Coulgens

Coulgens
Coulgens
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Véronique Pichon
2020-2026
Code postal 16560
Code commune 16107
Démographie
Population
municipale
546 hab. (2021 en évolution de +1,11 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 44″ nord, 0° 17′ 16″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 126 m
Superficie 11,70 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Coulgens
Liens
Site web www.coulgens.fr

Coulgens (prononcer [kulʒɑ̃]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation et accès

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Coulgens est une commune située à 21 km au nord-est d'Angoulême.

Elle est aussi à 11 km de Mansle, 12 km de Saint-Amant-de-Boixe, 13 km de La Rochefoucauld, chef-lieu de son canton, et de Chasseneuil[1].

La commune est à l'écart des grands axes routiers. Elle est située au carrefour de la D 40 qui va de La Rochefoucauld à Mansle et qui s'appelle la route de la Duchesse, et de la D 45 qui va vers Jauldes et Angoulême au sud-ouest et Chasseneuil au nord-est[2].

Hameaux et lieux-dits

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Le principal hameau de la commune est Sigogne, avec les Capus où est situé le château, au nord du bourg. D'autres hameaux de moindre importance occupent le territoire communal, comme l'Aiguille à l'ouest, le Puits de l'Appent et le Vieux Logis près du bourg, Chantoiseau et le Pouzeau au sud, les Combes près de Sigogne[2].

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Coulgens
Val-de-Bonnieure
Aussac-Vadalle Coulgens La Rochette
Jauldes

Géologie et relief

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Le sol de la commune est constitué d'un plateau calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien terminal, Kimméridgien). Il fait partie du plateau de la Boixe et de la Braconne, de nature karstique. Quelques petites zones de grèzes occupent certains endroits, sur les flancs de la vallée de la Tardoire. La vallée elle-même est occupée par des alluvions du quaternaire[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui d'un plateau traversé par la vallée de la Tardoire, large et peu profonde. Le point culminant du territoire communal est à une altitude de 126 m, situé à l'extrémité ouest. Le point le plus bas est à 66 m, situé le long de la Tardoire sur la limite nord. Le bourg, construit sur un léger promontoire au bord de la Tardoire, est à 90 m d'altitude[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Coulgens.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Tardoire[7],[Carte 1].

La Tardoire traverse la commune du sud-est au nord-ouest. d'une longueur totale de 114,1 km, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de Pageas, et se jette dans la Bonnieure à Saint-Ciers-sur-Bonnieure, après avoir traversé 28 communes[8]. Ses eaux s'infiltrent dans le karst de La Rochefoucauld pour donner les sources de la Touvre près d'Angoulême, et ses eaux ne traversent la commune qu'en hiver. Son cours est jalonné de gouffres.

On trouve aussi la source de Sigogne qui n'alimente qu'un lavoir[2].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Au , Coulgens est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), forêts (11,2 %), prairies (9,5 %), zones urbanisées (2,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Coulgens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Tardoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coulgens.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 30,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 281 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 17 sont en aléa moyen ou fort, soit 6 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Les formes anciennes sont Colgante en 1281, Colgento en 1290[21], Colganto en 1312[22],[Note 2].

L'origine du nom de Coulgens est assez obscure. D'après Talbert, elle serait Corte Gantone, où le latin cortem signifie domaine, et Ganto est un nom d'homme germanique (wisigoth ou franc)[23],[24].

Limite linguistique

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La commune est dans la langue d'oïl (domaine du saintongeais), et marque la limite avec le domaine occitan (dialecte limousin) à l'est[25].

Selon Tourtoulon et Terracher, la commune se trouvait encore au XIXe siècle dans la partie occitane de la Charente qui en occupe aujourd'hui le tiers oriental[26]. Elle se nomme Colgent en occitan[27].

L'Aiguille et la voie d'Agrippa.

La commune est située au carrefour de deux voies romaines : la voie d'Agrippa de Saintes à Lyon, et la voie d'Angoulême à Bourges par Argenton, qui se coupent au lieu-dit l'Aiguille. Le village est situé sur la voie d'Agrippa même (actuelle D.45).

Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Coulgens se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Lichères, Saint-Angeau, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[28].

Les comtes d'Angoulême attachaient une grande importance stratégique au bourg de Coulgens, paroisse d'Angoumois. Au XIIe siècle, le comte Vulgrin II, après s'être emparé de Mansle, fortifia le bourg et le prit comme base d'opérations, avant d'attaquer le baron de La Rochefoucauld[29].

La seigneurie de Sigogne est attestée avant le XIIIe siècle, elle est passée des Sigogne aux Acarie. Les La Rochefoucauld la vendent au XVIe siècle aux Tizon qui la revendent aux Bordage[30].

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Confolens par Saint-Angeau et Champagne-Mouton, appelée affectueusement par les habitants le Petit Mairat[29].

