Le prix Volney est décerné depuis 1822 par l'Institut de France après une proposition de l'Académie des inscriptions et belles-lettres au sujet d'un travail de philologie comparée ou de linguistique, pour « récompenser les plus importants travaux du monde savant international » dans ces disciplines[1]. Il est depuis 2020 décerné sous la seule forme d'une médaille, dite médaille Volney.
Dès 1805, alors qu'il était membre de l'Académie celtique, Constantin Volney a proposé de mettre l'étude d'un alphabet universel au concours. C'est dans son testament du qu'il fait un legs à l'Académie française et à l'Académie des inscriptions pour instituer un prix « afin de provoquer et encourager tout travail tendant à donner suite et exécution à (sa) méthode de transcrire les langues asiatiques en langues européennes régulièrement organisées[2] » en imposant que « le fonds ne pourra recevoir d'autre emploi que celui d'encourager l'étude philosophique des langues » et que les prix « ne pourront s'appliquer à la langue française et à son dictionnaire ». Le prix est fondé par l'Académie française en 1822 et était doté à l'origine de 1 200 francs or[3]. En 1821, l'Académie a invité les concurrents à examiner « quels sont les moyens de réaliser le plan du testateur, dans quelles bornes il conviendrait d'en circonscrire l'application, quelle est la direction à donner au travail, enfin quels résultats probables on a droit d'en attendre[4] ».
De périodicité annuelle à sa fondation, il n'a pas été attribué certaines années car les mémoires proposés ne correspondaient pas au programme. En 1842, l'Académie a abandonné le programme initial d'un alphabet universel pour en faire un prix de philologie comparée. Au cours du XIXe siècle, son domaine d'application se déplace en priorité autour de la linguistique, et en particulier la linguistique descriptive.
Mais après la Seconde guerre mondiale, le prix Volney passe à une périodicité variable. À la suite de la réforme du régime des prix décidée par l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 2016, le prix Volney est attribué épisodiquement, sa dotation budgétaire étant épuisée. Depuis 2020, il est décerné sous la forme d'une médaille, dite médaille Volney[6],[7].
En 1857 la Commission qui décerne le prix Volney est décrite comme « permanente et mixte; elle se compose de trois membres de l'Académie française; de trois membres de l'Académie des inscriptions et belles-lettres et d'un membre de l'Académie des sciences »[8]. Enrique Onffroy de Thoron (1887) auteur du Dictionnaire français-kichua rapporte que le Commission qui décidait du choix des candidats en 1887 était toujours composée de 7 membres nommés à vie alors que les membres des autres commissions étaient renouvelés. Il la qualifie de coterie à vie, et rapporte que Camille Doucet, secrétaire perpétuel de l'Académie française à l'époque lui aurait dit: « Depuis 25 ans que je suis secrétaire perpétuel de l'Académie, je n'ai jamais su comment se donne le prix Volney »[9].
Liste reconstitué par ordre chronologique sur la base de l'inventaire d'Amable Charles comte de Franqueville de l'origine à 1895[12] puis sur la base de la presse jusqu'à 1950. La fréquence des citations du prix Volnay dans la presse est importante de 1880 à 1943, elle est devenue marginale depuis 1945[13].
La date mentionnée est celle d'obtention du prix ou de la médaille et non celle de la publication. Le prix était souvent accordé à plusieurs lauréats et accompagné de mentions. Par exemple en 1867 le prix est partagé par deux colauréats: le Dictionnaire persan de Johann August Vullers (qui comprend un Appendice manuscrit) et le Compendium de la grammaire comparative des langues indo-germaniques par August Schleicher, la commission y ajoute une mention très-honorable, non mentionnée ici, à Hugo Schuchardt pour Le vocalisme du latin vulgaire[14].
Sur la période 1842-1860, Michel Bréal rédige une Notice sur le prix Volney à l'occasion de l'inauguration de la statue de Volney à Craon le 30 octobre 1898[15].
