Eyzin-Pinet

Eyzin-Pinet
Eyzin-Pinet
Le château de Montfort sur une carte postale ancienne.
Blason de Eyzin-Pinet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Vienne Condrieu Agglomération
Maire
Mandat
Christian Janin
2020-2026
Code postal 38780
Code commune 38160
Démographie
Population
municipale
2 316 hab. (2021 en évolution de +5,08 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 25″ nord, 5° 00′ 03″ est
Altitude 312 m
Min. 218 m
Max. 450 m
Superficie 28,44 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vienne-2
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Eyzin-Pinet
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Eyzin-Pinet
Liens
Site web www.eyzin-pinet.fr

Eyzin-Pinet est une commune française, située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Adhérente à la communauté de communes de Vienne Condrieu Agglomération et rattachée au canton de Vienne-2, le village est proche de l'agglomération de Vienne et ses habitants sont appelés les Eyzinois[1].

Géographie

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Situation et description

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Positionnée à 44 km au sud-est de Lyon, la commune est située dans le Nord-Isère, également dénommé Bas Dauphiné. Son territoire regroupe une dizaine de hameaux dont les principaux sont le village et Chaumont et est traversée par un affluent du Rhône, la Gère.

Sa topographie est partagée entre des collines recouvertes de forêts, riches en pins, une vallée et une plaine agricole.

Communes limitrophes

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Rose des vents Estrablin Moidieu-Détourbe Savas-Mépin Rose des vents
Saint-Sorlin-de-Vienne N Meyssiez
O    Eyzin-Pinet    E
S
Saint-Sorlin-de-Vienne Cour-et-Buis Cour-et-Buis

Hydrographie

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Le territoire communal est traversé par la Gère, un affluent du Rhône, d'une longueur de 34,5 km de longueur[2] et deux de ses affluents : le ruisseau de Merdaret d'une longueur de 4,7 km et la Suze, d'une longueur de 10,3 km.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 906 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 775,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication

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Le territoire communal est traversé par l'ancienne route nationale 538, déclassée en RD538 et qui relie Vienne à Beaurepaire, Crest, Nyons et Cavaillon. Cette route qui taverse le hameau du Chamboud sert aussi d'itinéraire bis, alternatif à l'autoroute A7 ou à la route nationale 7.

Au , Eyzin-Pinet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,3 %), forêts (25,1 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), prairies (11,4 %), zones urbanisées (3,2 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux, Lieux-dits et écarts

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Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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La totalité du territoire de la commune d'Eyzin-Pinet est située en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[14].

Terminologie des zones sismiques
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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Le secteur actuel d'Eyzin-Pinet et du secteur du Nord-Isère se situe à l'ouest du territoire antique des Allobroges, ensemble de tribus gauloises occupant l'ancienne Savoie, ainsi que la partie du Dauphiné, située au nord de la rivière Isère.

Son histoire est largement marquée par l'époque gallo-romaine. En effet, deux aqueducs, découverts en 1898, permettaient d'alimenter en eau la ville de Vienne à partir du village d'Eyzin.

En 1080, le village s'appelait Aysinis-Pinet Pineto. Il devient « Eyzin » puis « Eyzin-Pinet » le 14 mai 1823. Auparavant Pinet était plus important qu'Eyzin qui n'avait qu'une seule maison.

Au Moyen Âge, Pinet était le chef-lieu d'un mandement composé de 12 paroisses : approximativement la rive gauche de la Gère (affluent du Rhône) depuis le site de Gémens (quartier de la commune d'Estrablin, limitrophe d'Eyzin) ainsi que Chaumont (hameau d'Eyzin-Pinet). Le château est visité lors de l'enquête de 1339[15]. Il est entre les mains de Drevet des Vaux qui la hérité ainsi que la terre de Beauvoir de son oncle Guigues de Beauvoir. La famille de Beauvoir le tenait en fief du dauphin ; Guigues de Beauvoir rend hommage le 16 septembre 1310 au dauphin Jean II de Viennois pour le château de Pinet.

Les témoignages diffèrent sur la population du mandement, le curé de Pinet, Jacques d'Hières (« de Eriis ») indique 570 feux alors que le damoiseau, noble Guillaume d'Anjou résident du château de Pinet, l'estime entre 900 et 1 000 feux et Pierre du Bourg, moine du monastère de Saint-André de Vienne et prieur d'Eyzin, avance également le chiffre de 900 feux.

De nature très diverse, son patrimoine historique demande à être préservé tant pour le sauver de la dégradation que de l'oubli.

