Jacques de Tonnancour étudie à l'École des beaux-arts de Montréal à partir de 1937 mais, déçu par l'esthétique trop conservatrice des enseignants, il quitte l'institution au bout de trois ans. Admirateur de Goodridge Roberts et de Paul-Émile Borduas, il multiplie les relations amicales et les discussions théoriques avec les membres de l'avant-garde artistique de son temps.
En 1948, en collaboration avec Alfred Pellan, il écrit le manifeste Prisme d'yeux[3] qui s'opposera aux signataires du Refus global en arguant que l'art ne doit pas avoir des visées politiques.
↑Gilles Hénault, « Jacques de Tonnancour (1917-2005) : un sens aigu du vivant », Vie des arts, vol. 49, no 198, , p. 54–55 (ISSN0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
↑Michèle Tremblay-Gillon, « Jacques de Tonnancour et l’invisible dans le visible », Vie des arts, vol. 31, no 123, , p. 50–51 (ISSN0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )