Montoussé | |||||
Vue du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Bagnères-de-Bigorre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau de Lannemezan | ||||
Maire Mandat |
Christiane Rotgé 2020-2026 |
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Code postal | 65250 | ||||
Code commune | 65322 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montousséens | ||||
Population municipale |
250 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 04′ 03″ nord, 0° 24′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 496 m Max. 688 m |
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Superficie | 7,88 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Lannemezan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Neste, Aure et Louron | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Montoussé est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron.
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Neste et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montoussé est une commune rurale qui compte 250 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 694 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan. Ses habitants sont appelés les Montouséens ou Montouséennes.
Des gisements préhistoriques ont livré des vestiges de faune du Pléistocène inférieur (antérieur à 90 000 ans) et du Pléistocène moyen (antérieur à 350 000 ans).
La commune de Montoussé se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 33 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 22 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 9 km de Capvern[3], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Escala (2,0 km), Bizous (2,2 km), Tuzaguet (2,4 km), Montsérié (2,6 km), Saint-Arroman (2,6 km), La Barthe-de-Neste (2,9 km), Izaux (3,2 km), Gazave (3,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Montoussé fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[5].
Montussé est limitrophe avec huit communes.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Neste, un bras de la Neste et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le Neste, d'une longueur totale de 73,1 km, prend sa source dans la commune d'Aragnouet et s'écoule vers le nord puis se réoriente vers l'est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Montréjeau, après avoir traversé 34 communes[9].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nestier », sur la commune de Nestier, mise en service en 1946[15] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 049,8 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 38 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[21].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[23], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[24].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[25] : la « Neste moyenne et aval » (283 ha), couvrant 25 communes dont une dans la Haute-Garonne et 24 dans les Hautes-Pyrénées[26] et le « réseau hydrographique du Nistos » (79 ha), couvrant 14 communes du département[27] et deux ZNIEFF de type 2[Note 7],[25] :
Au , Montoussé est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (78,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %), prairies (4,4 %), forêts (4,4 %), terres arables (2,7 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 142[I 5]. Parmi ces logements, 72,9 % sont des résidences principales, 22,0 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants.
Cette commune est desservie par les routes départementales D 26 et D 142.
Le territoire de la commune de Montoussé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Neste. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[33]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2009 et 2013[34],[31].
Montoussé est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[35].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 72,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 146 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 112 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[31].
La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[40].
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[41] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Probablement de mont (= mont) et ossèr (où il y a l'ours, ou des ours).
Montorsèr.
La carrière sur le flanc sud de la butte où se trouve le village a ouvert en 1892[42] deux brèches (Montoussé 1 et Montoussé 2) qui ont livré des vestiges datés pat H. Halimen de la glaciation de Mindel (antérieur à 350 000 ans, Pléistocène moyen). É. Harlé a publié une étude de leur faune en 1892[43] : Ursus différent du spelaeus, lynx, Canis plus petit que l'espèce contemporaine, Rhinoceros merckii, Sus, cerf élaphe, chevreuil, bison, renard, Equus caballus, Lepus, lapin, hérisson, taupe, musaraigne, marmotte, Arvicola (2 espèces), oiseaux, batraciens, Helix. Cette collection a été donnée au Muséum de Bordeaux. François Prat (1956) en fait une révision partielle et précise la variété du cheval, Equus caballus mosbachensis. Elle est aussi étudiée par C. Suire (1969) qui identifie Canis etruscus, et par C. Guérin qui y reconnaît Dicerorhinus hemitoechus peu évolué[44].
Une troisième brèche (Montoussé 3) est ouverte vers 1971 par les travaux de la carrière, à environ 20 m à l'ouest des deux premières brèches, et fait l'objet d'une fouille de sauvetage en 1972. Cette poche haute de 2,50 m a livré un remplissage naturel provenant de la surface, avec deux niveaux principaux[44] :
On y trouve quelques éléments osseux en connexion[44].
Cette quatrième brèche se trouve à proximité de Montoussé 3 et a livré à peu près la même faune, avec une dominance de lagomorphes et Marmota marmota mesostyla[44].
Montoussé 1, 2, 3 et 4 sont à environ 100 m au-dessus de la Neste[44].
Cette poche se trouve environ 30 m plus haut que les quatre précédentes, dans un palier supérieur de la carrière. Sa hauteur est d'environ 10 m. Son remplissage est meuble. Par endroits elle est riche en petite faune et, à un degré moindre, en grosse faune. En juillet 1975, nous avons commencé la fouille
Une première identification, provisoire, reconnaît : Sus, deux espèces de cervidés, Ursus, grand félin du groupe des Machairodus, félin de la taille de la panthère, petit Felis, deux mustélidés, martes, plusieurs lagomorphes, Mimomys ostramosi, Mimomys pitymyoides, Mimomys tornensis, cf. Dolomys kretzoii, Pliomys lenki, Sciurus sp., Glis sp., Eliomys sp., Apodemus sp., Muscardinus sp., deux talpidés, plusieurs soricidés, nombreux batraciens et reptiles parmi lesquels un Anguidae de grande taille, probablement Ophisaurus, un chélonien, plusieurs oiseaux[44].
Les rongeurs montrent une nette parenté avec Osztramos 3, un gisement du Nord de la Hongrie daté du, ce qui permet d'avancer pour Montousse 5 un âge Pléistocène inférieur. Montoussé 5 serait donc le premier gisement villafranchien (antérieur à 900 000 ans) des Pyrénées Centrales[44].
Le , vers midi, onze personnes dont des adultes et trois fillettes jouant à côté d'une chapelle en ruines auraient vu une illumination représentant la statue miraculeuse de Notre-Dame de Nouillan. La Vierge apparaît jusqu’en juin 1849. Un culte marial se développe et le sanctuaire des apparitions devient un lieu de pèlerinage[45],[46],[47].
Le plan cadastral napoléonien de Montoussé est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[48].
Sénéchaussée de Toulouse, élection de Rivière-Verdun, seigneurie de Montoussé, canton de Nestier, La Barthe-de-Neste (depuis 1790)[49].
Montoussé appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en et qui réunit 57 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52]. En 2021, la commune comptait 250 habitants[Note 10], en évolution de +1,21 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2019[55].
En 2018, la commune compte 111 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 258 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 200 €[I 6] (20 420 € dans le département[I 7]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 8] | 3,3 % | 9,8 % | 11,1 % |
Département[I 9] | 7,7 % | 9,4 % | 9,8 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 143 personnes, parmi lesquelles on compte 79,9 % d'actifs (68,7 % ayant un emploi et 11,1 % de chômeurs) et 20,1 % d'inactifs[Note 12],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lannemezan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 23 emplois en 2018, contre 14 en 2013 et 11 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 99, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,7 %[I 12].
Sur ces 99 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 88 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Blasonnement :
D'azur à deux tours d'or ouvertes et maçonnées de sable à dextre et à l'ours passant au naturel à senestre, le tout sur un tertre cousu de sinople posé sur une champagne d'argent, à la vergette d'or sommée d'une fleur de lis du même mouvant de la champagne et brochant sur le tertre.
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