Puis il siège dix ans au comité de direction d'une société privée concessionnaire d'un service public, Cofiroute, où il définit et met en place l'ensemble des systèmes de monétique et péage. Il est ensuite manager-associé chez Bossard Consultants[4] où il contribue à développer la sociodynamique sous la direction de Jean-Christian Fauvet et crée un département d'innovation pédagogique.
Il commence à écrire en 1954, encouragé par le poète Jehan Despert qui le publie dans ses Cahiers de l'Île-de-France[6] et lui ouvre les colonnes du Figaro[7].
Il assurait depuis 1959 des fonctions associatives culturelles, en particulier :
de 1962 à 1974 à la Maison des Jeunes et de la Culture, puis au Centre culturel de Chelles où il travailla entre autres avec Michel Heim ;
de 1983 à 2013 à La Jointée, association éditrice de Jointure dont il fut cocréateur avec, en particulier, Jacques Arnold[8], Georges Friedenkraft, Daniel Sauvalle et quelques autres poètes, et dont il est pendant de nombreuses années président-trésorier ; il était directeur de publication de Jointure ;
de 2004 à 2013 au théâtre Aire-Falguière dont il était administrateur.
Par ailleurs, à côté de son activité professionnelle et de son travail littéraire, Jean-Pierre Desthuilliers était engagé dans plusieurs formes d'action politique et sociale, en particulier :
de 2002 à 2008 comme conseiller de quartier de sa commune de résidence, Boulogne-Billancourt[9] ;
comme l'un des acteurs, représentant des diplômés de l'ENSICA, du processus de rapprochement entre SUPAERO et l'ENSICA ayant abouti à la création de l'ISAE en 2007, puis de la fusion de leurs deux associations d'anciens élèves[10], aboutissant à la création de l'Amicale ISAE, dont il était administrateur, et responsable de la communication. Il fut également membre du comité directeur du Club Dirigeants de l'association, l'ISAE Executive Club, et a, à ce titre, assuré la responsabilité rédactionnelle du Livre Blanc publié en avril 2011 sous le titre réinventer le métier d'ingénieur pour en revaloriser le rôle dans la société[11].
Le cristal opaque[12],[13], (1974), crayons originaux de Tardivo[14], éditions Saint-Germain-des-Prés, collection Miroir oblique. Cet ouvrage, épuisé chez l'éditeur, est maintenant publié sous Licence Art Libre sur le site Culture libre[15], sans les illustrations et avec une introduction
L'arbre parole[12],[16],[17] (1979), dessins au trait d'Odile Damon-Leclerc, éditions José Millas-Martin, collection Grand Fond. Cet ouvrage, épuisé chez l'éditeur, est maintenant publié, également sous Licence Art Libre sur le site Culture libre[18], sans les illustrations
Comment lit-on Rimbaud, quand on a dix-sept ans ?, in Les cahiers de l'Alba, numéro 6-7 dédié à Arthur Rimbaud, second semestre 2005, pages 101 à 106
Triangulation de la perception : le biface et l’os de seiche, in Plastir no 15, [29]
Jacques Bergier, scifique et scientifique, in Jacques Bergier. Une légende… un mythe, livre d’hommages coordonné par Claudine Brelet, Éditions de l’Harmattan, Paris, 2010 [30]
De la plasticité de la langue à la plasticité dans la langue, in Plastir no 30, [31]
Le Go, modèle littéraire, in Le Go aux sources de l'avenir, de Pascal Reysset, Éditions Chiron, Paris 1992 : pages 130 à 133[32].
Déléguer, voyage au cœur de la délégation, de Stéphanie Savel, Jean-Pierre Gauthier et Michel Bussières, collection de l'Institut Manpower, Éditions d'organisation, Paris 2000 : pages 128 et 129, 246 et 247, 332[33].
Réinventer le métier d'ingénieur pour en valoriser le rôle dans la société, sous étiquette de l'ISAE Executive Club, le Club des dirigeants de l'Amicale ISAE Supaero Ensica[34].