Javron-les-Chapelles se situe dans l'unité paysagère des Alpes mancelles qui s'étend sur le nord-est du département. Le relief y est plus marqué que le reste du département, et les paysages s'y structurent en fonction: prairies humides en fond de vallée, bocages en coteau et massifs forestiers sur les hauteurs[4].
Le sol de la commune est constitué de schiste et de grès datant du Briovérien. Javron-les-Chapelles possède un relief encaissé, se trouvant au fond de la vallée de l'Aisne, coulant du sud au nord. Les altitudes les moins élevées suivent le cours d'eau en décroissant, passant de 153 mètres d'altitude au sud à 133 mètres au nord. L'altitude s'élève au fur et à mesure de l'éloignement de l'Aisne à l'est et à l'ouest, culminant à 251 à l'est et 206 mètres à l'ouest[2].
La commune est traversée par l'Aisne, coulant du sud au nord. Elle entre au sud de la commune à la limite du Ham, passe à l'ouest du bourg de Javron, puis à l'est du bourg des Chapelles où elle forme la limite avec la commune de Saint-Aignan-de-Couptrain. Elle sort ensuite au nord, formant la séparation entre les communes de Madré sur sa rive gauche et Neuilly-le-Vendin sur sa rive droite.
Le ruisseau des Vallées, qui naît sur les communes limitrophes de Saint-Cyr-en-Pail et Villepail, rejoint l'Aisne sur sa rive droite, au sud du bourg de Javron. Plusieurs autres ruisseaux naissent sur les flancs de la vallée pour rejoindre la rivière[2].
La nationale 12 traverse la commune et le bourg de Javron d'est en ouest, reliant Mayenne et Alençon. D'autres routes départementales la croisent dans le bourg de Javron, dont la D 13 entrant par le sud et rejointe par la D 218 qui entre au sud-est ainsi que les D 3 et D 218 qui entrent sur la commune respectivement au nord-est et au nord-ouest. La D 33 pénètre à l'ouest de la commune pour rejoindre la nationale et la D 242 traverse la commune d'est en ouest en passant par le bourg des Chapelles[2].
La commune de Javron-les-Chapelles est desservie par la ligne 13 du Réseau Pégase, faisant la liaison Mayenne ↔ Villaines-la-Juhel ↔ Saint-Pierre-des-Nids. L'arrêt se trouve au parking du stade de Javron[5]. Un service de transport à la demande est également disponible[6]. Le transport scolaire est géré par le département, 14 points de montée et de descente sont répartis sur la commune[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Deauville », sur la commune de Deauville à 5 384 km à vol d'oiseau[10], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Au , Javron-les-Chapelles est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].
Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].
Javron est mentionné sur des monnaies du IVe siècle en tant que Gavronnum[18]; puis vers 780 sous la forme de vicaria Gabronensis, puis Gabron vers 802[19][20]. Par la suite, au IXe siècle, condita Gabronensis ou vicaria Gabronensis (ou vicaria Gaviacensis); en 1046 Gabrona et Gabronensi pago [21],[22]. En 1973, Javron prend le nom de Javron-les-Chapelles par l'association de l'ancienne commune Les Chapelles.
L'étymologie du toponyme Javron proviendrait, selon Ernest Nègre[19], de l'anthroponymelatinCapronius. Cependant, aucune forme ancienne n'atteste de la présence d'un [ka] initial (noté Ca-), sans doute faut-il préférer l'explication d'Albert Dauzat et Charles Rostaing qui considèrent qu'il s'agit du nom de personne gauloisGabrus (autrement noté Gabros, basé sur le nom gaulois de la chèvre et du chevreuil)[23], dont il existe de nombreuses occurrences dans la toponymie française, suivi du suffixe de présence -o / -one[23].
Quant au toponyme Chapelle, fréquent en France, qui désigne une petite église isolée, il fait étymologiquement référence à la chape de saint Martin de Tours, cappa en latin. Le nom de la localité des Chapelles s'écrivait d'ailleurs Capella au XIVe siècle[23]
Les terres de Javron se situent sur le territoire de la tribu gauloise des Diablintes présents ici avant la conquête romaine.
Au IVe siècle, le « Defensor », premier magistrat de la cité des Cénomans, aurait fait don du village de Jublains (vicus Diablenticus), du village de Ceaucé (vicus Celsiacus) et enfin du village de Javron (vicus Gabronnus), qui étaient à l'époque les principaux lieux de peuplement, à l'évêque Saint Julien du Mans qui y aurait alors fondé une première église [24].
