Elle est la fille de Georges Khayat, Juif-Tunisien originaire de Sfax, médecin et écrivain, auteur de Jeunesse portant sur la vie de la communauté juive sous la colonisation[2],[4], et la cousine germaine du photographe Serge Bramly et de Sophie Bramly.
Elle est également écrivain et chroniqueuse (collaboratrice, entre autres périodiques, pendant quelques années, de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo dans lequel elle signe toutes les deux semaines la chronique « Charlie Divan »).
Elle reçoit, le , les insignes de chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume[8].
Le musicien et plasticien Catman (David Taïeb) publie en le livre K en hommage à Elsa Cayat, avec qui il était en analyse[9],[10]. Un autre de ses patients, Emmanuel Chaussade, fait d'elle l'un des personnages principaux de son roman Dire, publié en , qui lui rend hommage[11],[12].
Elsa Cayat, « En quoi la fétichisation de la science par la technocratie aboutit-elle à la négation de l'homme et à l'éradication de la pensée ? », dans Lucette Khaiat (dir.) et Cécile Marchal (dir.), Enfance dangereuse, enfance en danger ? : L'appréhension des écarts de conduite de l'enfant et de l'adolescent (colloque organisé par l'Association Louis Chatin pour la défense des droits de l'enfant, ), Toulouse, Érès, , 271 p. (ISBN978-2-7492-0761-2, DOI10.3917/eres.march.2007.01.0189, présentation en ligne), p. 189–202.
Elsa Cayat, « L'écart entre le Droit et la loi », dans Cécile Marchal (dir.) et Lucette Khaïat (dir.), La maîtrise de la vie : Les procréations médicalement assistées interrogent l'éthique et le droit (colloque organisé par l'association Louis Chatin pour la défense des droits de l'enfant, ), Toulouse, Érès, coll. « Enfance & parentalité », , 263 p. (ISBN978-2-7492-1569-3, DOI10.3917/eres.march.2012.01.0235, présentation en ligne), p. 235–250.