Montpeyroux | |||||
Château du Bousquet. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aveyron | ||||
Arrondissement | Rodez | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène | ||||
Maire Mandat |
Benoît Revel 2020-2026 |
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Code postal | 12210 | ||||
Code commune | 12156 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montpeirosien(ne) | ||||
Population municipale |
519 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 8,4 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 38′ 33″ nord, 2° 49′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 510 m Max. 1 023 m |
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Superficie | 61,71 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aubrac et Carladez | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | montpeyroux12.fr | ||||
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Montpeyroux est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château du Bousquet, inscrit en 1928 puis classé en 1978.
La commune est située dans le Massif central en Aubrac. Elle est arrosée par le ruisseau de la Barlaque et le ruisseau de Pasquiès, qui correspondent à la partie amont de la Coussane. Le territoire communal est également bordé à l'est par la Boralde Flaujaguèse et au nord-ouest par la Selves, dont une petite partie au niveau du lac de Maury.
Les communes limitrophes sont Le Cayrol, Condom-d'Aubrac, Coubisou, Curières, Florentin-la-Capelle, Laguiole, Le Nayrac, Saint-Amans-des-Cots et Soulages-Bonneval.
Saint-Amans-des-Cots | Soulages-Bonneval | Laguiole | ||
Florentin-la-Capelle | N | Curières | ||
O Montpeyroux E | ||||
S | ||||
Le Nayrac | Le Cayrol, Coubisou |
Condom-d'Aubrac |
La commune est drainée par la Boralde Flaujaguèse, la Selves, la Coussane, le Ruisseau d'Amarou, le ruisseau de Maganiou, Bras du Maganiou, le Riou Nègre, le ravin de Carcassonne, le ruisseau de Lagarde, le ruisseau de Las Costes, le ruisseau de la Serre, le ruisseau de la Vernhe, le ruisseau de Levers, par divers petits cours d'eau[1].
La Boralde Flaujaguèse, d'une longueur totale de 29,3 km, prend sa source dans la commune de Curières et se jette dans le Lot à Saint-Côme-d'Olt, après avoir arrosé 6 communes[2].
La Selves, d'une longueur totale de 44,5 km, prend sa source dans la commune de Laguiole et se jette dans la Truyère à Campouriez, après avoir arrosé 7 communes[3].
La Coussane, d'une longueur totale de 23,1 km, prend sa source dans la commune de Montpeyroux et se jette dans le Lot à Estaing, après avoir arrosé 3 communes[4].
Le Ruisseau d'Amarou, d'une longueur totale de 12 km, prend sa source dans la commune de Le Nayrac et se jette dans le Lot à Florentin-la-Capelle, après avoir arrosé 3 communes[5].
Le lac des Galens complète le réseau hydrographique. Il est situé sur la limite séparative des communes de Soulages-Bonneval et de Montpeyroux[6].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en œuvre dans le département de l'Aveyron[7].
La commune fait partie du SAGE Lot amont, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE concerne le bassin d'alimentation du Lot depuis sa source jusqu'à Entraygues-sur-Truyère dans l'Aveyron, où il reçoit la Truyère en rive droite. Il couvre ainsi 91 communes, sur deux départements (Lozère et Aveyron) et 2 régions – une superficie de 2 616 km2 et 1 400 km de cours d'eau permanents auxquels s'ajoutent jusqu'à 576 km de cours d'eau temporaires[8],[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte Lot-Dourdou (SMLD), qualifié de « structure porteuse ». Cet organisme a été créé le par rapprochement de trois syndicats de rivières[Note 1] et est constitué de quatorze communautés de communes[10].
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 431 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 5 km à vol d'oiseau[13], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le [18] et d'une superficie de 220 284 ha. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée[19] ,[20].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Montpeyroux comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 2],[21] :
et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[21] :
Au , Montpeyroux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (68,7 %), forêts (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), eaux continentales (0,4 %)[28].
