Ismaël (baryton)

Jean-Vital Jammes
dit Ismaël
Description de cette image, également commentée ci-après
Ismaël vers 1873
Surnom Ismaël
Naissance
Le Passage, Drapeau de la France France
Décès (à 68 ans)
Marseille, Drapeau de la France France
Activité principale Artiste lyrique
baryton
Style
Années d'activité 1843-1882
Enseignement Conservatoire de Paris
Élèves Max Bouvet, Jean Delvoye, Herman Devriès, Marie Ismaël-Garcin
Signature d'Ismaël en 1862 tirée d'un courrier
Signature d'Ismaël en , avec les maçonniques.

Jean-Vital Jammes dit Ismaël est un baryton français né le au Passage (Lot-et-Garonne) et mort le à Marseille (Bouches-du-Rhône).

Né dans une famille très pauvre, il part de chez lui à quatorze ans et gagne sa vie comme chanteur des rues, avant de se faire embaucher comme choriste puis soliste sur des scènes de province de plus en plus illustres. Au début des années 1850, il se fixe à Marseille, où il révèlera la véritable dimension de son talent. Les années 1860 seront celles de la consécration parisienne. Cet autodidacte absolu a créé en 40 ans de scène nombre de grands rôles au Théâtre-Lyrique puis à l'Opéra-Comique, dont Zurga dans Les Pêcheurs de perles de Georges Bizet et Ourrias dans Mireille de Charles Gounod. Consécration de sa carrière, il devient professeur au Conservatoire de Paris en 1874, avant d'en être chassé dans des conditions obscures. Sa fin de carrière est marquée par des difficultés vocales liées à une affection du larynx. Mais Ismaël ne cessera jamais d'enseigner son art à de nombreux élèves, souvent illustres eux-mêmes.

Des origines modestes

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Ismaël jeune en costume de scène
Portrait à l'huile sur bois

Jean-Vital Jammes[N 1] naît au Passage, près d'Agen. Son père, Antoine Jammes, est un tailleur d’habits analphabète originaire de Foulayronnes ; sa mère, Marguerite Andrieu, est domestique[N 2],[IC 1],[Nec 1],[1]. Très pauvres, ils ne peuvent offrir à leur fils aucune éducation. À seize ans, Jean-Vital, qui témoigne un intérêt précoce pour le chant, quitte à pied le domicile familial pour gagner sa vie en chantant dans les rues et les auberges. Il arrive ainsi à Nantes[2]. Prat, le directeur du théâtre Graslin, l'entend chanter dans un café au cours de la saison 1842-1843 et l’embauche comme choriste. Jammes remporte un premier succès en remplaçant au pied levé le baryton titulaire du rôle de Max dans Le Chalet d’Adolphe Adam[ThN 1]. Il part – semble-t-il – à Paris en espérant recevoir une formation plus poussée mais le Conservatoire de Paris le refuse à cause de son analphabétisme. Il apprend donc seul à lire et à écrire et travaille essentiellement par lui-même les grands rôles de baryton de son époque.

Ce travail porte ses fruits car il obtient un poste de basse en Belgique, à l’Opéra de Verviers[N 3],[Nec 2],[2]. En novembre 1844, il se produit à Namur, déjà sous le nom de scène d’« Ismaël », en tant que « première basse chantante et baryton. »[N 4],[JTh 1].

De retour en France, il est engagé à Saint-Étienne en juin 1845, comme « baryton et basse chantante » pour l’opéra et « jeune troisième rôle et deuxième amoureux » pour les drames, comédies et vaudevilles[JTh 2]. Il se produit à Amiens à partir d'août 1846[TrD 1]. Face à un public extrêmement exigeant, il fait preuve de « trop de talent pour être exposé à d'hostiles manifestations »[TrD 2], même s’il est « un peu sifflé »[TrD 3]. ll résilie son contrat en janvier 1847[TrD 4] et part pour Orléans où il est référencé comme baryton Martin en [JTh 3]. Il y rencontre le succès dès son arrivée grâce à sa « belle voix, franche et nettement posée »[JTh 4].

Il est engagé au Grand-Théâtre de Bordeaux en 1848-1850, et passe au Grand Théâtre de Nîmes en 1850[Evt 1]. On le voit aussi, en 1851, à Perpignan et à Béziers. Puis il fait ses débuts en 1851 au Grand-Théâtre de Lyon comme « baryton Grand Opéra, Opéra-Comique et Traductions »[Evt 2]. Il y rencontre sa première épouse, la mezzo-soprano Alceste Anastasie Hortense Cœuriot qui y est « Première dugazon »[3]. Il retourne à Bordeaux avec Alceste en 1853-1854, puis il réside six saisons d’affilée (de 1854 à 1860) au Grand-Théâtre de Marseille. À Bordeaux et Lyon, Ismaël a eu l’occasion de donner la réplique à des vedettes comme Marietta Alboni[N 5],[Evt 3] et Louis Gueymard[N 6],[AVv 1]. À Marseille, il construit sa propre stature de grand artiste. En effet, il obtient par exemple une « couronne d’or » de la Direction pour fêter sa deuxième saison[N 7],[AMe 1], et joue pour la première fois le rôle-titre de Rigoletto de Verdi, dans lequel il excellera par la suite. Il se déplace également : il fait une apparition à Aix-en-Provence fin 1855-début 1856, et se rend apparemment en représentation à Constantine, avec Alceste au cours de l’été 1856[N 8],[AMe 2]. Après un nouveau passage à Lyon en 1860-1861[EnL 1], Ismaël fait en 1861 ses débuts de baryton « Grand opéra et traductions » et « opéra-comique » au théâtre de la Monnaie à Bruxelles[MoB 1]. Il est engagé l'année suivante au théâtre des Arts de Rouen. Il y joue avec succès plusieurs rôles majeurs en 1862-1863 et attire ainsi l’attention de Léon Carvalho, directeur du Théâtre-Lyrique à Paris.

