de Bruxelles-Capitale, puis réélu en 2014. En , il fait éclater le scandale du Samusocial.
Lors des Élections régionales du , il est tête de liste Ecolo pour la Région bruxelloise. Il obtient un score de 11 183 voix[2]. Il négocie l'accord de gouvernement Vervoort III et devient ministre, le , de l'Environnement et du Climat, de l'Économie, de la Propreté et de l'Énergie[3].