Communay

Communay
Communay
Vue générale.
Blason de Communay
Héraldique
Communay
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Lyon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de l'Ozon
Maire
Mandat
Jean-Philippe Choné
2020-2026
Code postal 69360
Code commune 69272
Démographie
Gentilé Communaysards, Communaysardes
Population
municipale
4 508 hab. (2021 en évolution de +8,55 % par rapport à 2015)
Densité 428 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 36′ 19″ nord, 4° 50′ 08″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 359 m
Superficie 10,54 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Saint-Symphorien-d'Ozon
Localisation
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Liens
Site web communay.fr

Communay est une commune française située dans le département du Rhône, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie des communes dites de l'Est lyonnais.

Géographie

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Communay se situe à moins de 20 km du centre-ville de Lyon, à 12 km de Vienne et à 8 km de Givors. Sa situation sur une colline surplombant les environs offre un point de vue dégagé sur les environs. Lyon, les monts du Lyonnais et les monts d'Or, les massifs du Mont-Blanc et du Vercors, ainsi que le Pilat et la Côtière de l'Ain sont visibles depuis la colline du château d'eau. Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

Communes limitrophes de Communay
Sérézin-du-Rhône Saint-Symphorien-d'Ozon
Ternay Communay Simandres
Chasse-sur-Rhône
(Isère)
Seyssuel (Isère) Chuzelles
(Isère)

Voies de communication et transports

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Voies routières

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A46 au niveau de la sortie 16, vers Marseille.

La commune est desservie par l'autoroute A46 (sortie 16). La route nationale 7 traverse le hameau des Pins et fait office de limite communale à l'est. La route départementale 150 forme l'axe principal du village et permet de rallier les communes environnantes.

Transports en commun

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Communay est desservie par les lignes 111 et 113 des cars du Rhône reliant respectivement Vienne et Givors à Vénissieux, ainsi que par un service de navettes TER vers Sérézin.

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Nord-est du Massif Central »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 820 mm, avec 9 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Luzinay », sur la commune de Luzinay à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Communay est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 123 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), zones urbanisées (16,1 %), forêts (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Époque romaine

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Le site de la commune était déjà occupé à l'époque romaine, en témoigne une pierre gravée retrouvée sur l'une des pierres de l'église. Le nom de la commune serait d'ailleurs d'origine romaine[13]. Le site occupé est celui dit de Saint Lazare au niveau de l'actuelle autoroute. Des fosses Gallo-romaines ont été trouvées dans le secteur de Charvas

Mais ce n'est qu'en 910, dans une des chartes, qu’apparaît la première mention du village, sous le nom "Cominiaco". La première église, celle de Saint-Lazare aujourd'hui disparue, ainsi que la deuxième, l'actuelle, Saint-Pierre, ont été citées pour la première fois en 951, mais l'église actuelle n'était alors que la chapelle de l'ancien château. Son clocher ne fut construit que vers le XIIIe siècle. Communay et sa seigneurie sont alors propriété féodale de l'Église de Vienne depuis 1013 et le resteront jusqu'en 1789[14].

L'église du village, surplombant celui-ci.

Temps modernes

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Communay, alors bourg agricole verra apparaître les premières activités industrielles tout à la fin du XVIIIe siècle. La mine fut ouverte peu après.

Une action de la mine d'anthracite.

De 1748 datent les premiers écrits sur l'existence du charbon à Communay où il est utilisé pour se chauffer, sous forme de « terre noire » par les habitants du hameau de Bayettan où il affleure. Dès 1812, on engage les premières prospections à des fins industrielles. En 1833, deux concessions, l'une à Communay, l'autre à Ternay, sont accordées sur ordonnance du roi Louis-Philippe Ier et se limitent à 9 km2. L'exploitation débute en 1834 par un premier puits à Bayettan (aussi appelé Puits Mallard ou Veuve Mallard. En 1884, on compte cinq puits à Communay : Bayettan, Gueymard, Espérance, Sainte-Lucie et Saint-André. De 1898 à 1912, l'exploitation est régulière 30 000 à 40 000 tonnes par an avec 300 à 400 ouvriers. En 1907 il y a même pénurie de main d’œuvre ce qui entraîne l'arrivée de mineurs italiens, marocains et polonais. Des grèves, des bagarres éclatent. On ne compte pas moins de 13 bistrots. Parallèlement à ces grèves, on découvre aussi des malversations de la part des actionnaires et les bénéfices disparaissent, des procès sont intentés. En 1927 a lieu la première fermeture de la mine de Communay.

À partir de 1898 il a existé un chemin de fer à voie étroite reliant la mine de Communay à la gare de Chasse-sur-Rhône, le matériel ainsi que les rails ont été vendus à un ferrailleur en 1938.

En 1941, on a déjà extrait 650 000 tonnes de la mine d'anthracite de Communay et les réserves sont estimées à 3 000 000 tonnes. Le , au cours de la descente d'une pompe « d'exhaure », destinée à faire baisser le niveau de l'eau au puits Espérance qu'on veut remettre en activité[15], deux ouvriers trouvent la mort tandis que le directeur, monsieur Marcel Deparis[16], est gravement blessé. Cet accident fait suite à d'autres : en 1845, un mort par chute de benne, en 1879, trois morts par chute de bloc, en 1902, blessure par treuil électrique, en 1908 un mineur est tué par un wagonnet, bien que la mine ne soit pas sujette au coup de grisou.