Guido Gœrres, Structura grammaticae linguse Hispanorum veterum indigenas id est Vasconicse philosophice explicata nec non comparalavariis tam Orientis quam Occidentis linguis (1830 et non Radigel mention honorable[19] comme mentionné par Charles de Franqueville[12])[20]
Richard Lepsius, Die Palaeographie als Mittel der Sprachforschung (1834)[23]
Après 1835, la portée du prix a été élargie aux travaux de transcription, aux ouvrages consacrés à la linguistique comparative et à l'histoire de la linguistique y compris dans les langues non indo-européennes[24]
Pierre-Étienne Du Ponceau (Peter Stephen Duponceau), Mémoire sur le système grammatical des langues de quelques nations Indiennes de l'Amérique du Nord (1835, publié en 1838)[25].
Adolphe Pictet, De l'affinité des langues celtiques avec le sanscrit (1836 publié en 1837)[26]
de Brière, Histoire du prix fondé par le comte de Volney[27] et Darel (prix partagé 1837)[28]
Jean-Bernard Mary-Lafon, Tableau historique et comparatif de la langue parlée dans le midi de la France et connue sous le nom de langue romano-provençale, prix partagé avec Jacques-Pierre Thommerel, Recherches sur la fusion du franco-normand et de l'anglo-saxon (1841)[30]
Anders Johan Sjögren, Ossetische Sprachlehre nebst kurzem Ossetisch-Deutschen und Deutsch-Ossetischen Wörterbuche[36] (Grammaire de la langue ossète) (1846)
Ernest Renan, Essai historique et théorique sur les langues sémitiques en général et la langue hébraïque en particulier (1847)[37]. Renan a obtenue son prix l'année où il est reçu premier à l’agrégation de philosophie[38].
Othon Roehrig, Researches in philosophical and comparative philology, chiefly with reference to the languages of central Asia (1848)[39]
Friedrich Max Müller, Comparative Philology of the Indo-European Languages, in its Bearing on the Early Civilisation of Mankind (1849)[40]
Albin de Chevallet, Études philologiques et historiques sur l'origine et la formation de la langue française (1850)
Salomon Munk, Notice sur Abul Walid Merwan ibn Djanah et d'autres grammairiens hébreux du Xe et du XIe siècles, 1850-1851.
Louis Gaussin, Du Dialecte de Tahiti, de celui des îles Marquises, et, en général, de la langue polynésienne[42] (1852)
Pierre Barrault et Ernest Grégoire, Traité des synonymes de la langue latine[43] (1853)[44]
Heymann Steinthal, Zur vergleichenden Erforschung der chinesischen sprache, et Léon Dessalles, Étude sur l'origine et la formation du roman et de l'ancien français (1854)[45]
Sigismund Wilhelm Koelle, Polyglotta africana, or a comparative vocabulary of nearly three hundred words and phrases, in more than one hundred distinct African languages, Grammar of the Bornu or Kanuri language, African native literature, or proverbs, tales, fables, and historical fragments in the Kanuri or Bornu language, Outline of the grammar of the vei language, together with a vei-english vocabulary (1855)
Comte Franz Xaver von Miklosisch, Vergleichende Formenlehre der slavischen Sprachen (1857)[8] - 3 mentions particulières sont accordées à Laurent Diefenbach, Glossarium latino-germanicum mediœ et infimœ œtatis, e codicibus manuscriptis et libris impressis; Léon de Rosny, Mémoire sur la nature et sur les origines de la langue chinoise; Jean-Bernard Lafon dit Mary-Lafon, Glossaire historique et comparatif du dialecte néo-latin parlé dans le bas Quercy. La commission annonce en 1857 qu'elle accordera une médaille d'or à un ouvrage de philologie comparée (en 1857 Alfred Maury avait publié La Philologie comparée, ses principes et ses applications nouvelles)[47]
Franz Bopp (traduction Michel Bréal) Grammaire comparée des langues sanscrite, zend, grecque, latine, lithuanienne, slave, gothique, et allemande (1866)[52]
Johann August Vullers, Dictionnaire persan, August Schleicher, Appendice manuscrit sur l'étymologie et August Schleicher, Compendium der vergleichenden Grammatik der indogermanischen Sprachen (Compendium de la grammaire comparative des langues indo-germaniques) (1867)[53]
