"Wings of Tranquility"
IATA | OACI | Indicatif d'appel |
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- | SOR | SONAIR |
Date de création |
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Basée à | Aéroport Quatro de Fevereiro |
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Taille de la flotte | 9 avions + 24 hélicoptères |
Nombre de destinations | 7 |
Siège social | Luanda |
Société mère | Sonangol |
Dirigeants | Alfredo Varo Kaputu (Directeur général), Gaspar Pai Querido Martins (CEO) |
Site web | www.sonairsarl.com |
La SonAir est une compagnie aérienne privée angolaise, filiale de la compagnie nationale pétrolière angolaise Sonangol. La compagnie figure sur la liste des compagnies aériennes interdites d'exploitation dans l'Union européenne.
En , le premier ministre britannique David Cameron se rend en Asie en empruntant un avion appartenant à la SonAir[1]. Ce choix provoque l'incompréhension, Cameron se rendant en Indonésie pour superviser la vente de jetliners fabriqués par Airbus[2].
En , SonAir devient l'actionnaire majoritaire à 51 % de STP Airways, entreprise de Sao Tomé-et-Principe spécialisée dans le transport[3]. En échange, l'Angola consent une ligne de crédit d'une hauteur de 180 millions de dollars à son homologue lusophone[4].
Depuis l'ouverture à la concurrence des lignes intérieures et la fin du monopole de la TAAG, la SonAir réalise des vols à destination de :
Sa flotte d'avions comprend :
La SonAir dispose aussi d'hélicoptères, qui sont un lien indispensable entre les plateformes pétrolières offshore et le continent, et utilise les modèles suivants :
SonAir est reconnue pour ses services auprès des compagnies pétrolières opérant en Angola, et réalise également des vols à la demande, en national ou à l'international.
Sonagesa est une filiale de SonAir domiciliée à Malabo, en Guinée équatoriale. Elle réalise de nombreux vols dans le golfe de Guinée. Les services proposés par Sonagesa sont principalement liés à l'activité pétrolière, l'exploitation offshore et d'autres activités dans la région. Elle exploite une liaison Malabo-Houston-Malabo (via Luanda) régulière.
Le , un hélicoptère de SonAir participant à une mission gouvernementale pour l'évacuation des accidentés de la route et transportant 6 passagers au total est déclaré disparu par la société[8]. L'hélicoptère est retrouvé 6 jours plus tard écrasé et brûlé, avec tous ses passagers morts à bord[9],[10].