la rivière Caramy traverse la commune en se faufilant dans des gorges remarquables accessibles au canal de Provence (ouvrage d'irrigation sans objet de transport fluvial) passe à la périphérie de la commune en croisant l'ancienne route de Marseille ;
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 6,5 jours de précipitations en janvier et 2,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montfort-sur-Argens_sapc », sur la commune de Montfort-sur-Argens à 18 km à vol d'oiseau[7], est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 789,3 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −11 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Ce village du centre-Var, est situé sur la RN 7 entre Saint-Maximin et Brignoles chef-lieu de canton[12]. Il est rendu célèbre dans les années 1960 par les bouchons monstrueux provoqués par les automobilistes lors des grands départs et retours de vacances d'été, avant la création de son contournement en 1968.
Des parcs de stationnement automobile au centre du village ont été aménagés pour absorber les afflux du transit automobile, dont un parc privé clos et télé-surveillé avec la municipalité de Tourves pour concessionnaire.
Une halte routière pour la desserte locale avec parc auto est établie au début des années 2010 en bout de l'avenue du Château sur l'ancienne RN 7. Une partie du parc auto est celle du musée de la Mine. Un autre partie est utilisée pour le service scolaire et l'accès aux gares ferroviaires d'Aix-en-Provence. Un parc fermé relais de bus et garage poids lourds de service le complète.
Au , Tourves est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13].
Elle appartient à l'unité urbaine de Tourves[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (59,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), cultures permanentes (9,7 %), zones urbanisées (3,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), terres arables (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le village n'a pas eu et n'a pas plus maintenant d'activité dans l'économie d'échanges fondant historiquement une ville. Son schéma des rues est celui de la liaison et de la dépendance avec le château et son domaine dans le fief et avec les lieux de culte (églises etc.), d'où son importance culturelle actuelle. L'urbanisme, le tissu urbain, est celui d'un village qui vit dans l'économie d'activité agricole non extensive avec des fermes à distance, jusqu'au XXe siècle compris.
Les rues structurant le village sont constituées avec des maisons à deux et trois étages à pignons contre pignons et façades sur rue en alignement, à partir du XVIe siècle jusqu'au XIXe siècle. Quelques loggias sous le toit de maisons en accentuent le caractère méridional. Cela constitue un épannelage assez remarquable avec les dénivellations du terrain et cela donne une marque de l'importance historique du village.
Des lotissements typiques du XXe siècle avec leurs voies privées en cul-de-sac ont constitué l'agrandissement urbain moderne due à l'activité des mines aux environs. Le mitage est typique de la croissance contemporaine de la petite agglomération avec la perte de son activité agricole qui se poursuit au XXIe siècle. Les quartiers qui se forment autour du centre dense en delà des voies de circulation importantes ont cependant pris en ce début de siècle un caractère respectant la structure urbaine réticulaire d'habitat même s'il est discontinu. Mais un quartier (village de vacances EDF conçu et créé en association avec la commune de Tourves) comportant piscine, cinéma en plein air, y a été bâti en 1986 en continuité de la structure d'agglomération centrée historique. Y compris la marque donnée par les fontaines du village : l'architecte en a créé trois. Ce quartier reste un espace privé soumis à un règlement particulier (interdit aux chiens et sans commerces par exemple).
Dans ce premier quart du XXIe siècle, Tourves est une commune résidentielle à profil de résidents vieillissants (d'inactifs à statut social très variable, de pauvre à aisé, et cohabitant) et Tourves est une commune de banlieue à une distance allant de moyenne à grande des centres d'activité employeurs et des centres hospitaliers et gériatriques.
Un centre à voies piétonnes de la petite agglomération a été ébauché au début du XXIe siècle avec un schéma de circulation automobile. Il comporte des contournements sur voies anciennes mises à sens unique et intègre des nouvelles voies d'évitement, ainsi que des parcs de stationnement établis sur des quartiers ayant fait l'objet d'un curetage urbain. L'opération globale associe la mise aux normes sanitaires des adductions d'eau d'immeubles par la municipalité et la réhabilitation globale constatée de fait, elle est due aux propriétaires des édifices d'habitat. Car c'est pour le marché immobilier le phénomène de situation de l'offre en zone attractive dans un centre historique homogène.
En matière d’urbanisme intercommunal, qui fixe les orientations générales et objectifs, la commune a contribué à l’élaboration du schéma de cohérence territoriale intercommunal (SCoT) de la communauté de communes Comté de Provence. À l’issue du diagnostic et de la définition des enjeux du territoire le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) Provence Verte Verdon a été approuvé le . Il est applicable depuis le [19].
En 1049, Pons, archevêque d’Aix, consacre l’église Saint-Étienne à Tourves, et le territoire environnant, y créant ainsi une sauveté qui constitue un asile pour les gens qui y vivent[20]
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre le duc Louis Ier d'Anjou. La communauté de Tourves se rallie au parti angevin en 1385, après la mort du duc et des négociations avec la régente Marie de Blois. Celle-ci accorde à la communauté le rattachement au domaine royal, ce qui signifiait relever d’un autre régime légal et fiscal[21].