En 1951, la mauvaise rentabilité et qualité du charbon, l'épuisement de certains filons, la concurrence d'autres mines davantage mécanisées entraînent la fermeture. Tout est très vite démoli pour rendre une reprise éventuelle impossible, et ce, malgré l'opposition des mineurs de Communay impuissants et déçus. Aujourd’hui, le site Internet des Amis de la mine de Communay[17] présente un historique de cette activité.

Époque contemporaine

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À cette période suivit, lors de l'après-guerre, la périurbanisation. La commune fut alors rattachée au département du Rhone en vue d'un rattachement futur à l'agglomération lyonnaise. Une véritable explosion démographique se produit alors : de 1 062 habitants en 1962, on en compte presque 4 000 en 1999. De nombreux lotissements sont construits et la commune dut alors se munir de nombreux équipements pour suivre cette nouvelle évolution : nouvelles écoles, gymnase...

Changement de département

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Initialement rattachée au département de l'Isère, la commune de Communay est transférée, comme l'ensemble du canton de Saint-Symphorien-d'Ozon, au département du Rhône par la loi no 67-1205 du .

Politique et administration

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La mairie.

Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? ? M. Gordin   Maire en 1895
? ? Claudius Gétaz   Maire en 1920
avant 1988 1995 Bernard Tenet PS  
1995 mars 2001 Michel Pras   Enseignant
mars 2001 mars 2008 Serge Merguerian SE-DVD  
mars 2008 mars 2014 Laurent Verdone DVG Ingénieur mécanicien
Vice-président de la CC du Pays de l'Ozon
mars 2014 En cours
(au 27 mai 2020)
Jean-Philippe Choné SE Ingénieur retraité
Vice-président de la CC du Pays de l'Ozon
Réélu pour le mandat 2020-2026[18]
Les données manquantes sont à compléter.

Conseil municipal de Communay (2020-2026)

Groupe Liste Effectif Statut
SE « Communay en action » 22 majorité
DVC « J'aime Communay » 5 opposition

Intercommunalité

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La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de l'Ozon.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 4 508 habitants[Note 4], en évolution de +8,55 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
460499672649712766756709775
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
818739732700681768700662696
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9571 0661 130855759848770821894
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0621 2471 8592 3562 9183 8833 9133 9224 128
2018 2021 - - - - - - -
4 2194 508-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Porte d'accès à la mairie.

Communay possède une école maternelle, une école primaire et un collège public, rénové en 2013.

Un cabinet médical est installé au dessus de la pharmacie, route de Ternay. Le cabinet dentaire se trouve au centre du village, près du bureau de poste. D'autres services médicaux existent et sont répartis dans la commune[23].

Le Sud Lyonnais Football, créé par la fusion des clubs de L'AS Communay et du FCSSR, joue au stade de la plaine, qui va être réaménagé.

Sans oublier le Basket Club Communay Ternay (BCCT) qui dans une région de grande culture de basket a su faire sa place.

Le club des Archers de Cornavan que l'on peut apercevoir très régulièrement près du gymnase de la plaine, sur un pas de tir extérieur et un pas de tir intérieur au gymnase du collège.

Cadre de vie

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La partie sud du territoire communal est recouverte par le bois de Cornavan, que l'on traverse en empruntant la nationale 7.

Environnement

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Revenus de la population et fiscalité

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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 44 253 €, ce qui plaçait Communay au 1 002e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[24].

Entreprises et commerces

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le chevalement reconstitué du puits Espérance et les divers vestiges miniers, notamment des terrils.
  • L'église Saint-Blaise.
  • Le lavoir.

Manifestations culturelles et festivités

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La commune de Communay voit se dérouler différents événements culturels tout au long de l'année, pour citer quelques exemples :

  • la Vogue (fête foraine) au mois de mai ;
  • la fête de l'automne est organisée chaque année début octobre  ;
  • défilé de la Sainte-Barbe début décembre, organisé par l'association des Amis de la Mine [25] ;
  • les JOA (journées de l'occasion astronomique) reviennent chaque année au printemps et mêlent animations sur le thème de l'astronomie et ventes de matériel d'occasion[26]

L'association l'Étincelle de Communay organise de nombreuses animations (la fête d'automne, le Noël des enfants, le carnaval, la fête de la musique, art et jardins, les séances de cinéma, les spectacles).

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lyon comprend une ville-centre et 122 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Communay et Luzinay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Luzinay », sur la commune de Luzinay - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Luzinay », sur la commune de Luzinay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Communay ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Robert Vayer, L'église Saint-Pierre de Communay, deuxième semestre 1993, p. 10.
  14. Robert Vayer, L'église Saint-Pierre de Communay, deuxième semestre 1993, p. 12.
  15. les gens avaient détourné une rivière pour noyer les galeries de la mine pour éviter qu'elles s'écroulent
  16. Monsieur Deparis fut le dernier directeur de la mine de Communay.
  17. Le site des Amis de la mine
  18. « Jean-Philippe Choné ré-élu maire a souhaité à tous les élus un mandat serein et productif », Le Progrès,‎ (lire en ligne).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « communay.fr/spip.php?rubrique4… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  24. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. https://www.communay.fr/accueil/actualite/1320-defile-de-la-sainte-barbe-avec-les-amis-de-la-mine
  26. (en) « Astrozorg.fr », sur astrozorg.fr (consulté le ).

Bibliographie

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  • Robert Vayer, L'église Saint-Pierre de Communay, Saint-Etienne, Imprimerie Dumas, , 55 p. (ISBN 2-9507873-0-4).
  • Robert Cluze et Paul Bertrand, ...à Communay, LA MINE..., Lyon, Imprimerie DEP, .

Liens externes

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