6 villages éparpillés: Crozillac, Tesq, Le Bousquet, Saint Rémy, La Vitarelle, Cuzuel.
et 75 hameaux et lieux dits forment la commune de Montpeyroux:
Agols, Amaroux, Ambernaux, Ambert Artis, Bellouet, Bories, Briounes, Briounet, Camplo, Caveroc, Cestrieres, Combres, Coussounoux, Escarlens, Esparoux, Falguieres, Fond de Lugot, Fourmigal, Giscard, Ambernet Barlaque, la Bessiere, la Borie du Penel, la Combe du Viala la Coussanela, Deveze, la Fournetterie, la Garde, la Grangette, la Griffoulette, la Plaine, la Romiguiere, la Rouliere,la Rouquette, la Serre, le Bel le Bergounhoux, le Brunet, le Cassagnou, le Cayla le Caylarou, le Compayrel, le Cros, le Graissinoux le Jonquet le Misserou, le Moulinet, le Pontel le Refilhiol, le Regaussou, le Roc, le Sastre, le Theron, le Valat, le Valenq, le Viala le Villary, les 4 Routes, les Albusquies, les Bessades les Cazals, les Combils, les Galens, les Hugoux les Peyrousses, les Touns, Lindieres Marcastel Marsagues Pinsonnac Redondet, Reveyrol,Soubeyrolles, Le Pont,Le Village,Mas Del Bosc, Moulin de l'Estaffie.
La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme était en élaboration[29].
Le territoire de la commune de Montpeyroux est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[30],[31].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[33],[34].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Montpeyroux est classée à risque moyen à élevé[36]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[37] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].
La commune de Montpeyroux est membre de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène[I 2], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Laguiole. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[39].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 2]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aubrac et Carladez pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 2], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[40].
Le conseil municipal de Montpeyroux, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[41] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[42]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les dix-sept candidats en lice[43], quinze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[44]. Benoît Revel est élu nouveau maire de la commune le [45].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[46]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène[47].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].
En 2022, la commune comptait 519 habitants[Note 5], en évolution de −4,95 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 1794, la population de Brionnès n'est pas reprise dans le tableau.
Jusqu'en 1800, les populations du Bousquet, de Brionnès et de Crozillac ne sont pas reprises dans le graphique.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 234 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 526 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 990 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 4,2 % | 3,6 % | 3,3 % |
Département[I 8] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 299 personnes, parmi lesquelles on compte 83,8 % d'actifs (80,5 % ayant un emploi et 3,3 % de chômeurs) et 16,2 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 10]. Elle compte 169 emplois en 2018, contre 161 en 2013 et 184 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 249, soit un indicateur de concentration d'emploi de 67,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,3 %[I 11].
Sur ces 249 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 136 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 57,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 7,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 34,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
47 établissements[Note 8] sont implantés à Montpeyroux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 47 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
20 | 42,6 % | (17,7 %) |
Construction | 7 | 14,9 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
14 | 29,8 % | (27,5 %) |
Information et communication | 1 | 2,1 % | (1,5 %) |
Activités immobilières | 1 | 2,1 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
2 | 4,3 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
1 | 2,1 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 1 | 2,1 % | (7,8 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 42,6 % du nombre total d'établissements de la commune (20 sur les 47 entreprises implantées à Montpeyroux), contre 17,7 % au niveau départemental[I 15].
L' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[54] :
La commune est dans l'Aubrac, une petite région agricole occupant le nord du département de l'Aveyron[55]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 121 | 97 | 87 | 79 |
SAU[Note 11] (ha) | 4 704 | 6 118 | 6 236 | 6 805 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 121 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 97 en 2000 puis à 87 en 2010[57] et enfin à 79 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 35 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[58],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 4 704 ha en 1988 à 6 805 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 39 à 86 ha[57].
Les églises et chapelles de Montpeyroux
Une peinture monumentale œuvre du peintre Josette Raynal a été réalisée par l'artiste en 1951 dans un style figuratif volontairement simplifié.
Blason | De gueules à quatre croix latines d’or, mises en croix par la base, cantonnées en sautoir de quatre tours d’argent, mouvant des angles de l’écu, à un écusson d’azur chargé de trois tours d’or, brochant en cœur. |
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Détails | L’or et le gueules sont les couleurs du Rouergue, province d’appartenance de Montpeyroux.
Les quatre tours symbolisent chacun des châteaux de Montpeyroux : on trouve d’abord l’ancienne forteresse du village, le château du Bousquet, celui d’Ambre et celui d’Esparrou. Les quatre croix haussées représentent quant à elles les quatre églises de la commune : celle de Bedène, celle du Bousquet, celle de Crozilhac et celle de Tesq. Ces croix sont disposées en croix pour représenter l’église du bourg même de Montpeyroux. L’écu central est aux couleurs de la famille de Montpeyroux. La reprise intégrale des armes d'une famille étant interdite, il est cependant possible d’en reprendre un ou plusieurs éléments et de les intégrer dans un dessin plus vaste. Les ornements sont deux branches de chênes de sinople, fruitées d’or, passés en sautoir par la pointe et liées d’or afin de représenter les forêts communales. Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable. La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications[62].Le statut officiel du blason reste à déterminer. |