Consécration parisienne

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Ismaël vers 1885, huile sur toile

Carvalho engage Ismaël dans sa troupe. Celui-ci débute le avec la création de Zurga des Pêcheurs de Perles de Georges Bizet. Il joue ensuite à partir du le rôle-titre dans Rigoletto de Verdi. Ce rôle consacre Ismaël comme l'un des chanteurs de premier plan de la capitale[4]. Il crée l'année suivante Ourrias dans Mireille de Gounod puis chante le le rôle-titre du Macbeth de Verdi dans sa version révisée[5]. Il joue également le rôle-titre de Don Pasquale de Donizetti, Falstaff dans Les Joyeuses Commères de Windsor[6] de Nicolai, et Sganarelle dans Le Médecin malgré lui de Gounod (1866)[N 9]. Il chante au Grand-Théâtre de Marseille début 1868[FrM 1], puis à nouveau en 1869 après la faillite de Carvalho en . En juin 1870, il signe avec le Théâtre royal de Liège[Com 1], quelques jours avant le déclenchement de la guerre de 1870[N 10]. Le , il est à Marseille. Sur un balcon de la Canebière, il entonne La Marseillaise pour la foule enthousiaste qui attend, comme lui, Giuseppe Garibaldi. Celui-ci arrive sur le vapeur Ville-de-Paris pour aider la jeune République française[Tps 1]. Fin 1870, il participe également à deux concerts de bienfaisance au Grand-Théâtre de Marseille[EuA 1].

En octobre 1871, après les événements de la Commune, La Comédie annonce le retour d'Ismaël à l’Opéra-Comique dans L’Ombre de Friedrich von Flotow[Com 2],[Hoc 1]. Il crée, à la salle Favart, plusieurs opéras et opérettes dont Fantasio d'Offenbach et Le roi l'a dit de Delibes. Il joue aussi dans les œuvres de Gounod Roméo et Juliette (frère Laurent) et Le Médecin malgré lui (Sganarelle)[7]. Entretemps, il fait une grande tournée dans au moins 25 villes de France, en juillet-, en compagnie de trois autres artistes de l'Opéra-Comique, avec L'Ombre de Flotow[N 11],[JnL 1].

Au cours des années 1870, Jean-Vital Jammes semble connaître des problèmes vocaux, liés à une affection du larynx[Nec 3], qui l'éloignent périodiquement de la scène. Les journaux de l’époque relatent plusieurs incidents à propos de ce point et de sa santé en général. En 1853 déjà, à Lyon, il a une extinction de voix[AVv 2]. L'Argus et le Vert-vert réunis publient même un couplet satirique sur le sujet. Son médecin le soigne dans un surprenant caisson hyperbare d’époque[N 12]. Plus tard, fin 1871, il s’évanouit sur scène à la fin d’une représentation de L’Ombre[Tps 2] ; de même, il est obligé de « garder la chambre » en [Com 3].

Professeur au Conservatoire

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Villa d'Ismaël à Marseille (vers 1980)

Nommé professeur de déclamation lyrique au Conservatoire de Paris le 1er février 1874, Ismaël continue cependant à jouer. Il crée en particulier, sur la scène de l'Opéra-Comique, Gille et Gillotin en 1874, L’Amour africain en 1875 et le pasteur Tidmann dans Piccolino de Guiraud en 1876[SoP 1]. Le journal satirique Le Trombinoscope lui consacre en 1875 un numéro, avec une biographie fantaisiste[IC 2] signée Touchatout.

Il quitte l'Opéra-Comique en , quand Léon Carvalho reprend la direction du théâtre[Hoc 2]. Le , il est brusquement et sans explications démis de ses fonctions de professeur au Conservatoire. Il demande à plusieurs reprises, mais en vain, une enquête publique sur les raisons de sa révocation[1],[8]. Profondément touché[N 13], il publie en mars 1877 un opuscule sur cette affaire[IC 3]. Il attribue sa révocation au ressentiment d'une de ses élèves à qui il avait expliqué son inaptitude à l'art lyrique. Cette affaire, qui trouve en 1877 un écho dans plusieurs quotidiens, le poursuit : en 1880, sollicité pour diriger la classe de chant du Conservatoire de Marseille, il en est finalement écarté. Il s'en plaint dans une lettre au Figaro[N 14]. Son dossier aux « ressources humaines » du Conservatoire[N 15] semble étayer les hypothèses d'Ismaël dans sa lettre.

À partir de 1877, Ismaël passe de plus en plus de temps dans sa villa de Marseille[N 16],[9], achetée en 1861, donnant des leçons de chant et participant à la vie de la cité. Il est par exemple membre du « Cercle artistique de Marseille », et il lui arrive de chanter pendant les manifestations du cercle[Nec 4],[Ved 1].

Caveau de Jean-Vital Jammes et Marie Garcin au cimetière Saint-Pierre

Il crée ensuite en 1877, sur la scène du théâtre de la Renaissance, La Tzigane, une opérette-pastiche d'après Johann Strauss II[N 17]. Puis, il crée le rôle-titre dans Le Chevalier Gaston de Planquette le au théâtre du Casino de Monte-Carlo[7], inauguré le précédent. Après Monaco, il fait une tournée personnelle en France, qui l’amène en particulier à Agen, où il chante Le Barbier de Séville[Fig 1]. Il retourne au théâtre de la Renaissance, pour deux premières mondiales : La Jolie Persane de Lecocq en 1879 (rôle de Nadir) et, en 1880, Les Voltigeurs de la 32e de Planquette (rôle de Richard).

Sa dernière prestation sur scène aurait eu lieu à Marseille en mars 1882, dans L'Ombre de Friedrich von Flotow[Nec 5]. Mais on le retrouve, selon L'Europe artiste, jouant L'Ombre en 1884 à Aix-les-Bains, et certaines sources affirment qu'il se serait encore produit à Toulouse au printemps 1886[10]. Il apparaît enfin lors d'une soirée de charité le à Cauterets aux côtés de sa seconde épouse[IC 4].

Jean-Vital Jammes tombe malade vers 1891-1892[Nec 6]. La Vedette relate sa dernière sortie mondaine connue. Il assiste avec son épouse à des auditions musicales chez M. Callamand, le [Ved 2]. Il meurt à Marseille le à l'âge de 68 ans[Nec 1],[1], vraisemblablement d'un cancer abdominal.

