La Noë-Blanche

La Noë-Blanche
La Noë-Blanche
Église de la Noë-Blanche
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Bretagne Porte de Loire Communauté
Maire
Mandat
Frédéric Martin
2020-2026
Code postal 35470
Code commune 35202
Démographie
Gentilé Nautalbanais
Population
municipale
1 007 hab. (2022 en évolution de +1,51 % par rapport à 2016)
Densité 43 hab./km2
Population
agglomération
25 687 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 48′ 11″ nord, 1° 44′ 24″ ouest
Altitude 50 m
Min. 18 m
Max. 95 m
Superficie 23,18 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bain-de-Bretagne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Noë-Blanche
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La Noë-Blanche
Liens
Site web www.lanoeblanche.fr

La Noë-Blanche [la nɔe blɑ̃ʃ] est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne.

Géographie

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La Noë-Blanche se situe au carrefour de quatre autres communes ou villes :

  • au nord, Bain-de-Bretagne située à environ un quart d'heure de route (entre sept et onze kilomètres selon la route empruntée) ;
  • à l'ouest, Guipry-Messac à environ six kilomètres ;
  • à l'est, la Dominelais à sept kilomètres ;
  • au sud, le Grand-Fougeray à dix kilomètres.

La commune est aussi située à six kilomètres de la 2×2 voies en direction de Nantes et à douze kilomètres de celle menant à Rennes. Elle se situe proche de la gare SNCF de Messac.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de La Noë-Blanche
Bain-de-Bretagne
Guipry-Messac La Noë-Blanche
Sainte-Anne-sur-Vilaine Grand-Fougeray La Dominelais
Carte de la commune de La Noë-Blanche et des communes avoisinantes.

Relief et hydrographie

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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 725 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1988 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records LA-NOE-BLANCHE (35) - alt : 89 m 47° 46′ 48″ N, 1° 45′ 54″ O
Statistiques établies sur la période 1988-2010 - Records établis sur la période du 01-03-1988 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3 3 4,5 5,6 9,2 11,4 13,2 13,4 11,2 9,1 5,4 3 7,7
Température moyenne (°C) 5,7 6,4 8,5 10,3 14,2 17,1 19 19,2 16,4 12,9 8,5 5,7 12
Température maximale moyenne (°C) 8,4 9,7 12,6 15 19,3 22,8 24,8 25,1 21,6 16,7 11,7 8,4 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−11,6
02.01.1997
−10,8
10.02.1991
−7,7
01.03.05
−2,2
10.04.03
1,1
06.05.19
3,9
04.06.1991
7,3
30.07.1988
5,3
28.08.1998
2,7
29.09.07
−2,3
29.10.03
−5,9
22.11.1998
−8,6
29.12.1996
−11,6
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
17,4
27.01.03
20,9
27.02.19
23,1
30.03.21
27,6
20.04.18
30,9
26.05.17
36,4
27.06.19
39,3
23.07.19
39
10.08.03
33,2
14.09.20
29,7
02.10.11
20,6
01.11.15
16,9
19.12.15
39,3
2019
Précipitations (mm) 83,4 62 55,2 60,4 64,4 40 46,6 37,4 58,9 76,5 82,6 85,2 752,6
Source : « Fiche 35202001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , La Noë-Blanche est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[9]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), zones agricoles hétérogènes (46,3 %), zones urbanisées (2,6 %), prairies (2,5 %), forêts (1,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme La Noë-Blanche en 1852[13].

Toponyme issu du gallo noe, noue, no, « prairie marécageuse, marais » , d'origine gauloise[14]. Le gaulois *nauda aurait signifié « terrain encaissé, un lieu humide »[15], éventuellement « prairie inondable », noë se retrouve dans de multiples toponymes habités ou nom et quelquefois sous la forme noue[16].

La Noë-Blanche tire son nom d'une fleur blanche qui surgissait au printemps dans les marécages.

En gallo, le nom de la commune est La Nôe-Bllanche [17]prononcé [nobjɑ̃ʃ] ou [nobjɛ̃ʊ̆ʃ] selon les localités[18].

La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne Ar Wazh-Wenn[19] (« le ruisseau blanc ou pur »).

Le XIXe siècle

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La Noë-Blanche était sous l'Ancien Régime une trève de Messac, qui fut érigée en paroisse le [20], et dès 1852 celle-ci devient une commune indépendante par démembrement de la commune de Messac, avec l'argumentaire suivant : « la commune de Messac (..) a une superficie de 6 404 hectares, qui se divise en deux sections bien distinctes : Messac, dont le bourg, placé à l'une des extrémités est le chef-lieu, et la Noë-Blanche qui forme l'autre extrémité de la commune. Il en résulte que cette dernière, composée de plusieurs villages, est dans des conditions très défavorables pour ses relations avec son chef-lieu dont elle est éloignée de 7 à 11 kilomètres. La section de la Noé-Blanche a déjà une succursale et une maison d'école qui réunit quatre-vingts enfants ; elle aura 2 222 hectares et 800 âmes de population ; elle demande aujourd'hui que l'on complète ces avantages en l'érigeant en commune distincte (..) »[21].

