En 1824 il invente le panorographe, appareil destiné à obtenir immédiatement, sur une surface plane, le développement de la vue perspective des objets qui entourent l’horizon.
Outre plusieurs mémoires, il est l’auteur d'ouvrages de géodésie et de mathématiques.
De son mariage avec Françoise Coutet est issu un fils, Louis (1793-1836), qui fut diplômé de l'École polytechnique.
Recueil de diverses propositions de géométrie, résolues ou démontrées par l'analyse algébrique, suivant les principes de Monge et de Lacroix, à l'usage de ceux qui suivent le traité élémentaire d'application de l'algèbre à la géométrie de ce dernier (1801)
Traité de géodésie ou exposition des méthodes astronomiques et trigonométriques, appliquées soit à la mesure de la terre, soit à la confection du canevas des cartes et des plans (1805)
Traité de topographie, d'arpentage et de nivellement (1807)
Cours de mathématiques à l'usage des écoles impériales militaires (1809)
Supplément au second livre du Traité de topographie, contenant la théorie des projections des cartes (1810)
Supplément au Traité de géodésie (1827)
Nouvelle Description géométrique de la France (2 volumes, 1832-1840)
Léonce Élie de Beaumont, Éloge historique de Louis Puissant, lu dans la séance publique annuelle du , dans Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France, Gauthier-Villars, Paris, 1870, tome 37, IIe partie, p. I-LXIV(lire en ligne)