Une voie romaine, entre le bois de Martigné et l'est de la Roirie, passait au pied de la chapelle de "Jabron" [25].
La région du pagus du Mans correspondant au territoire de l'ancienne cité des Diablintes est donc découpée en trois circonscription : Condita Diablentica (Jublains), Condita Celciacensis (Ceaulcé), et Condita Gabronensis (Javron); ces trois condita deviennent par la suite des vicaria[26][27].
Entre 532 et 543, Saint Innocent, évêque du Mans, envoie de nombreux ermites pour prêcher le christianisme dans les campagnes, et plus particulièrement saint Constantien à Javron, qui y fonde un monastère [28][24]. En l'an 560, le roi Clotaire Ier, fils de Clovis, allant châtier la rébellion de Chramn, son fils bâtard qui s'était retiré en Bretagne, passe dans la région et rencontre saint Constantien et lui procure des dons pour développer son monastère [29].
Dans le quartier saint Martin autour de la mairie 48° 25′ 01″ N, 0° 20′ 11″ O, plusieurs sarcophages mérovingiens ont été retrouvés lors de travaux en 1878 [30].
En 802, Charlemagne confirme à l'église du Mans la possession du bourg de Javron; en 822, Louis-le-Pieux confirme les dîmes au clergé [24].
Au IXe siècle, Javron est le chef-lieu d'une condita qui inclut aussi Champéon[24].
Période du duché de Normandie et de l'Empire Plantagenêt (911-1204)
Durant les invasions vikings, le corps de saint Constantien est déplacé dans la cathédrale du Mans. En 1029, Avesgaud, évêque du Mans, fait don à son cousin le comte Gilduin de Ponthieu dit de Breteuil des reliques de saint Constantien qui sont alors transportées dans l'abbaye de Breteuil[28],[31],[32].
En 1046, est signé l'acte de fondation du prieuré de Javron initialement occupé par 3-4 moines de l’abbaye Saint-Julien de Tours. Cette fondation portée par Normand de Mayenne (Yves) est encouragée par l'évêque du Mans, le comte du Maine et aussi le seigneur châtelain Geoffroy II de Mayenne, peut-être pour contrebalancer l’influence grandissante de son vassal local. Cette fondation s'accompagne des dons de l’église Saint-Constantien de Javron ainsi que des droits sur les eaux et les moulins. À la suite de cette donation initiale, les moines cherchent très rapidement à obtenir les droits de l’église qui leur échappent encore; ils achètent alors à Adelelme/Adalelmus/Adelmus, fils de Béraud, sa part de l’église. L’approbation de Geoffroy de Mayenne est l’occasion d’obtenir de deux de ses hommes, Fromond et Adelelme, une terre d’une "charruée de 8 bœufs". Pour consolider ces acquisitions, alors qu’un certain Geoffroy fils de Garnier mécontent de ces transactions menace de mettre le feu à la "villa de Javron", l’abbé Richer se rend au Mans avec les moines de Javron Herbert et Garin pour solliciter du comte Hugues, qu’il confirme ces acquisitions, ce qu'il fait. D'autres donations ou achats sont effectuées jusqu'en 1051[33],[34],[35],[36],[37],[38].
Le comte du Maine, Hugues IV, confirme ces donations, et les moines procèdent alors trois églises (l'église de Saint-Constantien, l'église du Saint-Sauveur et l'église de Saint-Martin), un territoire d'environ 2 lieux autour du centre du village (ce qui correspond grossièrement aux limites actuelles de la commune), et ils possèdent également toutes les dîmes sur ce territoire ; ce qui constitue le fief presbytéral [39]. Au début du XIIe siècle, les revenus du prieurés sont suffisant pour engager de grands chantiers, dans les églises prieurales.
En 1490, des soldats de la compagnie de Guy de Champagne qui avaient fait la guerre de Bretagne, pillent le village.
En septembre 1508, épidémie de peste.
En 1616, pendant la période trouble de fin de régence de Marie de Médicis qui fait suite à l'assassinat d'Henri IV, surviennent de multiples pillages, par les brigand bretons menés par Princé, vient ensuite le capitaine Halenier, puis Haredard dit Courtignolles, et le capitaine Lérigny, et enfin le chevalier de Médavy[40].