Marie Garcin en costume de scène vers 1880

Le journaliste Louviès parle[ADM 1] d'une « Madame Ismaël » chanteuse dès  : c'est sans doute à tort. Ismaël s’est marié deux fois, une première fois avec Alceste-Anastasie-Hortense Cœuriot, pensionnaire comme lui du Grand-Théâtre de Lyon quand il y arrive à l'été 1851. Mais le couple ne se marie que le à La Guillotière, une commune aujourd’hui intégrée à Lyon[11]. Dès lors, Alceste apparaît sous le nom d'artiste d’Ismaël. Ils jouent ensemble sur scène au moins jusqu'en 1856[N 8],[AMe 2], mais le mariage est très malheureux dès 1854. Alceste — que l'on appelle souvent « Anaïs » — demande donc et obtient la séparation de corps[N 18] en 1860, aux torts d'Ismaël[N 19].

Des années plus tard, Jean-Vital demande en 1884 le divorce[N 20], qui est prononcé le . Le suivant, il épouse Rose-Françoise-Marie Garcin, une jeune chanteuse, fille de commerçants marseillais, qui était son élève depuis au moins 1877. En 1886, Alceste et Marie se retrouvent sur la scène du théâtre du Capitole de Toulouse dans Faust (Alceste jouant Marthe et Marie dans le rôle de Marguerite), sous le même nom : Ismaël[Hey 1]. Il s’ensuit un procès, à l’issue duquel Alceste garde le droit d’utiliser le nom de scène d’Ismaël[Tps 3],[Tps 4],[12].

Selon Étienne Destranges[ThN 2], Marie Ismaël-Garcin avait été une chanteuse très prometteuse (elle avait eu en particulier un grand succès à Nantes comme Dinorah dans Le Pardon de Ploërmel de Meyerbeer) mais à la fin des années 1880, sa voix était déjà sur le déclin.

Ismaël n'a aucune descendance connue. Marie Garcin, qui ne s'est jamais remariée, a adopté une de ses filleules beaucoup plus tard, en 1925. Elle a vécu dans sa villa jusqu'à sa mort en 1946. Elle est inhumée avec son mari dans le caveau familial au cimetière Saint-Pierre de Marseille[N 21].

Vie sociale

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Photo dédicacée de Gounod jointe à la partition de Mireille (1864)

Parti de rien, Jean-Vital Jammes est parvenu à une importante notoriété[N 22] et une grande aisance matérielle par son travail et son talent.

Les quotidiens nationaux de l'époque (Le Figaro, Le Gaulois, Le Journal des débats, La Presse, Le Temps, etc.) parlent de lui plusieurs fois par mois entre 1860 et 1880[N 23]. Outre les évènements de sa carrière (pièces représentées, contrats avec les théâtres), ces journaux relaient nombre d'aspects de sa vie sociale et privée. Par exemple, ils se font l'écho de sa présence au mariage d'Alphonse Daudet[Fig 2], ou de sa participation avec ses élèves aux élections de la rosière d'Enghien[Fig 3],[Fig 4].

Ismaël vient régulièrement en aide à ses camarades artistes. Par exemple, il chante en 1873 au « bénéfice » de Fleury, du théâtre de Cluny[Tps 5] et organise celui de Virginie Déjazet en 1874[Gal 1], ou contribue financièrement à une collecte en faveur d'Adolphe Sax[Fig 5].

On apprend qu'il est un habitué des villégiatures à Cauterets[Fig 6],[Gal 2], Enghien[Pjl 1], ou Yport[Gal 3], et qu'il est « sportif », puisqu'il pratique l'escrime et est un bon joueur de bilboquet[Fig 7]. Homme vigoureux[Gal 4], il a la réputation d’avoir de bonnes réparties[Gal 5]. On a également des échos de sa vie amoureuse : il aurait eu un fils dans le courant des années 1860[Fig 8],[Fig 9], et certaines de ses aventures défrayaient la chronique des tribunaux[JDé 1],[JDé 2].

Dans un autre domaine, on dispose de quelques éléments de sa rémunération tout au long de sa carrière. Selon La Gironde[N 3], il débute en 1844 avec une rémunération de cent vingt francs par mois (1 440 francs par an[N 24]), somme déjà importante pour l'époque. Dans la tournée d'été de deux mois en 1872, L'Ombre rapporte 48 000 francs (180 000 €) à partager entre les quatre artistes[N 11].

En fin de carrière, Ismaël signe des contrats pluriannuels avec des forfaits de 20 000 francs (75 000 €) par an[Fig 7]. Son prestigieux poste de professeur au Conservatoire est en comparaison très mal payé : 1 200 francs par an[N 25]. Tout cela est à remettre dans le contexte économique et social de l'époque : inflation nulle, ni retraite, ni sécurité sociale[N 26] ni impôt sur le revenu, et niveau de vie général beaucoup plus bas que dans la France de 2010. Pour avoir une vision plus réaliste, il faut donc rapprocher ces sommes du traitement d’un instituteur - il varie de 600 à 900 francs (2 200 à 3 400 €) par an entre 1850 et 1875[13] -, et de la solde d’un colonel d’infanterie - de 5 000 à 8 000 francs (19 000 à 30 000 ) par an entre 1840 et 1880[14].

Il était d'usage à l'époque de faire des cadeaux aux artistes. Certains de ceux d'Ismaël ont été conservés, tels cette coupe en vermeil et cristal[IC 5] offerte par Lafeuillade et Tronchet[N 27], le pour la création de Charles dans Ernani, et ce service à hors-d'œuvre de huit pièces en argent[IC 6], offert en 1875 par le marquis de Rougé[N 28]. On notera aussi ce plat en porcelaine à son effigie[IC 7] offert et peint, dit-on, par une élève particulièrement admirative[JDé 1]. De même, les compositeurs dédicaçaient volontiers les partitions à leurs interprètes, tel Charles Gounod pour Mireille en . Enfin, les artistes de l’époque s’échangent volontiers des photographies dédicacées. Ismaël en a reçu par exemple de ses camarades, Juliette Borghèse, Irène Lambert, Amélie Rey-Balla, le ténor Montaubry, mais aussi d’artistes avec qui il semble n’avoir jamais joué, comme Adelina Patti ou encore le peintre T. Mayan[IC 8]. D’autres photos dédicacées d’artistes non encore identifiés sont aussi parvenues jusqu’à nous[IC 9].

