Chabris

Chabris
Chabris
L'église Saint-Christophe-et-Saint-Phalier en 2012.
Blason de Chabris
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Issoudun
Intercommunalité Communauté de communes Chabris - pays de Bazelle
(siège)
Maire
Mandat
Fabrice Vaury
2020-2026
Code postal 36210
Code commune 36034
Démographie
Gentilé Chabriots
Population
municipale
2 764 hab. (2021 en évolution de +0,99 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 15′ 20″ nord, 1° 39′ 15″ est
Altitude 90 m
Min. 72 m
Max. 134 m
Superficie 41,22 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Chabris
(ville isolée)
Aire d'attraction Romorantin-Lanthenay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valençay
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Chabris
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Chabris
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Chabris
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Chabris

ChabrisÉcouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le nord[1] du département, à la limite avec le département de Loir-et-Cher, dans la région naturelle du Boischaut Nord.

Les communes limitrophes[1] sont : Gièvres (3 km), Menetou-sur-Nahon (4 km), Sembleçay (4 km), Val-Fouzon (6 km), La Chapelle-Montmartin (7 km), Selles-sur-Cher (8 km), La Vernelle (9 km) et Dun-le-Poëlier (9 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Valençay (12 km), Issoudun (42 km), Châteauroux (49 km), La Châtre (79 km) et Le Blanc (82 km).

Carte
Localisation de la commune de Chabris

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : la Motte, les Poiriers, Villeret, le Marais, les Dupins, la Frèna, le Haut-Bois, le Haut-Labeur, les Petits Ajoncs, les Galliers, les Goujonneaux, les Souches, la Vacherie, la Petite Vacherie, Gâtine, Malpogne, les Bizeaux et la Chaumendin[2].

Géologie et hydrographie

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par les rivières Cher[2] et Fouzon[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 658 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romorantin-Pruniers », sur la commune de Gièvres à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records ROMORANTIN (41) - alt : 83m, lat : 47°19'10"N, lon : 1°41'15"E
Records établis sur la période du 01-08-1921 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 0,4 2,2 3,9 7,8 11,1 12,6 12,1 8,7 7 3,5 1,4 6
Température moyenne (°C) 4,6 5 8 10,4 14,2 17,6 19,5 19,3 15,6 12,2 7,6 4,9 11,6
Température maximale moyenne (°C) 8,1 9,5 13,8 17 20,6 24,1 26,4 26,6 22,5 17,5 11,7 8,4 17,2
Record de froid (°C)
date du record
−20,9
17.01.1985
−20
14.02.1929
−14,7
01.03.05
−7,1
04.04.1973
−4,2
07.05.1957
−0,8
05.06.1976
2,4
01.07.1975
1,2
25.08.1966
−2,5
30.09.1972
−8,8
30.10.1997
−12
22.11.1993
−18,4
29.12.1964
−20,9
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,9
15.01.1975
23,7
27.02.19
28,8
25.03.1955
29,3
15.04.15
32,4
27.05.05
40
18.06.22
42
25.07.19
41,2
05.08.03
36,6
07.09.1934
32,1
02.10.23
23,8
07.11.15
20,2
03.12.1953
42
2019
Ensoleillement (h) 607 851 1 448 1 767 1 968 2 111 2 286 2 257 1 815 1 195 671 547 17 521
Précipitations (mm) 55,6 47,1 47,1 57,4 68,5 53,5 55,9 54,4 55,4 70,2 64,2 66,4 695,7
Source : « Fiche 41097001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 4, 25, 25A, 31, 35, 35B, 128 et 72[10].

La ligne de Salbris au Blanc passe par le territoire communal, une gare[10] dessert la commune. L'autre gare ferroviaire la plus proche est la gare de Gièvres[10] (3 km), sur les lignes de Salbris au Blanc et de Vierzon à Saint-Pierre-des-Corps.

Chabris est desservie par la ligne B du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 52 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 41[2] et par le sentier de grande randonnée de pays de Valençay[2].

Au , Chabris est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chabris[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romorantin-Lanthenay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51 %), zones agricoles hétérogènes (22,6 %), prairies (11,4 %), forêts (10 %), zones urbanisées (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 1 755 1 775
Résidences principales 74,9 % 74,9 %
Résidences secondaires 9,4 % 9,4 %
Logements vacants 15,7 % 15,7 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 70,8 % 70,7 %

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Chabris est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher, le Fouzon et le Nahon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[21],[19].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Sologne Sud-Ouest, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chabris.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 680 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1680 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 1995 et 1997 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Le toponyme Chabris est dérivé du gaulois Carobriva, qui désigne un pont sur le Cher[26].

Ses habitants sont appelés les Chabriots[27].

Préhistoire et Antiquité

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La fréquentation du territoire de la commune à l’époque préhistorique est attestée par les découvertes d’éclats de silex du Néolithique en différents lieux de la commune[28].

À la fin du Ve siècle, saint Phalier se retire comme ermite à proximité de Chabris. Il y meurt vers 525[29].

Au XIIe siècle, Robert d'Arbrissel crée en dépendance de l’ordre de Fontevraud un couvent de sœurs à Glatigny, dépendant du prieuré d'Orsan[30],[31].

De la fin du Moyen Âge à la Révolution

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Les archevêques de Bourges possédaient une résidence à Chabris, qui fut fortifiée à la fin du XIIIe siècle, et appelée château de Bourges[32]. Pendant les guerres de Religion, l’église Saint-Phalier est pillée : statue en or du saint, châsse en or, et tout le trésor de l’église sont emportés par les troupes de Coligny en 1572. Le château de Bourges est également pris, pillé et incendié par les huguenots commandés par l’amiral[32]. Abandonné, il disparaît peu à peu.

Révolution française et Premier Empire

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Pendant la Révolution, le monastère de Glatigny est déclaré bien national, et vendu comme tel en 1797[33].

XIXe et XXe siècles

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Onze habitants de Chabris meurent dans les combats de la guerre franco-prussienne de 1870 ; la Première Guerre mondiale tue cent vingt et un Chabriots[34].

Le , un détachement de la 19e division d’infanterie établit une défense sur le pont de Chabris pour permettre la retraite d’un corps d’armée. Disposant de quelques pièces d’artillerie du 306e régiment d’artillerie, d’un auto-canon de 47 mm et d’un char à canon de 37 mm, la troupe renforcée d’éléments épars livre un combat de retardement à l’armée allemande le 20 juin, avant de se replier[35]. Au total, quatorze Chabriots sont morts en combattant l’Allemagne nazie ou en déportation[36].

La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton de Saint-Christophe-en-Bazelle.

Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement d'Issoudun, du canton de Valençay, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Chabris - Pays de Bazelle[14].

Elle dispose d'un bureau de poste[37], d'un centre de secours, d'une gendarmerie[38], d'un office de tourisme[39], d'une médiathèque et d'un centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil départemental de l'Indre[40].

Chabris est jumelée depuis 1979, avec la commune de Lonsee, en Allemagne.

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1953 20 mars 1983 Octave Gabette[44] SFIO
puis PS
Directeur d'un cabinet d'études techniques
Conseiller général de Saint-Christophe-en-Bazelle (1961 → 1985)
20 mars 1983[45],[46] Serge Pinault RPR
puis UMP
Employé de banque retraité
Conseiller général de Saint-Christophe-en-Bazelle (1985 → 2013)
Vice-président du conseil général (? → 2013)
Président de la CC du Pays de Bazelle (1992 → 2013)
Décédé en fonction[47]
[48],[49],[50] 25 mai 2020 Mireille Duvoux UMP-LR Retraitée de la fonction publique
Conseillère générale de Saint-Christophe-en-Bazelle (2013 → 2015)
Conseillère départementale de Valençay (2015 → )
Vice-présidente du conseil départemental (2015 → 2021)
Présidente de la CC du Pays de Bazelle (2013 → 2014)
25 mai 2020 En cours Fabrice Vaury DVD Contrôleur des finances publiques
1er vice-président de la CC du Pays de Bazelle (2020 → )

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].