Vers 1700, le doyenné de Javron se compose de 28 paroisses, 16 prieurés et 55 chapelles[41].
En 1777, la population s'élève alors à environ 1000 habitants de plus de 12 ans. La cure procure un revenu de 800 livres et le prieuré 1800 livres [42].
À la fin du conflit, la commune de Javron déplore le décès de 74 hommes, pour une population totale de 1 916 habitants au début de la guerre, ce qui représente 7,7 % de la population masculine, soit environ 23 % de la génération 20-40 ans[43].
La commune des Chapelles déplore le décès de 24 hommes, pour une population totale de 446 habitants au début de la guerre, ce qui représente 10,8 % de la population masculine, soit environ 32,3 % de la génération 20-40 ans[44].
Le , Javron (1 335 habitants en 1968) s'associe avec Les Chapelles (240 habitants)[45],[46] située au nord de son territoire. La commune issue de l'association prend le nom de Javron-les-Chapelles. L'association est transformée en fusion simple le [47].
D’azur, à une rencontre de chèvre d’or, chaussé vairé d’or et de gueules ; au chef cousu de gueules, à trois croisettes d’or.
Détails
Le gueules avec les trois croisettes d’or proviennent d’une partie du blason du prieuré de Javron. La reprise intégrale du blason seigneurial ou autre étant interdite pour les municipalités, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.
Ces croisettes permettent aussi de représenter la commune associée des Chapelles, car elles sont le symbole traditionnel pour ce genre de bâtiment.
La tête de chèvre traduit le nom de Javron qui signifie en gaulois le lieu où l’on élevait des chèvres.
Elle se trouve sur fond azur pour imager la rivière Aisne qui arrose le territoire mais aussi l’étang de Javron servant de base de loisirs.
Le vairé provient du blason de la famille Anthenaise qui a possédé le château de Villeray. La remarque concernant la reprise des armes de famille est valable ici aussi.
Les ornements sont deux deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’azur afin d’honorer l’activité agricole.
Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.
La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[53]. L'un des conseillers est maire délégué de la commune associée des Chapelles.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].
En 2021, la commune comptait 1 371 habitants[Note 2], en évolution de −2,28 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Javron a compté jusqu'à 2 734 habitants en 1846. C'est en cette même année que la commune des Chapelles a atteint son maximum démographique avec 990 habitants.
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,0 % la même année, alors qu'il est de 28,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 668 hommes pour 698 femmes, soit un taux de 51,1 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,71 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[57]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
2,1
90 ou +
6,4
12,7
75-89 ans
16,8
22,8
60-74 ans
23,1
24,1
45-59 ans
21,9
11,7
30-44 ans
10,5
13,9
15-29 ans
10,5
12,7
0-14 ans
10,9
Pyramide des âges du département de la Mayenne en 2021 en pourcentage[58]
Sur la commune de Javron les Chapelles sont présents : un médecin généraliste, une pharmacie, un cabinet infirmier, un dentiste, un service de soins à domicile (SSIAD) un EHPAD, un service ADMR. Un kinésithérapeute fait une permanence plusieurs fois par semaine. Une entreprise de taxis ambulances et la compagnie des sapeurs pompiers viennent compléter ces services de santé. Les hopitaux de Villaines-la-Juhel, à 10 km, Mayenne, à 25 km, et Alençon, 35 km, sont facilement accessibles.
En 2011, selon l'Insee, Javron-les-Chapelle hébergeait 69 entreprises dont onze dans l’industrie, sept dans la construction, quarante-cinq dans le commerce, le transport et les services divers et six dans l'administration publique, l'enseignement, la santé et l'action sociale. Les entreprises et établissement emploient en 2009 un total de 662 personnes[60].
Toutes exploitations confondues, 74 exploitations agricoles se trouvent sur le territoire de la commune en 2000, contre 141 en 1988. La superficie des exploitations à fortement diminué, passant de 3 606 hectares en 1988 à 3 132 en 2000. Dans cette surface, 1 546 hectares sont constitués de terres labourables, dont 711 à destination de la culture céréalière. La surface agricole utile moyenne d'une exploitation est de 42 hectares en 2000, en augmentation de 16 hectares par rapport à 1988[60].
En 2000, 55 exploitations élevaient des bovins (97 en 1988) et 34 des volailles (97 en 1988). Le nombre de têtes est passé de 6 000 à 5 141 pour les bovins, et de 17 719 à 57 428 pour les volailles durant cette période[60].