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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Selon le journal La Croix en 1913 le vicaire-instituteur faisait la classe à 70 enfants, tandis que les deux instituteurs publics instruisaient 3 élèves[22].

La Noë-Blanche à la Belle Époque

La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de La Noë-Blanche porte les noms de 65 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 2 sont morts en Belgique (Pierre Guiheux dès le à Rossignol et Jean Douard le à Boezinge ; Louis Dubé est mort en captivité en Allemagne dans un lazaret en 1915 ; Jean Chapin[Note 5] est mort lors du naufrage du cargo mixte Eloby torpillé au sud de Malte le  ; la plupart des autres sont morts sur le sol français, dont un autre Jean Chapin[Note 6], mort de maladie dans un hôpital de Metz le , donc plusieurs mois après l'armistice ; Jean Dubé, Julien Lebeau, Pierre Provost et Pierre Voland ont été tous les quatre décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et André Charlieu, Joseph Guillois et les deux frères Pierre et Victor Nidelet tous les quatre de la Croix de guerre[23].

L'Entre-deux-guerres

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La Noë-Blanche pendant l'Entre-deux-guerres

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de La Noë-Blanche porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi eux Jean Lemaux, mort en captivité à Vienne en Autriche en 1944 ; Eugène Athimon, mort en captivité à Leipzig en Allemagne en 1945[23].

Aurélie et Françis Fredel furent pris en otages le 27 juillet 1944 en représailles en raison du meurtre de deux soldats allemands la veille au Grand-Fougeray dans une embuscade ; ils firent partie du convoi du train de Langeais du , mais eurent la chance d'être parmi les 241 otages libérés par un responsable alsacien du train, Charles Shlaggdenhaufen, dit Charly et restèrent plusieurs mois dans la région de Belfort ; ils revinrent en décembre 1944, mais en ayant tout perdu car leur ferme avait été détruite par les Allemands à la recherche d'armes[24].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1852 1858 Mathieu Moineau[Note 7]   Premier maire de La Noë-Blanche.
1858 1872 Hippolyte Renaudet[Note 8]   Fabricant tanneur.
1872 1879 François Gicquel[Note 9]    
1879 1910 Jean-Marie Hervault[Note 10]    
1910 1912 Julien Philouse[Note 11]   Commerçant.
1913 1919 Jean Leray[Note 12]   Laboureur.
1919 après 1924 François Hervault[Note 13]   Fils de Jean-Marie Hervault, maire entre 1879 et 1910.
         
         
1971 mars 1983 François Guillois app. PS  
mars 1983 mars 2008 Pierre Bourdaud   Animateur pédagogique, maire honoraire.
mars 2008 mai 2020 Christine Gardan[25] DVD[26] Retraitée CHR.
mai 2020 En cours Frédéric Martin[27] DVG Manager de flux
Conseiller départemental de Bain-de-Bretagne (2021 → ).
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1851. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2022, la commune comptait 1 007 habitants[Note 14], en évolution de +1,51 % par rapport à 2016 (Ille-et-Vilaine : +5,46 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
7828068469579701 0001 1021 1591 261
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
1 2831 2151 2051 1551 0401 0371 0481 020909
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
876822744730878862828978973
2016 2021 2022 - - - - - -
9921 0121 007------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sur cette courbe, on voit clairement le dépeuplement de la commune jusqu'en 1983, et son nouvel accroissement entre 1993 et 2008, suivi d'une nouvelle baisse de la population depuis 2008 (voir aussi le paragraphe "Politique et administration" plus haut pour plus d'explications).

Lieux marquants et monuments

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Préhistoire et antiquité

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  • Camp de César : c'est un retranchement long de 170 mètres, entouré de talus et de fossés, situé dans le village de Sévrignac, au lieu-dit "le Pâtis des Douves"[33].

L'église paroissiale Sainte-Anne a été construite vers 1850, et terminée en 1852[34]. Avant sa construction, une chapelle se trouvait à cet emplacement[20]

  • Croix de la Haute-Ville

Il existe près de Branfeul un site, une carrière de pierre (lieu où se déroulait le sprint-cross), où des fossiles de trilobites (arthropodes) ont été trouvés. Il s'agirait à première vue de trilobites Conocoryphe, ce qui reste à vérifier étant donné que pour l'instant aucun squelette complet n'a été trouvé. Ils dateraient alors du Cambrien ou du Permien, c'est-à-dire de 540 à 245 millions d'années avant notre ère. Ces crustacés vivaient dans les mers : il est donc tout à fait possible que la Noë-Blanche fut une mer, qui après des millions d'années se soit transformée, peu à peu, en marécages. Il est aussi tout a fait probable de découvrir d'autres fossiles marins[réf. nécessaire]

Les vestiges d'un manoir subsistent à Branfeuil.