Seigneurie des vicomtes de Marseille, des Baux, des Soletto au XIVe siècle, puis des Arcussia et Vintimille au XVIe siècle. Marquisat érigé en 1678 pour les Valbelle[24].
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Tourves fut un haut lieu de résistance, particulièrement surveillé par les autorités de Vichy[25].
Tourves est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[27],[28].
Elle appartient à l'unité urbaine de Tourves, une unité urbaine monocommunale[29] de 5 025 habitants en 2017, constituant une ville isolée.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].
Un projet de réutilisation par RFF/SNCF de la voie ferrée est en place : la desserte locale entre Aix-en-Provence et Toulon de la LGV Méditerranée (il est prévu en 2014 son usage vers 2025, il nécessite le rachat des gares locales dont celle de Tourves)[39].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].
En 2021, la commune comptait 5 160 habitants[Note 7], en évolution de +3,76 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
À Saint-Maximin (autre arrondissement administratif) se trouve le collège d'enseignement secondaire, sa desserte est faite dans le système des lignes d'autocar que gère le département. (Les bus utilisent la halte routière établie dans le nouveau schéma urbain),
L'agriculture (essentiellement viticulture, mais aussi à son époque les mûriers pour fabriquer de la soie naturelle comme dans tout le Sud de la France) a occupé la grande place jusque dans les années 1970. Il s'agissait en dehors du jardinage vivrier de culture des oliviers et d'arbres fruitiers de l'agriculture méditerranéenne.
La nouvelle cave-coopérative[49],[50] située hors de l'agglomération a été construite sur la commune, elle regroupe les viticulteurs de Tourves et Saint-Maximin.
Des haras (petits) se sont installés sur la commune de même que dans les communes des alentours. Le sport équestre dénote de l'intérêt de la population nouvellement installée pour les chevaux (cf. la course « Prix de Tourves » à Cagnes-sur-Mer). Les installations nouvelles pour des centres équestres et des haras se font en général sur les anciennes parcelles de vignoble, celles qui s'y prêtent.
Cette commune a été marquée par l'exploitation du plus important gisement mondial de minerai d'aluminium jusqu'à son abandon dans les années 1980. (Un musée de la mine, le musée des Gueules Rouges a été créé et ouvert au public en juin 2012 dans l'ancienne cave-coopérative de vin).
Le chemin de fer a servi à la mine avec sa gare à laquelle aboutissait le système classique des bennes sur câble. La voie qui a le statut de voie militaire stratégique est entretenue par RFF, bien que sans trafic dans ce premier quart du XXIe siècle. Sa continuité de réseau terrestre qui permet classiquement le support matériel de réseau d'information a servi en 2014 pour renforcer le réseau local de téléphonie de transport d'images et d'informations précédemment uniquement en réseau hertzien.
L'emploi localisé sur la commune autour du tout petit centre de Tourves est principalement celui de l'entreprise individuelle. Cependant Tourves fait partie de fait du bassin d'emploi de la métropole marseillaise mais aussi de la nébuleuse des emplois de l'aire urbaine continue constituée autour de Toulon sur la côte méditerranéenne proche. Ceci explique l'augmentation du segment habitant jeune de la population[Note 8].
L'église Notre-Dame-de-l’Annonciation (ou église de l'Annonciade). Elle se distingue par un clocher à campanile en fer forgé visible depuis une rue de traverse, une fontaine située à un angle de rue, et dans son intérieur un triptyque avec gloire plus deux reliquaires. Elle a été construite à partir de 1470.
La chapelle Notre-Dame-de-la-Salette est une chapelle construite en 1867 sur les vestiges d'une église du XIe siècle. Lieu de pèlerinage à Notre-Dame de la Salette, comme en témoignent les statues du jardin public attenant, celui-ci tombe dans l'oubli dans les années 1960. La chapelle finit par être fermée, les gravats s'amoncèlent, les vitraux sont détruits par des jets de pierre et les statues décapitées. Depuis 2018, elle fait l'objet d'une restauration sous l'impulsion du curé de Saint-Maximin-La Sainte-Baume et de bénévoles[56].
Les vestiges de la villa gallo-romaine de Muscapèu[72] située à 4 km au nord de Tourves.
Le jardin public.
La laiterie (réaménagée actuellement en habitat). Il s'agit d'un prototype d'époque illustrant la pensée de la production économique nouvelle (selon le modèle anglais). Construite par Joseph-Alphonse-Omer de Valbelle au XVIIe siècle, c'est une toute petite fabrique classique comportant à l'extérieur un véritable ciborium récupéré d'une église. Celle-ci avait été supprimée pour constituer le parc du château. Par l'architecture, l'histoire de la société est retracée : sur le tympan d'une baie, il fut placé cette inscription : A Grandeur trop souvent succède ignominie… De Temple que j’étais, église je devins, J’en conçus trop d’orgueil, on m’a faite écurie, Passant qui voit l’affront dont ma gloire est suivie, Apprends sans murmurer à céder au destin. Aux dires des villageois, cette plaque aurait été volée avant la fin du XXe siècle.
Les écuries du château.