Il est enfin très probable qu’Ismaël, comme de nombreux musiciens, ait été franc-maçon. En effet, les « trois points » figurent sur sa signature de 1862. Il possédait par ailleurs une épée de loge, reproduite ci-dessous, mais surtout, il existe une photo donnée à Ismaël par un autre artiste, Forest, dont la dédicace est clairement maçonnique[N 29].

Enseignement

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Une brève de Paul Ferry dans La Comédie, à propos de la basse Comte, indique qu’Ismaël avait entrepris l’enseignement du chant dès la fin des années 1860[Com 4]. Ensuite, à partir de sa nomination comme professeur au Conservatoire de Paris, Jean-Vital Jammes n'abandonna jamais l'enseignement de son art, qu'il pratiqua à Marseille plus tard, en cours particuliers. Parmi ses élèves, outre Marie Garcin (son épouse), on compte Mlle Larochelle (devenue Mme Gally-Larochelle), Mlle Alphonsine Richard (de l'Opéra)[Apb 1], Mlle Vergin et MM. Amphoux, Callamand, Couturier, Delvoye, Gaidan, Gally, Manoury[15] et Verguet.

Pour la classe d'Ismaël au Conservatoire, en 1874, à la séance du , MM. Couturier, Dieu, Gally, Manoury, Vergnet[Men 1] reçoivent une récompense. D'autre part, Le Gaulois parle de Mlle Bode en 1875 (hors Conservatoire)[Gal 6]. En , sur huit candidats (quatre hommes et quatre femmes) présentés aux examens du Conservatoire, quatre (Couturier, Gally, Queulain et Mlle Vergin) sont primés[Fig 10]. En 1876, c’est au tour de MM. Demasy, Fürst, Queulain, Mlles Baron, Puisais, Richard[Men 2].

D'après Adolphe Bitard[10], treize de ses quatorze élèves du Conservatoire avaient tenté de protester contre sa révocation début 1877. En , à l'église Notre-Dame de Pontoise, six élèves ou anciens élèves d’Ismaël chantent une messe pour la Première communion de son fils : Mme P…, Mlle Garcin, MM. Comte, Eymard, Giraud et Gally[Fig 9]. A. de Saint Albin, dans Le Figaro, parle en 1879 de Mlle Lucie Bloch[Fig 11]. D'autre part, Jules Huret et Arnold Mortier[SoP 2] citent Max Bouvet de l'Opéra-Comique en 1882. En 1893, Marseille-artiste publie une biographie du baryton Herman Devriès[16], autre élève d'Ismaël. Enfin, Jules Martin cite également Francine Labanque, dite Mlle Decroza[Apb 2].

Style vocal et esthétique

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Portrait de Jean-Vital Jammes jeune (huile sur toile endommagée, date inconnue)

On ne dispose pas d'enregistrements de la voix de Jammes (bien qu'il soit mort quelques années après l'invention de l'enregistrement sonore), ni de photographies sur scène. Sa première photo posée connue est le portrait d'Étienne Carjat ci-contre (début des années 1860)[N 30]. On peut toutefois se faire une idée de sa voix à partir des nombreux témoignages et critiques de ses contemporains, souvent très détaillés. Selon les multiples biographies et nécrologies parues dans les journaux français, il était à la fois un « comédien inspiré » - excellant dans les rôles de caractère - et un chanteur « à la voix puissante et agile », « un peu cuivrée ». Il travaillait énormément ses rôles, de façon à leur apporter une empreinte originale quand il s'agissait de reprises[Fig 12],[Nec 4],[Nec 7],[Nec 8],[Nec 9]. Selon Adolphe Bitard enfin[10], « [il] fit preuve, dès le début, de grandes qualités de chanteur et de comédien ; il avait une voix sympathique, joignant à un grand sentiment pathétique la mesure convenable de verve comique. »

Photo d'Ismaël en Rigoletto (Portrait d'Étienne Carjat, vers 1865)

Parmi les critiques plus développées, Jacques Ismardon note à propos de Bruxelles en 1861[MoB 2] :

« En effet, Ismaël était en proie au « trac » le plus épouvantable, en dépit de ses succès antérieurs – malgré ses qualités si rares, si variées et son extraordinaire souplesse ; qui firent de lui l’un des plus remarquables artistes de son époque, un chanteur capable de faire valoir, à un égal degré, les beautés du drame lyrique et les spirituelles finesses de l’opéra-comique. »

En 1863, Jules-Auguste écrit dans un article de La Comédie sur le Théâtre Lyrique[Com 5] :

« M. Ismaël est un baryton complet. Son talent consommé de musicien et de comédien se révèle dans chacun des personnages qu’il est chargé d‘interpréter ; sa voix mâle est énergique et parfaitement accentuée ; il sait la gouverner ; autrement dit, il chante avec âme, avec ampleur, avec méthode, et phrase merveilleusement. J’ajouterai que peu de chanteurs possèdent une prononciation si nette, si distinguée. Les paroles arrivent à l’oreille du public non seulement avec toutes les syllabes, mais aussi portant avec elles leur véritable sens affectif. Ismaël est le lien de notre troupe lyrique. Toutes ces qualités lui assurent une brillante position à Paris. M. Villefroy est la doublure d’Ismaël, mais une doublure bien légère. M. Villefroy est à Ismaël ce que la lune est au soleil, la nuit au jour. »

Enfin, plusieurs années plus tard, en 1876, Ch. de Senneville dira dans La Comédie[Com 6] :

« … un artiste de tempérament, possédant au même degré la conviction réelle et le sentiment dramatique. Chanteur et comédien consommé, diction chaude et pénétrante, son organe est sonore, métallique et nerveux. Le timbre de sa voix, pénètre doucement au fond de l’âme et réjouit intérieurement, on reconnaît en lui une éducation musicale très-sérieuse, servie par un talent réel, plein de force et d’énergie ; sa vocalisation qui rayonne sans efforts a parfois la suavité d’une chanteuse légère. … Je me souviens encore de sa remarquable création de Rigoletto … Quels applaudissements frénétiques ! quels vivats ! quel délire surtout, à ce quatrième acte de la folie, qui restera comme l’une des plus belles créations d’Ismaël. L’artiste sut donner à ce rôle écrasant un tel relief, une telle puissance qu’il, contrebalança, en quelque sorte, le triomphe du compositeur. Il y fut idéalement beau[N 31]. »

Au cours de sa longue carrière, Ismaël a créé de multiples opéras et opérettes. Son rôle le plus célèbre est cependant la reprise de Rigoletto. Le critique musical Adolphe Jullien en parle encore dans Le Journal des débats en 1921[JDé 3]. En 2014 encore, il arrive parfois qu'un conférencier érudit évoque les mânes d'Ismaël[17].

