Lichères

Lichères
Lichères
L'église romane de Lichères.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Jean Jacques Crine
2020-2026
Code postal 16460
Code commune 16184
Démographie
Gentilé Lichérois
Population
municipale
91 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 52″ nord, 0° 13′ 26″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 117 m
Superficie 4,94 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lichères
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Lichères
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Lichères

Lichères est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Lichérois et les Lichéroises[1].

Géographie

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Localisation et accès

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Lichères est une commune du Nord Charente située à 5 km au nord-est de Mansle et 29 km au nord d'Angoulême, dans la vallée de la Charente.

Lichères est aussi à 14 km au sud de Ruffec[2].

À l'écart des grandes routes, la commune est traversée par la D 56 allant vers Mansle et la D 185 allant vers la N 10 entre Angoulême et Poitiers qui passe à l'ouest de la commune. Toutefois, l'échangeur avec la N 10 se trouve à Fontclaireau, ou aux Maisons Rouges sur la D 27 (commune de Chenon). Le bourg est situé sur une route communale se connectant à la D 185, qui traverse la Charente et passe devant la mairie[3].

La gare la plus proche est celle de Luxé, à 9 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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Le bourg et l'église sont situés sur la rive gauche de la Charente, alors que la mairie est sur la rive droite, à la Salle.

L'autre hameau de la commune est Puychenin, dominant la Charente sur sa rive droite et le bourg[3].

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Lichères
Fontenille Moutonneau
Lichères Aunac-sur-Charente
(en un quadripoint)
Mansle-les-Fontaines Mouton

Géologie et relief

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Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Plus particulièrement, le Callovien occupe la moitié nord-est de la surface communale, l'autre moitié étant occupée par l'Oxfordien. La vallée de la Charente, à l'est, est couverte par des alluvions dont les plus anciennes ont formé une basse terrasse au bourg[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un bas plateau traversé dans sa partie orientale par la vallée de la Charente. Le bourg de Lichères est compris dans un méandre du fleuve. La rive concave située à l'ouest est plus abrupte que la rive gauche où est situé le bourg.

Le point culminant est à une altitude de 117 m, situé à l'extrémité nord-ouest de la commune. Le point le plus bas est à 60 m, situé le long de la Charente à la limite sud. Le bourg, au bord du fleuve, est à 65 m d'altitude[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, la Charente, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Lichères est traversée par la Charente entre Ruffec et Mansle, et le bourg est situé sur sa rive gauche. Le fleuve se partage en des bras délimitant des îles, comme la prairie de Maindra, au sud de laquelle se trouve le confluent du Son-Sonnette, sur la commune de Mouton. Il y a aussi l'île de la Motte et l'île Doche au nord du bourg.

Au pied de Puychenin, une source donne naissance à un court ruisseau appelé Fontaniou se jetant dans la Charente (comme sur la commune d'Aunac).

Près de l'île de Maindra au pied de la route de Mouton, on trouve une source, la fontaine Saint-Denis[3].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Au , Lichères est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55 %), prairies (19,9 %), forêts (19 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lichères est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et le Son-Sonnette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lichères.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 68 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 59 sont en aléa moyen ou fort, soit 87 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 1]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

Une forme ancienne est de Licheriis en 1328[24].

Selon Talbert, lescheria, en bas latin, désigne un endroit marécageux où croissent les joncs (lisca); en effet, la Charente se divise en plusieurs bras[25]. Dauzat ajoute que le nom laîche est issu de l'ancien français lesche, lui-même issu du germanique liska. Le suffixe -aria est ajouté, exprimant un lieu (plantation ou élevage), donnant liscariae au pluriel[26],[Note 2].

Le nom la Salle issu du bas latin sala signifie la maison de maître d'un domaine agricole (villa)[25].

Au Moyen Âge, l'église appartenait à un prieuré de l'abbaye de Charroux, qui fut cédé au Séminaire d'Angoulême en 1714.

Principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Lichères se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Angeau, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[27].

Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1660.

Le hameau de la Salle était un ancien arrière-fief de la baronnie de Verteuil, et qui appartenait, aux XVIIe et XVIIIe siècles à la famille Angely[28],[29].

Administration

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2000 2014 Claude Mondion SE Agriculteur
2014 En cours Jean-Jacques Crine SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 91 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
219247207234298319308259234
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
215228212208188190167141155
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
17014913314012212510696104
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
847087869488879287
2021 - - - - - - - -
91--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 16 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 49,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 44 hommes pour 43 femmes, soit un taux de 50,57 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,3 
18,2 
75-89 ans
23,3 
27,3 
60-74 ans
27,9 
18,2 
45-59 ans
18,6 
20,5 
30-44 ans
11,6 
4,5 
15-29 ans
2,3 
11,4 
0-14 ans
14,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

Équipements, services et vie locale

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Lieux et monuments

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L'église paroissiale Saint-Denis a été construite vers 1150 par les Bénédictins de l'abbaye Saint-Sauveur de Charroux[37]. Elle est classée monument historique depuis 1903[38].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  2. Toponyme à rapprocher de La Jonquière, en Espagne : lieu où poussent des joncs
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Lichères » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Lichères », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lichères », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lichères », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 39
  25. a et b Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 393.
  27. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  28. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 215-216
  29. Jean-Marie Ouvrard, « D'Angely », (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lichères (16184) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  37. Marcel Reible, Église Saint-Denis de Lichères, Église Saint-Martial de Mouton (Charente), Mansle, 1976
  38. « Église Saint-Denis », notice no PA00104391, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

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Articles connexes

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Liens externes

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