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Livrets d'opéra : Le Jongleur de Notre-Dame, La Farce du Cuvier, Josiane, La Damnation de Blanchefleur, Dans l'Ombre de la Cathédrale, Nerto, Tristan et Isolde.
Maurice Léon Léna (1859-1928) est un professeur de lettres classiques, librettiste d'opéras, poète et critique littéraire français[1]. Normalien (Lettres 1881), agrégé de lettres classiques (1885), professeur de classe de Rhétorique aux lycées de Auch (1885), Aix-en-Provence (1885-1888), Marseille (1889), Nîmes (1890-1891), Lyon (Ampère, 1891-1894), puis Condorcet (Paris) et Lakanal (Sceaux) où il termina sa carrière enseignante. Il s'illustra par de nombreux livrets d'opéra et d'opéra-comique[2], dont le plus connu est Le Jongleur de Notre-Dame, sur la musique de Jules Massenet, donné en 1902 à l'Opéra de Monte-Carlo puis à l'Opéra-Comique à Paris (1904), à Chicago (1907) et Buenos-Aires (1915). Parmi ses autres œuvres, on relève Dans l'ombre de la cathédrale (1921) donné à l'Opéra-Comique à Paris en 1921 (musique de Georges Hüe), Nerto (1924) sur un poème de Frédéric Mistral dont il tira le livret (musique de Charles-Marie Widor) et La Damnation de Blanchefleur (1920) (musique de Henry Février.).
Il entretint une abondante correspondance avec le monde musical, en particulier Jules Massenet, ainsi qu'avec le philosophe Maurice Blondel[3], son ami et camarade de la rue d'Ulm (promotion 1881 Lettres).
Il n'eut pas de descendance, contrairement à son frère André Léna (1860-1900), bourguignon comme lui.