Branfeul est aussi un hameau qui abrite un étang.

Haute-Ville

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  • Fontaine de la Haute-Ville
  • Croix de la Haute-Ville

Moulin Chaignet

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À ce lieu-dit se trouve un moulin à trois étages carrés, datant du XIXe siècle[35].

Infrastructures

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  • Restaurant public créée en 2009[réf. nécessaire]
  • Bibliothèque
  • Salle polyvalente (salle des fêtes + salle de sport)
  • Salle des fêtes
  • Ecole privée Sainte-Anne

Personnalités liées à la commune

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  • Thomas II Le Roy, évêque fidèle du pape Adrien VI, il naît à Tréhel, un hameau de la commune. Il a vécu au cours du XVIe siècle. Rallié à la paroisse de Dol-de-Bretagne, il fut nommé procureur des Lettres apostoliques, abréviateur des archives de la Cour romaine, clerc du collège des cardinaux à Rome.
  • Paul Lebois, (1892-1984), écrivain, frère de Françoise Tessier-Lebois (1896-1965), institutrice à La Noë-Blanche de 1920 à 1956. Il a écrit des romans d'aventures, où sa passion pour la ruralité bretonne sert de toile de fond (Terre obsédante, 1946 ; Terre en péril, 1947 ; Terre reconquise, 1951 ; Terre dévastée, 1965 ; Terre aux abois, 1972).
  • Club de football
  • Club de volley-ball
  • Club de Gymnastique féminine (OCTOGYM)

Enseignement

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  • École privée Sainte-Anne

Rendez-vous

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  • 4 juin : tournoi de football organisé par l'Hermine.
  • 2 juillet : Kermesse de l'école Sainte-Anne.
  • Arbre de Noël de l'école Sainte-Anne (mi-décembre).

Bibliographie

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Notes et références

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  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Jean Chapin, né le à La Noë-Blanche.
  6. Jean Chapin, né le à La Noë-Blanche
  7. Mathieu Moineau, né le à Messac, décédé le à Couacon en Messac.
  8. Hippolyte Renaudet, né le à Bain-de-Bretagne, décédé le à La Noë-Blanche.
  9. François Gicquel, né le à Messac, décédé le à La Noë-Blanche.
  10. Jean-Marie Hervault, né le à Crevin, décédé le à La Noë-Blanche.
  11. Julien Philouse, né vers 1848 à la Glévardais au Grand-Fougeray, décédé le au bourg de La Noë-Blanche.
  12. Jean Leray, né le à La Noë-Blanche, décédé le à La Noë-Blanche.
  13. François Hervault, né le à Sévrignac en La Noë-Blanche, décédé le à La Noë-Blanche.
  14. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
  7. « Fiche du Poste 35202001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Noë-Blanche ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rennes », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 238.
  15. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne, Bonneton, , p. 120.
  16. « CNRTL », sur cnrtl.fr, (consulté le ).
  17. Institut du Galo, « Liste des communes de Haute-Bretagne »
  18. Chubri, « ChubEndret »
  19. « La Noë-Blanche − KerOfis − Portail numérique de la langue bretonne », sur niverel.brezhoneg.bzh (consulté le ).
  20. a et b Notice no IA00007510, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. Baron de Vincent, « Exposé des motifs d'un projet de loi qui sépare la commune de Messac (..) de celle de la Noë-Blanche », Gazette nationale,‎ , p. 879 (lire en ligne, consulté le )
  22. « Gazette. La dépense laïque », La Croix,‎ , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
  23. a et b « La Noë-Blanche. Monument aux Morts (Relevé n° 44231) », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  24. « Un hommage aux Frédel, prisonniers déportés en 1944 », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Christine Gardan
  26. « Résultats des élections législatives 2022 à La Noë-Blanche 35470 », sur lemonde.fr (consulté le ).
  27. « La Noë-Blanche. Frédéric Martin, maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  31. Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, « Étude sur les voies romaines du département d'Ille-et-Vilaine », Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine,‎ , p. 34 à 39 (lire en ligne, consulté le ).
  32. Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu, La trouvaille de monnaies vénètes de la Noë-Blanche, Annales de Bretagne, no 61, 2, 1954, p. 277–282.
  33. Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine, « Étude sur les voies romaines du département d'Ille-et-Vilaine », Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine,‎ , p. 38 (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Eglise paroissiale Sainte-Anne (La Noë-Blanche) », sur patrimoine.bzh, (consulté le )
  35. Notice no IA00007512, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Liens externes

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