Politique et administration

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
20-05-1888 29-11-1896 Arthur Delord   avocat
29-11-1896 13-12-1896 Jean Chambaud   propriétaire
13-12-1896 17-01-1897 Arthur Delord   avocat
17-01-1897 27-01-1897 Pierre Tétaud   propriétaire
27-01-1897 17-05-1908 Jean Chambaud   propriétaire
17-05-1908 16-10-1910 Jean Lacourly   propriétaire
16-10-1910 11-12-1919 Jean-Emile Broussard   propriétaire
11-12-1919 19-05-1929 Jean Hymonnet    
19-05-1929 19-05-1935 Jean Jean    
19-05-1935 14-09-1944 Pierre Rousseau    
14-09-1944 02-11-1947 Louis Ferrand PCF médecin
02-11-1947 28-03-1965 Henri Pénigaud   agriculteur
28-03-1965 28-03-1971 Georges Vigier    
28-03-1971 14-02-1974 Pierre Darconnat   agriculteur
14-02-1974 03-05-1982 Gilles Pénigaud   représentant
03-05-1982 24-03-1989 Camille Mounier   agriculteur
24-03-1989 10-05-1991 Serge Figier    
10-05-1991 28-05-2020 Rémy Merle PCF retraité de La Poste
28-05-2020 05-06-2020 Stéphane Nadaud    
29-10-2020 En cours Véronique Pichon    

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 546 habitants[Note 3], en évolution de +1,11 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
762717748844796793844798802
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
744758717659628589532529521
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
523474436450419411394413399
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
379418389382457500482529534
2021 - - - - - - - -
546--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,7 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 275 hommes pour 260 femmes, soit un taux de 51,4 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,2 
6,6 
75-89 ans
6,2 
14,2 
60-74 ans
15,4 
24,5 
45-59 ans
21,2 
17,5 
30-44 ans
20,4 
16,4 
15-29 ans
17,7 
20,8 
0-14 ans
18,1 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[37].

En 2014, il n'y a plus de commerce dans la commune mais le dimanche matin, un marché réunissant plusieurs commerçants est installé place de la Mairie.

Équipements, services et vie locale

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Enseignement

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L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Coulgens et Jauldes. Coulgens accueille deux classes à l'école élémentaire Alexis-Desmoulin et Jauldes une classe à l'école élémentaire et deux classes à l'école maternelle[38].

Autres équipements

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Bureau de poste.

Il y a un bureau de poste de plein exercice.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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L'église.

L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est une église romane construite aux XIe et XIIe siècles qui a été classée monument historique le 25 mars 1955[39].

Patrimoine civil

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Le château de Sigogne.

Le logis de Sigogne est à l'état de vestiges, classés monument historique le 8 octobre 1986. Il ne reste que la tour d'entrée du XIVe siècle flanquée d'une tour polygonale du XVe siècle, les logis et autres bâtiments ont disparu[30].

La restauration de ces vestiges a été entreprise en 1985 par le Club Marpen et s'effectue lors de chantiers d'été par de jeunes bénévoles.

Patrimoine naturel

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Sur Coulgens se trouvent la source de Sigogne et la vallée de la Tardoire.

Personnalités liées à la commune

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  • Marie Gounin (1885-1973) : célèbre auteur de textes et poèmes sur la Charente, sur Angoulême, sur la campagne charentaise qu'elle affectionnait. Elle est enterrée au cimetière communal. Une rue d'Angoulême est à son nom[40].
  • Louis Ferrand : médecin à Coulgens, précurseur de l’accouchement sans douleur[41], nommé maire de Coulgens par le gouvernement provisoire de la République française et sur proposition du Comité départemental de la Libération de la Charente par arrêté du 14 septembre 1944 puis élu en 1945. Maire-adjoint d'Angoulême en 1956.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. En occitan, le o non accentué se prononce ou, la forme écrite actuelle a reflété la forme orale d'autrefois, comme Engolesme.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Coulgens » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Coulgens », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « la Tardoire »
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angoulême », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Coulgens », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Coulgens », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 288
  22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 94,153,186,250
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 217.
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928, p. 192
  25. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  26. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  27. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  28. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  29. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 146
  30. a et b Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 240
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Coulgens (16107) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  37. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  38. Site de l'inspection d'académie de la Charente
  39. « Église de Coulgens », notice no PA00104341, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. Auguste Pierre Garnier, La Muse française, vol. 17, éditions Garnier, (ISBN 2-7483-3465-5, lire en ligne), p. 465-468
  41. Marianne Caron-Leulliez et Jocelyne George, L'accouchement sans douleur : histoire d'une révolution oubliée, Paris, éditions de l'Atelier, , 254 p. (ISBN 2-7082-3751-9, lire en ligne)

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Articles connexes

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Liens externes

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