La commune possède au total sept appellations sur le territoire[61] :
André Le Personnic, instituteur aux Chapelles. Sans appartenance politique, à l'origine du mouvement de résistance intérieureFront national en Mayenne; puis responsable départemental des FTPF; enfin inspecteur départemental de la Jeunesse et des Sports de la Manche.
D’azur, à une rencontre de chèvre d’or, chaussé vairé d’or et de gueules ; au chef cousu de gueules, à trois croisettes d’or.
Détails
Créé par Jean-Claude Molinier, héraldiste amateur, et adopté par la municipalité en mars 1999:
Le gueules avec les trois croisettes d’or proviennent d’une partie du blason du prieuré de Javron. La reprise intégrale du blason seigneurial ou autre étant interdite pour les municipalités, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.
Ces croisettes permettent aussi de représenter la commune associée des Chapelles, car elles sont le symbole traditionnel pour ce genre de bâtiment.
La tête de chèvre traduit le nom de Javron qui signifie en gaulois le lieu où l’on élevait des chèvres.
Elle se trouve sur fond azur pour imager la rivière Aisne qui arrose le territoire mais aussi l’étang de Javron servant de base de loisirs.
Le vairé provient du blason de la famille Anthenaise qui a possédé le château de Villeray. La remarque concernant la reprise des armes de famille est valable ici aussi.
Les ornements sont deux deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’azur afin d’honorer l’activité agricole.
Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.
La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
André René Le Paige, Dictionnaire topographique, historique, généalogique et bibliographique de la province et du diocèse du Maine, t. I et II, , p. 157-158, 376-378 et 33.
Sebastien Legros, Moines et seigneurs dans le Bas-Maine-Les prieurés bénédictins du Xe au XIIIe siècle, Presses universitaires de Rennes, , « X.Les prieurés et les réformes monastique et grégorienne vers 1050-1120 », p. 199-263.
Daniel Pichot, L’espace des paroissiens Construction du territoire paroissial dans le Bas-Maine, Université de Rennes 2-CERHIO-UMR 6258, (lire en ligne), p. 62,65,70-71.
Daniel Pichot et abbé Poussier, Confirmation de la donation des églises de Javron faite au XIe siècle par le comte du Maine à l’abbaye St-Julien de Tours, t. 20, La Mayenne, Archéologie, Histoire (MAH), , p. 3-12
Daniel Pichot, Les pouvoirs locaux dans la France du centre et de l’ouest (VIIIe-XIe siècles), Presses universitaires de Rennes, (lire en ligne), « Villa, village, paroisse et seigneurie sur les confins du Maine et de la Bretagne (VIIIe-XIIe siècles) », p. 33
Revue historique et archéologique du Maine, t. XII, , p. 122,126,127,132.
Bulletin de la Société d'archéologie de la Mayenne, , p. 62-63,78-79
Charles Loizeau de Grandmaison (archiviste), Archives ecclésiastiques antérieures à 1790, Archives départementales de Tours-Edition de 1891-réimpression 1994, , « Inventaire sommaire de la série H-CLERGÉ RÉGULIER H1–987 », p. 485, 964
Revue historique et archéologique du Maine, t. 29,
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Daniel PICHOT, Revue de la Société d’Archéologie et d’Histoire de la Mayenne, t. 20, , « Confirmation de la donation des églises de Javron faite au 11e siècle par le comte du Maine à l’abbaye Saint-Julien de Tours »
↑« Préfecture de la Mayenne - Recueil des actes administratifs 53-2020-072 » [PDF] (consulté le ), p. 46 : arrêté no 2020-M-007 du 30 juin 2020 portant suppression de la commune associée de Les Chapelles et transformation de la fusion-association entre les communes de Javron et de Les Chapelles en fusion simple.
↑Archives notariales de l'étude N°LXXIII de Charles François de Saint-Vaast pour l'année 1645 :JAVRON (prieuré Saint-Constantin de) § Déclaration de Jean CHAPPELIERE, prêtre habitué à Saint-Eustache à Paris, en son nom et pour Charles CHAPPELIERE, notaire royal à Javron, Julien CHAPPELIERE, avocat au siège de Couptrain, demeurant à Javron, et Bail par Pierre CATINAT, écuyer, prieur du prieuré Saint-Constantin de JAVRON, aux mêmes, du revenu temporel du prieuré, moyennant 1400 £, 2 douzaines de chapons, 30 livres de fil de chanvre par an.