Il obtient un poste à l'UER de mathématiques de l'université Rennes-I, en 1974. Il y fonde le laboratoire de mathématiques (IRMAR) en 1979[1]. Il en était professeur émérite[5].
Pierre Berthelot, « Théorie de Dieudonné sur un anneau de valuation parfait », Annales Scient. E.N.S., vol. 13, , p. 225-268 (lire en ligne, consulté le ).
(en) Pierre Berthelot et Arthur Ogus, « F-isocrystals and de Rham cohomology . I », Inventiones Mathematicae, vol. 72, , p. 159-199.
(en) Pierre Berthelot, « Cohomologie rigide et théorie des D-modules », dans Francesco Baldassarri, Siegfried Bosch, Bernard Dwork, p-adic analysis, vol. 1454, Springer-Verlag, coll. « Lecture Notes in Mathematics », , p. 80-124.
Pierre Berthelot, « D-modules arithmétiques I : Opérateurs différentiels de niveau fini », Annales Scient. E.N.S., vol. 29, , p. 185-272 (lire en ligne, consulté le ).
Pierre Berthelot, « Finitude et pureté cohomologique en cohomologie rigide », Inventiones Mathematicae, no 128, , p. 329-377.
Pierre Berthelot, « Introduction à la théorie arithmétique des D-modules », Astérisque : Cohomologies p-adiques et applications arithmétiques II, vol. 279, , p. 1-80 (lire en ligne, consulté le ).
(en) Pierre Berthelot, Spencer Bloch et Hélène Esnault, « On Witt vector cohomology for singular varieties », Compositio Mathematica, vol. 143, no 2, , p. 363-39.
↑Jeanne Laberrigue-Frolow et Christian de la Vaissière, « Les débuts de la physique des particules élémentaires à l’Institut de physique nucléaire d’Orsay », La Revue pour l’histoire du CNRS, no 26, , p. 42–48 (ISSN1298-9800 et 1955-2408, DOI10.4000/histoire-cnrs.9275, lire en ligne, consulté le )