Alain Moyne-Bressand

Alain Moyne-Bressand
Illustration.
Alain Moyne-Bressand en 2016.
Fonctions
Maire de Crémieu

(41 ans, 2 mois et 13 jours)
Élection 13 mars 1983
Prédécesseur Henri Loiseau
Successeur Isabelle Flores
Député français

(28 ans, 11 mois et 28 jours)
Élection 12 juin 1988
Réélection 28 mars 1993
1er juin 1997
16 juin 2002
17 juin 2007
17 juin 2012
Circonscription 6e de l'Isère
Législature IXe, Xe, XIe, XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République)
Groupe politique UDF (1988-1993)
UDFC (1993-1997)
UDF (1997-1998)
DLI (1998-2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2017)
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur Cendra Motin

(38 ans, 7 mois et 17 jours)
Élection 16 mars 1986
Circonscription Isère
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF
Conseiller général de Isère

(36 ans, 8 mois et 25 jours)
Circonscription Canton de Crémieu
Prédécesseur Henri Berger
Successeur Annick Merle
Maire de Soleymieu

(11 ans, 11 mois et 19 jours)
Élection 13 mars 1971
Biographie
Date de naissance (79 ans)
Lieu de naissance Jallieu (Isère)
Nationalité Française
Parti politique UDF
DL
UMP
Les Républicains
Profession Chef d'entreprise

Alain Moyne-Bressand, homme politique français, né le à Jallieu (Isère). Il est député de l'Isère de 1986 à 1988 puis de la sixième circonscription de l'Isère de 1988 à 2017.

À la suite de nombreuses démissions de conseillers municipaux, des élections se sont tenues ce dimanche 26 mai 2024. La liste emmenée par l'opposition Crémieu Dynamique a reçu 599 voix contre 516 pour celle d'Alain Moyne-Bressand[1].

Alain Moyne-Bressand est né le à Jallieu. Titulaire d'un CAP d'aide comptable, il exerce la profession de chef d'entreprise.

Il commence sa carrière politique en devenant maire de la commune de Soleymieu en 1971, à 26 ans. Par la suite, il est élu maire de Crémieu en 1983, après deux mandats à Soleymieu.

Il est également élu conseiller général dès 1977, poste qu'il occupe des dizaines d'années, en étant à plusieurs reprises vice-président.

Il est élu Les Républicains.

Il est arrivé en tête du classement des députés qui ont le plus œuvré pour « améliorer les conditions des contribuables » au cours de la législature 2007-2012, selon le palmarès de l'association Contribuables associés[2]. En , la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique saisit la justice concernant sa déclaration de patrimoine, dont il aurait omis une « partie substantielle[3] ».

Il soutient Nicolas Sarkozy pour la primaire française de la droite et du centre de 2016[4].

Aux élections législatives de 2017, il est battu dès le premier tour en arrivant en 3e position avec 18,06 % des suffrages exprimés.

Références

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Liens externes

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