Les 17 fontaines[73] érigées dans les rues anciennes autour de l'avenue au pied du château sont remarquables. Un intéressant système de canaux étroits suit le tracé des rues de traverse. Il reprend les techniques d'aménagement historiques venues par le Sud (Afrique, Espagne, Italie), pour des villages et des villes insérées dans la campagne environnante et ayant traditionnellement des périodes longues de sécheresse. La fontaine figurant un monumental « pot à l'antique » actuellement sur la place de la Mairie a été déplacée depuis le parc du château de Valbelle. Elle était sur le trajet de la voie principale devenue RN 7, à la Libération à la suite d'un accident cette fontaine a été ensuite encore déplacée sur la place. Sur cette voie principale, intégrée à l'ancien relais de poste, une fontaine du système mis en place dans le village par Joseph-Alphonse Omer de Vallebelle existe encore, sur la façade à côté de la porte cochère. La place du marché a ses deux extrémités marquées chacune par une fontaine de facture plus récente. Des fontaines ont été intégrées au quartier du village-vacances, dont la fontaine à cascades, réalisée place des Gueules-Rouges : une forme en béton style mouvement brutaliste, mais habillée.
Aujourd'hui à l'état de ruine[75], le château[76], construit à partir du Moyen Âge fut réaménagé par Joseph-Alphonse Omer de Valbelle qui en fit après sa prise de possession en 1765 une demeure de réception.
Un parc remplaça la partie du village située sur la colline, y compris les églises. Le parc[76] était constitué d'un espace ouvert à l'est, l'esplanade, l'ancien parc d'Auguste, et différents lieux-dits. Il s'étendait de part et d'autre du château, sur les terrasses en contrebas de la colline. Elles sont encore visibles par leurs vestiges.
Le comte de Valbelle Joseph-Alphonse-Omer de Valbelle[77], initié à la franc-maçonnerie selon le rite égyptien, fit construire une pyramide dans le parc du château vers 1770. La végétation ayant repris le dessus sur la colline du château, il faut pour la retrouver traverser quelques sous-bois. En partant du château elle se trouve environ 500 m direction nord-ouest. Elle n'est plus tronquée puisqu'elle a été restaurée en 2023.
Amoureux des arts, des lettres et du luxe, Joseph-Alphonse Omer de Valbelle fit construire la colonnade grecque (encore visible aujourd'hui) afin de recevoir divers artistes qui se produisaient devant cet édifice néo-classique.
Plus loin, en mémoire de son aïeul, Joseph-Alphonse Omer de Valbelle fit ériger une réplique de l'obélisque de Sextius[78] à Rome[79].
Tous ces repères du parc sont des fabriques de jardin, une pratique architecturale peu courante dans cette partie de la France.
Puis le château fut possédé par la famille de Castellane à la Révolution, et fut saisi comme bien d'émigré. Il servit plus tard de caserne avant de brûler en 1799. Le parc fut laissé intact sur ordre de la municipalité.
Le château fut mis aux enchères dans un état déplorable. Son nouvel acquéreur, un certain Mathieu Barbaroux, le laissa à l'abandon.
Le musée des Gueules Rouges retrace l’histoire de l’exploitation de la bauxite, activité minière qui a fortement marqué le territoire du centre Var[80].
Entre la fin du XIXe siècle et les années 1980, le Var a constitué le principal gisement de bauxite français et a tenu le rôle de leader mondial pendant plusieurs dizaines d'années. Minerai de base de l'aluminium, la bauxite devient l'or de la Provence.
Ouvert depuis le , le musée propose au visiteur de plonger dans une galerie de mine reconstituée pour voir au plus près comment travaillaient et vivaient les mineurs. Il propose aussi de parcourir deux étages consacrés à l'étude de la bauxite, de l'aluminium, ainsi qu'à la mémoire des anciens mineurs[81].
Nguyen Van Nghi, médecin acupuncteur, considéré comme le principal introducteur de l'acupuncture dans le monde occidental. Il repose dans le cimetière du village.
Léon d'Astros (Tourves, 1780 - Aix-en-Provence, 1863), écrivain de langue provençale et médecin, est né à Tourves le . Il a également été maire de Tourves de 1816 à 1819.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Tourves, par son unique magasin "tabac-loto-papeterie" est en 2014 en début de liste des records de vente concernant les bureaux de tabac en France. Son unique magasin d'alimentation à la fin du XXe siècle sur la place de la Mairie vient en ce début du XXIe siècle de voir réapparaître dans le centre à proximité la concurrence du commerce de produits banals d'une autre enseigne.
↑Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Les problèmes économiques et sociaux constatés dans l'Économie de marché présente dans ce premier quart du XXIe siècle dans les secteurs d'emploi (du bâtiment de la restauration et de l'agriculture) présents à Tourves qui est en déséquilibre économique local peuvent être abordés depuis Politique économique, Économie politique. (Les problématiques identiques selon ces secteurs d'activité du travail peuvent être abordées depuis Travail dissimulé en France).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Yann Codou, « Le paysage religieux et l'habitat rural en Provence de l'antiquité tardive au XIIe siècle », Archéologie du monde médiéval, tome 21, 2003, p. 50.
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN2-86535-070-3)