Politique et administration

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Administration municipale

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Le conseil municipal d'Eyzin-Pinet compte dix-huit membres dont un maire, cinq adjoint au maire, deux conseillers délégués et onze conseillers municipaux[16].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1794 Pierre Boisset    
1794 1795 Claude Gemelas    
1795 1800 Pierre Boisset    
1800 1800 François Ronjat    
1800 1808 Pierre Boisset    
1808 1814 Godefroy Comte de Sallmard    
1814 1815 Raymond Comte de Sallmard    
1815 1816 Pierre Boisset    
1816 1822 Raymond Comte de Sallmard    
1822 1830 Godefroy Comte de Sallmard    
1830 1831 Pierre Boisset    
1831 1834 Jean-Jacques Bovier    
1834 1842 Jean-François Richet    
1842 1846 Arnaud de Miol Flavard    
1846 1848 Marcel Bovier    
1848 1861 Jean-Joseph Bovier    
1861 1878 Raymond Comte de Sallmard    
1878 1896 Antoine Louis Rochat    
1896 1908 Jean Christophle    
1908 1909 Jean-Siméon Nivel    
1909 1912 Jean-Louis Decourt    
mars 1912 1944 Eugène Cote    
1944 1947 Pierre-Geoffroy Rostaing   Adjoint remplace le maire démissionnaire
1947 mars 1950 Eugène Cote    
mars 1950 mars 1956 Léon Ronjat    
mars 1956 mars 1972 Lucien Millet    
mars 1972 mars 1977 Marcel Plantier    
mars 1977 mars 1983 Christian Arnaud[17]    
mars 1983 mars 2014 Jean-Claude Jars    
mars 2014 En cours Christian Janin SE Chef d'entreprise[18]
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

En 2021, la commune comptait 2 316 habitants[Note 2], en évolution de +5,08 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6421 2721 4171 4441 5261 6701 7531 8401 791
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6321 6751 5931 4271 4111 3361 3531 3701 320
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3101 3211 2061 1911 1251 1011 0429971 003
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
9579731 0551 2581 5021 8162 0672 0972 155
2017 2021 - - - - - - -
2 2522 316-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble (Zone A). Celle-ci héberge et gère une école primaire et une école maternelle sur son territoire[23].

Équipements culturel et sportif

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Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

La communauté catholique et l'église d'Eyzin-Pinet (propriété de la commune) sont desservies par la paroisse Sainte Mère Teresa en Viennois, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[24].

Culture et patrimoine

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Patrimoine architectural

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La tour de Pinet
Le château de Montfort sur une carte postale ancienne

La commune possède deux églises datant du XIXe siècle ainsi que quelques monuments remarquables dont le donjon d'un ancien château-fort médiéval.

La tour de Pinet

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Ce donjon est le vestige en grande partie ruinée de l'ancien château fort du XIIIe siècle ayant appartenu à la famille Pinet et possédée en 1081 par le chevalier Bérillon, apparenté à la Famille de La Tour du Pin. Le château fut ensuite la possession des seigneurs de Beauvoir avant de passer aux mains des dauphins de Viennois[25].

Le château de Montfort

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L'édifice date des XIVe et XVe siècles remanié au XVIIIe siècle[25] ;

La gentilhommière des Lambert

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Situé au lieu-dit Saint-Marcel, le bâtiment date du XVe siècle[25].

Patrimoine naturel

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La forêt domaniale des Blaches classée en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) dans son ensemble et qui héberge de nombreuses espèces animales et végétales[26].

De nombreux chemins balisés pour les piétons et les chevaux traversent les forêts, les pinèdes et les étangs.

Eyzin-Pinet dans les Arts

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Dans la littérature

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Jean Echenoz, dans son roman Nous trois paru en 1992, situe un épisode de son histoire dans un hôtel-restaurant d'Eyzin-Pinet où deux de ses personnages principaux passent une nuit après avoir réchappé à une catastrophe naturelle[27].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Eyzin-Pinet Blason
Écartelé, les quatre quartiers bordés d'un filet d'or : au premier d'azur à la tour du lieu d'argent maçonnée de sable, ajourée du champ, mouvant de la pointe, au deuxième d'azur aux deux monts de sinople mouvant des flancs, l'un derrière l'autre, à l'arbre arraché d'argent brochant sur le tout, au troisième de sinople à l'épi de blé d'or posé en barre, au quatrième d'azur au dauphin d'argent ; le tout posé sur une champagne d'argent chargée d'une rivière d'azur mouvant de la pointe et d'un pont droit de trois arches aussi d'argent maçonné de sable mouvant du trait de la champagne, des flancs et de la pointe.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 14 février 2021.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Gère (V32-0400) » (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Eyzin-Pinet et Reventin-Vaugris », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  15. Faure Claude, Un projet de cession du Dauphiné à l'Église romaine (1338-1340), In : Mélanges d'archéologie et d'histoire, t. 27, 1907, p. 153-225.
  16. Site eyzin-pinet, page sur le conseil municipal/}.
  17. [1]
  18. « Résultats municipales 2020 à Eyzin-Pinet », sur lemonde.fr (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Site eyzin-pinet.fr, page sur les écoles, consulté le 16 septembre 2021.
  24. Site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la paroisse Sainte Mère Teresa en Viennois, consulté le 15 septembre 2021.
  25. a b et c Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 678.
  26. Site de l'INPN, page sur la ZNIEFF de la forêt des Blaches, consulté le 8 mars 2019
  27. Nous trois, Jean Echenoz, éditions de Minuit, coll. « Double » no 66, 2010, (ISBN 978-2-7073-2129-9), pp. 81-87.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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