En septembre 1792, « greffier du bureau central des juges de paix à Rouen », Duval est élu député du département de la Seine-Inférieure, le sixième sur seize, à la Convention nationale[2]. Lors du procès de Louis XVI, il vote la détention et le bannissement à la paix, et se prononce en faveur de l'appel au peuple et du sursis à l'exécution[3]. Il ne participe ni au scrutin sur la mise en accusation de Jean-Paul Marat en avril 1793[4], ni au scrutin sur le rétablissement de la Commission des Douze en mai de la même année[5].
Édouard Frère, Manuel du bibliographe normand : Dictionnaire bibliographique et historique contenant : 1° l'indication des ouvrages relatifs à la Normandie, depuis l'origine de l'imprimerie jusqu'à nos jours ; 2° des notes biographique, critiques et littéraires sur les écrivains normands, sur les auteurs de..., A. Le Brument, (lire en ligne).
« Duval (Jean, Pierre) », page 293 inArchives nationales (France) (répertoire nominatif par Christiane Lamoussière, revu et complété par Patrick Laharie ; répertoire territorial et introduction par Patrick Laharie), Le Personnel de l’administration préfectorale, 1800-1880, Paris : Centre historique des Archives nationales, 1998, 1159 pages, 27 cm (ISBN2-86000-271-5).
Jean Tulard, Les Vingt Jours : Louis XVIII ou Napoléon ? (1er-20 mars 1815), Paris, Fayard, , 284 p. (ISBN2-213-60867-9), p. 47, 96-99, 103.
↑René Bargeton, Pierre Bougard, Bernard Le Clère, Pierre-François Pinaud, Les Préfets du 11 ventôse an VIII au 4 septembre 1870 (œuvre littéraire), Archives nationales, France, , [lire en ligne], consulté le .
↑Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 52, p. 58.
↑« Duval (Jean, Pierre) », page 293 inArchives nationales (France) (répertoire nominatif par Christiane Lamoussière, revu et complété par Patrick Laharie ; répertoire territorial et introduction par Patrick Laharie), Le Personnel de l’administration préfectorale, 1800-1880, Paris : Centre historique des Archives nationales, 1998, 1159 pages, 27 cm (ISBN2-86000-271-5).