R. Dozy et W.-H. Engelmann, Glossaire des mots espagnols et portugais dérivés de l'arabe (1869)
Johann August Vullers, Grammaire persane, Ascoli, Cours de phonologie comparée, et conjointement Graziadio Isaia AscoliLezioni di fonologia comparata del sanscrito, del greco e del latino (1870)
Joseph Halévy, Observations sur l'origine de l'alphabet phénicien, Observations sur l'épigraphie sémitique, Étude sur l'alphabet libyque et ses rapports avec l'alphabet phénicien (1871, 1872 et 1873)
Louis-Francis Meunier, Les Composés qui contiennent un verbe à un mode personnel en latin, en français, en italien et en espagnol (1873)
Guyard, Théorie nouvelle de la métrique arabe, précédée de considérations générales sur le rythme naturel du langage (1877)
Joseph Halévy, Essai sur les inscriptions du Safa (1878)
Auguste Dozon, Manuel de la langue chkipe ou albanaise, grammaire, chrestomathie, vocabulaire (1879)[54]
Alexandru de Cihac, Dictionnaire d'étymologie Daco-Romaine. Éléments latins comparés avec les autres langues romanes, Éléments slaves, magyars, turcs, grecs-moderne el albanais (1880)
James Darmesteter, à deux reprises : Grammaire historique de la langue persane (1881) et Chants populaires des Afghans (1890)
Victor Henry (linguiste)Étude sur l'analogie en général et sur les formations analogiques de la langue grecque (1883)
Henri Goelzer, Étude lexicographique et grammaticale de la latinité de Saint Jérôme (1884)[55]
Hugo Schuchardt, Slawo-deutsches und Slawo-italienisches (1885 ; déjà distingué en 1867 par la commission du prix Volney, bien que non lauréat, pour Le vocalisme du latin vulgaire[56])
Rémi Siméon, Dictionnaire de la langue nahuatl ou mexicaine (1886)[57]
La médaille d’or est partagée en 3: John Davidson, Notes on the Bashgali (kâfir) language; Gabriel Ferrand, Essai de grammaire malgache;Joseph Loth, La métrique galloise depuis les plus anciens textes jusqu'à nos jours (1903)
La médaille d’or est partagée en 3 : Gustave Huyghe, Dictionnaire français-kabyle; Paul Toscanne, Études sur la langue sumérienne; Julien Vinson, Manuel de la langue tamoule (1904)
Émile Boisacq, Dictionnaire étymologique de la langue grecque (1919), et une récompense à Albert Dauzat, Les argots de métiers franco-provençaux (1919)[83],[84]
Albert Cuny, Études prégrammaticales sur le domaine des langues indo-européennes et chamito-sémitiques (1920)[85], récompense à Gaston Esnault, Le Poilu tel qu'on le parle (1920)[86].
Pas de prix, une récompense à Milivoj Pavlovic, Le langage enfantin: acquisition du serbe et du français par un enfant serbe (1921)[87]
Pas de prix, une récompense à Jean Deny, Grammaire de la langue turque (dialecte osmanli) (1922)[88],[89]
André Vaillant, La langue de Dominko Zlataric, poète ragusain de la fin du XVIe siècle (1929)[97] - Récompenses à Michel Feghali pour la Syntaxe des parlers arabes actuels du Liban, et Jean Larrasquet, L'action de Vaccent dans révolution des consonnes étudiées dans le basque souletin[98].
Lilias Homburger, Les préfixes nominaux dans les parlers peul, haoussa et bantous (1930)[99]
André Martinet, La Gémination consonantique d'origine expressive dans les langues germaniques, et Jacques Soustelle, La famille Otomi-Pamé du Mexique central (1938)[106]
Raymond Jestin, Le verbe sumérien, déterminations verbales et infixes (1944)[112]
René Lafon, Le système du verbe basque au XVIe siècle et Le système des formes verbales à auxiliaire dans les principaux textes basques du XVIe siècle (1945)[113]
Alfred Jolivet et Fernand Mossé, directeurs de la Bibliothèque de philologie germanique pour les ouvrages publiés en 1945 et les années précédentes, no I, II et VIII (1946)[114]
Marguerite Durand, Voyelles longues et voyelles brèves. Essai sur la nature de la quantité vocalique, et Louis Hambis, Grammaire de la langue mongole écrite (1947)[115]
Louis Remacle, Le problème de l'ancien wallon (1948)
Henri Fournier Les verbes dire en grec ancien (1949)[116]
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