Caricature d'Ismaël dans Le Trombinoscope (1875)

Saint-Étienne (1845)

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Amiens (1846-1847)

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Orléans (1847)

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Grand-Théâtre de Bordeaux (1848-1850 / 1853-1854)

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Perpignan (1851)

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  • Michel dans Le Caïd d’Ambroise Thomas, [N 32],[ADM 5].

Béziers (1851)

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  • Concert, Signal d’orage de Henrion, Compositor Italiano de Clapisson, [N 33],[ADM 1].

Succès en province

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Grand-Théâtre de Lyon (1851-1853 / 1860-1861)

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Grand-Théâtre de Marseille (1854-1860 / 1868-1869 / 1882)

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Caricature d'Ismaël en Macbeth (1865)

Ismaël chanta à Marseille pour la première fois en 1854. Le Grand-Théâtre (ou salle Beauveau) était alors sous la seconde direction Provini. Il y resta pendant six saisons consécutives dans les œuvres suivantes[N 37] :

Aix-en-Provence (1855-1856)

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  • Lucie de Lammermoor de Gaetano Donizetti,  ;
  • Si j’étais roi d’Adolphe Adam, fin 1855-début 1856.

Sources : Fortuné[19], op. cit., sauf précision contraire.

Théâtre de la Monnaie, Bruxelles (1861-1862)

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  • Le Trouvère de Giuseppe Verdi ;
  • Le Barbier de Séville de Gioacchino Rossini ;
  • Guillaume Tell de Gioacchino Rossini ;
  • Faust de Charles Gounod ;
  • Maître Claude de Jules Cohen, [N 41],[Men 5].

Sources : Ismardon, op. cit.[MoB 3], sauf précision contraire.

Théâtre des Arts de Rouen (1862-1863)

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Caricature d'Ismaël en Guillaume Tell par Émile Durandeau (date inconnue)

Sources : Le Journal de Rouen, [Nec 10], sauf précision contraire.

Grand-Théâtre du Havre (1862 / 1866)

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  • Les Dragons de Villars de Louis-Aimé Maillart,  ;
  • premier acte du Barbier de Séville de Gioacchino Rossini suivi du Maître de chapelle de Ferdinando Paër,  ;
  • Rigoletto de Giuseppe Verdi,  ;
  • Guillaume Tell de Gioacchino Rossini, .

Sources : Le Courrier du Havre, , sauf précision contraire

Théâtre-Lyrique (1863-1867)

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Sources : Casaglia[7], op. cit., sauf précision contraire.

Opéra-Comique (1871-1876)

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Huile sur bois satirique de Dauphin dédicacée à Ismaël. Dans le poulailler « Opéra-Comique », le coq Ismaël chante Midi, Minuit de L'Ombre, v. 1871-1876.

Sources : Casaglia[7], op. cit., sauf précision contraire.

Théâtre de la Renaissance (1877-1880)

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Sources : Casaglia[7], op. cit., sauf précision contraire.

Fin de carrière et villes d'eaux

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Théâtre du Casino de Monte-Carlo (1879)

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Sources : Casaglia[7], op. cit., sauf précision contraire.

Cauterets (1882 / 1886)

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  • Pompéry dans Le Voyage en Chine de François Bazin, août 1882[Hey 2] ;
  • Concert de charité, Le rat de ville et le rat des champs, Grand hôtel d'Angleterre, [IC 4].

Grand Casino d’Aix les Bains (1884)

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  • L’Ombre de Friedrich von Flotow, Grand Casino, Villa des Fleurs, janvier 1884[EuA 2].

Documents et iconographie

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Il existe très peu de textes connus de Jean-Vital Jammes. Le plus important est la justification de 16 pages qu'il a publiée en mars 1877 après son éviction du Conservatoire[IC 2].
Parmi les textes brefs, on dénombre en  :