En 2021, la commune comptait 2 764 habitants[Note 3], en évolution de +0,99 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9371 9232 0552 2362 5112 5632 5302 7812 872
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9583 0303 1113 1163 0443 0433 0262 9272 836
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7802 7922 7372 5522 4412 3722 4372 3852 358
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 3912 4932 4932 5892 6722 6522 7292 7682 731
2018 2021 - - - - - - -
2 7592 764-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

Manifestations culturelles et festivités

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Le 14 juillet, a lieu une retraite aux flambeaux de la place de la Mairie au Cher, où un feu d'artifice est tiré de l'autre rive. Un bal avec un orchestre, a lieu tous les dimanches de mai à septembre, à la guinguette le long du Cher.

Équipement culturel

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La commune dispose d'une piscine couverte de type tournesol, de deux terrains de tennis, d'un complexe sportif, d'un dojo, d'un stade de football et d'un gymnase.

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

La commune se situe dans l'unité urbaine de Chabris, dans la zone d’emploi de Romorantin-Lanthenay et dans le bassin de vie de Chabris[14].

La viticulture est l'une des activités de la commune, qui se trouve dans la zone couverte par l'AOC valençay.

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[57].

La commune possède un camping deux étoiles, ouvert en juillet-août.

Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal qui dispose de 100 emplacements[58].

Culture locale et patrimoine

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Labels et distinctions

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Chabris a obtenu au concours des villes et villages fleuris :

Personnalités liées à la commune

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  • Emmanuel de Martonne (1873-1955), géographe français, né à Chabris.
  • Gaston Lavaud (1900-1977), général d'armée, repose dans le caveau familial du cimetière de Chabris.
  • Luc Montagnier (1932-2022), biologiste virologue français, né à Chabris.
  • Mikhaïl Ossorguine (1878-1942) écrivain russe ayant passé la fin de sa vie à Chabris. Il a décrit Chabris en détail dans son livre "Dans un endroit tranquille en France".
  • Baptiste Canelhas Reiffers (2000- /) footballeur professionnel.

Héraldique, logotype et devise

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Blason de Chabris Blason
D’azur au pont de quatre arches d’argent, maçonné de sable, posé sur une rivière d’argent ; au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d’or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Les coordonnées de cet article :

Bibliographie

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  • Abel Jarreau, Histoire de Chabris, Chabris, Imprimerie-papeterie du Berry, , 87 p.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « Indre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b c d et e « Chabris » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Chabris et Gièvres », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Romorantin-Pruniers », sur la commune de Gièvres - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Romorantin-Pruniers », sur la commune de Gièvres - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b c et d « Chabris »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Chabris », sur insee.fr (consulté le ).
  14. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Chabris ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Romorantin-Lanthenay », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Comparateur de territoire : Commune de Chabris (36034) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chabris », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  26. Gérard Coulon, Les Gallo-Romains : vivre, travailler, croire, se distraire - 54 av. J.-C.-486 ap. J.-C., Paris : Errance, Éd. Errance, coll. « Hespérides », , 219 p. (ISBN 2-87772-331-3), p. 79.
  27. « Nom des habitants des communes françaises, Chabris », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  28. Jarreau 1948, p. 1-2.
  29. Jarreau 1948, p. 11-12.
  30. Jarreau 1948, p. 44.
  31. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 20.
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  41. Jarreau 1948, p. 70-71.
  42. Jarreau 1948, p. 70.
  43. Jarreau 1948.
  44. « Ville souvent ignorée des autres localités du département de l’Indre, elle saura au XXème siècle assoir davantage sa notoriété de commune-rurale dynamique et ce grâce à deux maires : Octave Gabette (1953-1983) et Serge Pinault (1983-2013). » [1]
  45. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
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