Ses histoires racontent des mythes sur l’origine de l’univers africain, avec des animaux personnifiés, des dieux africains, le destin et travail des animaux et des plantes, etc.
Elle avait une maladie qui l’empêchait d’aller à l’école et au lycée, et elle fut éduquée par des précepteurs chez elle. Puis elle put suivre des études et aller à Paris en 1927. Elle étudia 3 ans à l'École du Louvre.
Elle commença les recherches pour ses écrits en 1928, et put les publier dans les magazines français, Les Cahiers du Sud, la Revue de Paris et Les Nouvelles littéraires. Ces contes sont traduits vers le français et la maison d’édition Gallimard les publie comme Contes nègres de Cuba en 1936. Elle les publie en espagnol en 1940.
À partir de 1950, elle parcourut l’île de Cuba en compilant de l’information sur des mythes et rituels gardés par les anciens Noirs.
↑Elle affirme de son vivant être née en 1900, mais les registres de naissance indiquent une naissance en 1899[2]
↑(en) Catherine Davies. Lydia Cabrera 1900-1991: Cuban writer and ethnographer. In : Verity Smith (éd.), Encyclopedia of Latin American Literature, Fitzroy Dearborn publishers, 1997, p. 153-155 (ISBN1884964184).
(es) Natalia Bolívar Aróstegui et Natalia del Río Bolívar, Lydia Cabrera en su laguna sagrada, Editorial Oriente, Santiago de Cuba, 2000, 187 p. (ISBN959-110295-X)
Amandine Hahn, Lydia Cabrera y la estética vanguardista : el « collage » en 'Cuentos negros de Cuba', para une nueva aproximación a la cultura afrocaribeña, Université de Besançon, 2011, 91 p. (Mémoire de master 2)
(en) Edna M. Rodríguez-Mangual, Lydia Cabrera and the construction of an Afro-Cuban cultural identity, University of North Carolina Press, Chapel Hill, London, 2004, 1999 p. (ISBN0-8078-5554-5)