  • un petit échange de courriers de 1862 avec un certain Adolphe (sans doute avocat ou notaire)[IC 10]. La signature illustrant l'article provient de ce courrier,
  • sa lettre au Figaro de 1880[N 14],
  • une carte de visite manuscrite adressée à Arnold Mortier et conservée à la BNF[22],
  • son très bref testament olographe, conservé aux Archives départementales des Bouches-du-Rhône[23] dans lequel il institue son épouse Marie Garcin légataire universelle.
  1. Plusieurs sources, dont Vapereau 1870, p. 943, op. cit., [lire en ligne (page consultée le 6 janvier 2013)], disponible sur Google Livres, donnent les prénoms Jean-Vital-Ismaël.
  2. Selon Vapereau 1870, p. 943, op. cit., [lire en ligne (page consultée le 6 janvier 2013)], disponible sur Google Livres, ses parents étaient Juifs : « de parents Israélites », et il donne la date de naissance de 1827.
  3. a et b Selon « Causerie bordelaise », La Gironde, 18 juin 1893, visible sur Wikimedia Commons, il aurait débuté à Namur, « ... où il remplit à la fois l'emploi des troisièmes rôles, des barytons et des basses, le tout aux appointements de cent vingt francs par mois. »
  4. Position déjà relativement importante puisqu'il apparaît en second sur le tableau de troupe qui comporte 8 solistes hommes, 7 solistes femmes, 4 choristes et 30 musiciens.
  5. a et b Avec Marietta Alboni dans le rôle d’Odette.
  6. a b c et d Louis Gueymard était venu en représentation et jouait dans ces œuvres.
  7. Couronne d’or dédicacée : « Pour la 2e année de M. Ismaël, l’administration toujours juste. »
  8. a et b L’agence A. Lacroix et Belliard a engagé Ismaël et Alceste en représentation à Constantine en mai 1856.
  9. a et b « Ismaël avait à effacer d'excellents souvenirs (de Meillet et Sainte-Foy), et c'est double mérite à lui d'avoir réussi dans le rôle de Sganarelle. Il y est bon comédien... ». Gustave Bertrand, « Semaine théâtrale », Le Ménestrel, vol. 33e année, no 44,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  10. Guerre déclarée le 19 juillet 1870, après plusieurs jours de crise.
  11. a b et c Tournée d’été 1872 d’Ismaël (accompagné de Mme Galli-Marié, M. Lhérie, Mme Priola), avec l’Ombre. Selon le Journal de Lyon, reprenant le Sémaphore de Marseille, ils jouent le 1er juillet à Orléans, puis s’arrêtent au moins à : Agen, Angers, Angoulême, Avignon, Béziers, Bordeaux, Blois, Carcassonne, Cette (Sète), Dijon, Grenoble, Le Havre, Marseille (22 juillet), Montauban, Montpellier, Nantes, Nîmes, Rochefort, Poitiers, Saint Étienne, Tours, Toulouse, et sans doute Lyon. Recette de la tournée : 108 000 francs, dont 48 000 à partager entre les quatre artistes.
  12. Commentaire du docteur dans une publication scientifique, (Milliet 1854, p. 46, op. cit., [lire en ligne (page consultée le 11 janvier 2013)], lire en ligne sur Gallica) :

    « Vingt-unième observation. - M. Ismaël, baryton du Grand-Théâtre de Lyon, contracte une bronchite qui lui enlève complètement la voix. Le premier bain lui rendit tout le registre de basse, le deuxième les hautes notes, mais sans pouvoir recouvrer une seule note du médium. Le troisième bain lui rendit sa voix au complet. Deux jours après, il reparaissait sur scène. Ce malade appartenait à la clientèle du docteur Floret. »

  13. Il signera son testament : « Jean Vital Jammes dit Ismaël, ancien professeur au Conservatoire de Paris ».
  14. a et b Transcription littérale du courrier adressé à Jules Prével, Jules Prével, « Courrier des théâtres », Le Figaro, vol. 26e année, no 283,‎ (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica :

    « Marseille, 5 octobre 1880
    Mon cher Prével,
    Depuis le mois d’avril, on est venu maintes fois me proposer officiellement, et sans que je les eusse sollicitées, une classe de chant et celle de déclamation lyrique au Conservatoire de Marseille, avec le titre de directeur général du chant audit Conservatoire.
    Les conditions que j’avais imposées n’ont pas été acceptées … probablement, dirait Calino. C’est ce qui fait que je me contente de mon petit cours, à moi, qui suffit largement à mon amour-propre de professeur.
    Merci, mon cher ami, pour la place que vous voudrez bien accorder à ma lettre dans vos colonnes.
    Un bon souvenir de reconnaissance au Figaro, et à vous une longue poignée de mains de votre
    ISMAËL

    Villa-Ismaël (Roucas Blanc). »

