John Foster McCreight | |
Fonctions | |
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Premier ministre de la Colombie-Britannique | |
– (1 an, 1 mois et 9 jours) |
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Monarque | Victoria |
Lieutenant-gouverneur | Joseph Trutch |
Prédécesseur | Premier titulaire |
Successeur | Amor De Cosmos |
Député à l'Assemblée législative de la Colombie-Britannique | |
– (3 ans, 10 mois et 26 jours) |
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Avec | Robert Beaven Simeon Duck James Trimble |
Circonscription | Victoria City |
Prédécesseur | Nouvelle circonscription |
Successeur | Andrew Charles Elliott |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Caledon (Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande) |
Date de décès | |
Lieu de décès | Hastings (Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande) |
Nationalité | Britannique Canadienne |
Parti politique | Indépendant |
Conjoint | Anna Johanna McCreight |
Profession | Juriste |
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Premiers ministres de la Colombie-Britannique | |
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John Foster McCreight, né en 1827 à Caledon, en Irlande du Nord et mort le à Hastings, en Angleterre[1], est un magistrat, premier Premier ministre de la Colombie-Britannique de 1871 à 1872[2].
D'origine irlandaise, devenu avocat, John Foster McCreight part pour l'Australie et y resta quatre ans. Pour une raison indéterminée, il s'installe en 1860 à Victoria en Colombie-Britannique[1]. Il est admis au barreau de la Colombie-Britannique en 1862[1].
Il semble que son appartenance à la franc-maçonnerie[4],[1] ait facilité son ascension politique.
Il était également membre de l'Église anglicane[1].
Le , la Colombie-Britannique entre dans la Confédération du Canada.
En août, McCreight devient procureur général dans le cabinet intérimaire. À l’occasion des premières élections générales de la province en , il remporta l’un des sièges de la circonscription de la ville de Victoria et devint député à l’Assemblée législative de la Colombie-Britannique[5].
Le , McCreight est nommé Premier ministre de la Colombie-Britannique par le lieutenant-gouverneur Trutch[6],[3].
Le ministère formé par McCreight intègre 3 avocats. Alexander Rocke Robertson[7] est le Secrétaire provincial, George Anthony Walkem est Commissaire pour le territoire et pour le travail et Henry Holbrook y est un membre non officiel[3].
Vivement critiqué, abandonné par ses partisans, il ne demeure en fonction qu'environ un an avant qu'une motion de censure déposée en provoque sa démission[8].
Sa démission a validé l'existence et les principes d'un gouvernement responsable en Colombie-Britannique[8].
Il continue cependant à siéger à l'Assemblée jusqu'en 1875, devient conseiller de la Reine, puis membre de la Cour suprême de la Colombie-Britannique de 1880 à 1897[5].
Après sa retraite, il retourne en Angleterre où il meurt en 1913[5].
Nom | Parti politique | Voix | % | ±% | Maj. | |
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John Foster McCreight (élu) | Indépendant | 373 | 24,62 % | n/a | 52 | |
James Trimble (élu) | Indépendant | 321 | 21,19 % | n/a | ||
Robert Beaven (élu) | Indépendant | 301 | 19,87 % | n/a | ||
Simeon Duck (élu) | Indépendant | 301 | 19,87 % | n/a | ||
Robert Taylor Williams | Indépendant | 124 | 8,18 % | n/a | ||
James Eliphalet McMillan | Indépendant | 95 | 6,27 % | n/a | ||
Total des votes valides | 1 515 | 100 % |