  15. Visible aux Archives nationales (cote AJ 37/70-2), il montre un échange de lettres entre la mairie de Marseille et les services du ministère. Les réponses du ministère semblent dissuader la mairie.
  16. Cette villa existe toujours en 2012, dans le quartier du Roucas-Blanc, sur la traverse Ismaël (nommée en son honneur). Un escalier public, l'escalier du Prophète, mène de la traverse à la plage du Prophète. Dans son article « Les plages de Marseille, des Catalans jusqu'à la Pointe-Rouge », le journal La Provence du 25 juillet 2004 évoque une légende locale selon laquelle l'escalier et la plage doivent leur nom à l'opéra Le Prophète (opéra) de Meyerbeer, qu’Ismaël aurait souvent répété sur cette plage.
  17. La Tzigane adapte sur un livret français original les musiques de Die Fledermaus et Cagliostro in Wien.
  18. D'après les documents juridiques disponibles (séparation de corps et divorce)
  19. D’après les termes de la demande de séparation de corps formulée par Alceste auprès du Tribunal d’Instance de Marseille le 23 mai 1860 (conservée aux Archives départementales des Bouches du Rhône, cote 409 U 212), Ismaël la bat depuis au moins 1854, et la contraint à s’engager où il le veut et aux conditions qu’il stipule. Ces faits étant juridiquement établis, la séparation de corps est prononcée par le même tribunal le 21 août 1860, aux torts d’Ismaël (jugement conservé aux Archives départementales des Bouches du Rhône).
  20. Le divorce n'est redevenu légal en France qu'en 1884. Le jugement de divorce proprement dit, rendu par le Tribunal d'Instance de Marseille, est conservé aux Archives départementales des Bouches du Rhône.
  21. Carré 17 Est - 4e rang, no 28 - Concession no 3479.
  22. On peut se faire une idée de cette notoriété par exemple par sa nécrologie dans le New York Times, alors qu’il n’est jamais allé aux États-Unis. De même, Le Courrier du Havre, juin 1893, visible sur Wikimedia Commons, raconte avec force détails les quelques soirées qu'Ismaël a passées au Havre trente ans plus tôt.
  23. Chacun de ces journaux est aujourd'hui lire en ligne sur Gallica et interrogeable en mode texte. Par un hasard favorable à la recherche, « Ismaël » est un vocable très peu courant. Des interrogations sur ce mot-clé permettent donc facilement de se rendre compte de la fréquence de citation de l'artiste. La section « notes et références » ne reprend d'ailleurs que les plus significatives parmi ces citations souvent redondantes.
  24. 1 franc-or de l'époque vaut environ 3,75  de 2012, en ne tenant compte que de l’inflation selon « France-inflation, Calculateur d’inflation » (consulté le ), mais les niveaux de vie sont très différents.
  25. Selon son arrêté ministériel de nomination, Archives nationales, cote AJ 37/70-2.
  26. Sauf dans des cas très particuliers, comme dans le domaine artistique, la retraite des sociétaires de la Comédie-Française, organisée par le « décret de Moscou » ou les retraites et secours versés par des mutuelles organisées à partir d'initiatives privées, comme l'Association des artistes dramatiques.
  27. Les deux directeurs du Grand-Théâtre de Marseille (5 septembre 1855-30 avril 1858).
  28. Il s'agit sans doute d'Henri-Marie Bonabes Victurnien de Rougé (1842-1914). Voir la page Famille de Rougé.
  29. Il s’agit évidemment de sources « primaires », mais dans ce domaine, les sources « secondaires » ou « tertiaires » sont peu courantes. En outre, la dédicace de la photo emploie une formule peu sujette à interprétation.
  30. La technique de prise de vues se répand à partir de 1855, mais les photos restent posées et très statiques : ceci exclut les photographies au cours d'une représentation.
  31. L'orthographe d'origine est scrupuleusement respectée.
  32. Le Caïd, [lire en ligne (page consultée le 10 janvier 2013)], opéra bouffe en deux actes d’Ambroise Thomas, livret de Thomas Sauvage, disponible sur You scribe.
  33. Concert donné pendant la fermeture du théâtre de Béziers.
  34. Il joue en compagnie d’Alceste Cœuriot.
  35. Avec son épouse Alceste Cœuriot.
  36. La participation d'Ismaël à cette représentation est douteuse malgré la référence, cette œuvre ne comportant pas de rôle pour baryton.
  37. Les dates correspondent à la première représentation de l'œuvre par Ismaël au Grand-Théâtre de Marseille.
  38. Alceste Cœuriot jouait Nathalie.
  39. Léonore de Médicis, opéra en 4 actes et 5 tableaux de Salvatore Agnelli.
  40. Le Jugement de Dieu, [lire en ligne (page consultée le 10 janvier 2013)], opéra en 4 actes d’Auguste Morel, livret d’Adolphe Carcassonne, E. Gérard et Cie, Paris, disponible sur University of Toronto, Robarts Library.
  41. Maître Claude, [lire en ligne (page consultée le 10 janvier 2013)], opéra-comique en un acte de Jules Cohen, livret de Saint-Georges et de Leuven, Gambogi frères, Paris, disponible sur You Scribe.
  42. Adaptation française très libre de l’opéra de Balfe.
  43. Soirée d'adieux d'Ismaël au public rouennais.
  44. Célestine Galli-Marié était aussi dans la distribution.
  45. Casaglia, op. cit., place par erreur cette première salle Ventadour au Théâtre-Italien.
  46. La salle Beethoven est située passage de l’Opéra, à Paris.
  47. Avec Mlle Reine.
  48. Gille et Gillotin, [lire en ligne (page consultée le 10 janvier 2013)], opéra-comique en un acte d’Ambroise Thomas, livret de T. Sauvage, disponible sur You scribe, distribution à la création : Roquentin : M. Thierry ; Rosaure : Mlle Reine ; Brisacier : M. Neveu ; Gille : Ismaël ; Gillotin : Mlle Ducasse ; Jacquette : Mlle Nadaud.
  49. L'Amour africain, [lire en ligne (page consultée le 10 janvier 2013)], opéra-comique en deux actes d'Émile Paladilhe, livret d'Ernest Legouvé, disponible sur You Scribe. Distribution de la première : Margarita et Moïana : Mme Dalti ; la comtesse : Mme Ducasse ; Paul et Nouman : M. Nicot ; Raymond et Zeïn : M. Melchissédec ; le comte et Mustapha : M. Ismaël.
  50. Le voyage en Chine, [lire en ligne (page consultée le 10 janvier 2013)], opéra-comique en trois actes de François Emmanuel Joseph Bazin, livret d'Eugène Labiche, disponible sur University of Toronto, Robarts Library.

Iconographie Wikimedia Commons

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Sur les autres projets Wikimedia :

Références

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Presse quotidienne nationale

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  1. Jules Prével, « Courrier des théâtres », Le Figaro, vol. 25e année, no 88,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. Georges Maillard, « Hier, aujourd’hui, demain », Le Figaro, vol. 14e année, no 77,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  3. Jules Prével, « Courrier des théâtres », Le Figaro, vol. 21e année, no 177,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  4. Gaston « Intérim », « Informations », Le Figaro, vol. 22e année, no 176,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  5. Alfred d’Aunay, « Adolphe Sax », Le Figaro, vol. 21e année, no 201,‎ , p. 1 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  6. Jules Prével, « Courrier des théâtres », Le Figaro, vol. 23e année, no 194,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  7. a et b Jules Prével, « Théâtre de l’Opéra-comique, Les artistes, Ismaël », Le Figaro, vol. 22e année, no 17,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  8. X… et Cie, « De huit heures à minuit, Le théâtre », Le Figaro, vol. 19e année, no 339,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  9. a et b Jean Paris (de), « Nouvelles diverses », Le Figaro, vol. 23e année, no 173,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  10. Jules Prével, « Courrier des théâtres », Le Figaro, vol. 22e année, no 209,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  11. A. Saint-Albin (de), « 4e concert de Monte-Carlo », Le Figaro, vol. 25e année, no 46,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  12. Georges Boyer, « Courrier des théâtres », Le Figaro, vol. 39e année, no 166,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  1. « Bénéfice de Déjazet », Le Gaulois, vol. 7e année, no 2163,‎ , p. 1 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. Bravo, « La Soirée parisienne : « Les Buveuses d’eau » », Le Gaulois, vol. 3e année, no 679,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  3. Albert Wolff, « Gazette d’Étretat », Le Gaulois, vol. 7e année, no 2110,‎ , p. 1 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  4. Un domino, « Échos de Paris », Le Gaulois, vol. 7e année, no 2220,‎ , p. 1 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  5. Y, Z et Cie, « Portraits à la plume : M. de Saint-Georges », Le Gaulois, vol. 7e année, no 2228,‎ (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  6. François Oswald, « Bruits de coulisses », Le Gaulois, vol. 8e année, no 2313,‎ , p. 5 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Le Journal des débats
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  1. a et b « Bulletin judiciaire : M. et Mme J. Pascalet, séparation », Le Journal des débats,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. « Bulletin judiciaire : Le procès en séparation de corps de M. et Mme Pascalet », Le Journal des débats,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  3. Adolphe Jullien, « Revue musicale », Le Journal des débats, vol. 133e année, no 120,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Le Petit Journal
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  1. « Paris », Le Petit journal, no 546,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. Timothée Trimm, « La légende de Cardillac », Le Petit Journal, no 1769,‎ , p. 1 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  1. « Nouvelles des départements », Le Temps, vol. 10e année, no 3418,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. « Faits divers », Le Temps, vol. 11e année, no 3864,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  3. « Spectacles et concerts », Le Temps, vol. 26e année, no 9134,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  4. « Tribunaux, Les Ismaël », Le Temps, vol. 26e année, no 9155,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  5. « Spectacles et concerts », Le Temps, vol. 13e année, no 4282,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Presse régionale

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Journal de Lyon
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  1. « Chronique », Le Journal de Lyon,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Presse spécialisée

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L'Agent dramatique du midi
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  1. a et b Louviès, « Correspondance théâtrale, Béziers, 5 mai », L’Agent dramatique du Midi, vol. 12e année, no 19,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. « Revue des théâtres, Bordeaux », L’Agent dramatique du Midi, vol. 9e année, no 42,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  3. Robert, « Correspondance théâtrale, Bordeaux, 19 novembre, Grand Théâtre », L’Agent dramatique du Midi, vol. 9e année, no 47,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  4. « Revue des théâtres, Bordeaux », L’Agent dramatique du Midi, vol. 9e année, no 52,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  5. Saignes, « Correspondance théâtrale, Perpignan, 12 février », L’Agent dramatique du Midi, vol. 12e année, no 8,‎ , p. 2, lire en ligne sur Gallica.
L'Argus et le Vert-vert réunis
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  1. a b c et d Francis Linossier, « Grand-Théâtre », L’Argus et le Vert-vert réunis, vol. 5e année,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. « Caquetage du Vert-vert », L’Argus et le Vert-vert réunis, vol. 5e année,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  3. « Grand-Théâtre », L’Argus et le Vert-vert réunis, vol. 5e année,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  4. Francis Linossier, « Grand-Théâtre », L’Argus et le Vert-vert réunis, vol. 5e année,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
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  6. Ernest de C…, « Critique dramatique, Grand-Théâtre », L’Argus et le Vert-vert réunis, vol. 13e année, no 643,‎ , p. 1 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
L'Artiste méridional
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La Comédie
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  5. « Mémento », La Comédie, no 8,‎ , p. 5 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
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L'Entracte lyonnais
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  1. a et b F. Boily, « Revue des théâtres, Grand Théâtre », L’Entracte lyonnais, vol. 26e année, no 1 230,‎ , p. 1 (lire en ligne), disponible à la Bibliothèque municipale de Lyon.
  2. a et b Maxime, « Revue des Théâtres, Grand Théâtre », L’Entracte lyonnais, vol. 25e année, no 1 183,‎ , p. 1 (lire en ligne), disponible à la Bibliothèque municipale de Lyon.
  3. Ch. Maury, « Revue des Théâtres, Grand Théâtre », L’Entracte lyonnais, vol. 26e année, no 1 204,‎ , p. 1-2 (lire en ligne), disponible à la Bibliothèque municipale de Lyon.
  4. Ch. Maury, « Revue des Théâtres, Grand Théâtre », L’Entracte lyonnais, vol. 26e année, no 1 208,‎ , p. 1 (lire en ligne), disponible à la Bibliothèque municipale de Lyon.
L'Europe artiste
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  2. Monmé, « Province, Aix les Bains, Grand Casino, Villa des Fleurs », L’Europe artiste, vol. 32e année, no 1,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
L'Éventail, écho des coulisses
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  11. A. R., « Semaine dramatique, Grand Théâtre », L’Éventail, no 12,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
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La France musicale
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  1. Marie Escudier, « Actualités », La France musicale, vol. 32e année, no 2,‎ , p. 14 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
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  3. Auguste Baussenque, « Correspondance de Marseille, débuts, Marseille, 3 novembre », La France musicale, vol. 32e année, no 46,‎ , p. 360 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
La France théâtrale
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  1. E. M., « Théâtres des départements, Amiens », La France théâtrale, no 69,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. S., « Théâtres des départements, Amiens », La France théâtrale, no 77,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  3. L. H., « Théâtres des départements, Amiens », La France théâtrale, no 89,‎ , p. 2 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Gazette anecdotique, littéraire, artistique et bibliographique
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  2. Georges Heylli (d’), « La quinzaine : la chronique en voyage », Gazette anecdotique, vol. 7e année, tome 2, no 3,‎ , p. 66 (lire en ligne)disponible sur University of Toronto, Robarts Library.
Journal des théâtres
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  1. Alphonse Richez, « Tableaux de troupes, Namur », Journal des théâtres,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  2. Alphonse Richez, « Tableaux de troupes, Saint-Étienne », Journal des théâtres,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  3. Giampiétri, « Tableaux de troupes, Orléans », Journal des théâtres,‎ , p. 4 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  4. Giampiétri, « Théâtres de la province, Orléans », Journal des théâtres,‎ , p. 3 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
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Le Ménestrel
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Les Soirées parisiennes
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La Tribune dramatique
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Nécrologies

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Ouvrages spécialisés

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Dictionnaire des opéras
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Histoire de l’Opéra-Comique : La Seconde Salle Favart (1860-1887)
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Histoire du Grand-Théâtre de Marseille (31 octobre 1787-13 novembre 1919)
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Nos artistes, portraits et biographies
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  2. Martin 1895, p. 83, op. cit., [lire en ligne (page consultée le 3 janvier 2013)], disponible sur Open Library.
Le Théâtre à Nantes, depuis ses origines jusqu'à nos jours
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Le Théâtre de la Monnaie, depuis sa fondation jusqu'à nos jours
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Autres références

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Bibliographie et sources

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Périodiques

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Sites Internet

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Liens externes

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