Lexington, Kentucky, Moosnick Medical and Science Museum, Transylvania University, 41 dessins de plantes médicinales achetés à Paris en 1839[5], cet ensemble fut sérieusement endommagé lors de l'incendie du bâtiment du Transylvania Medical College lors de la guerre de Sécession.
Riom, église paroissiale Saint-Amable, L'Adoration du Sacré-Cœur, 1831.
Roubaix, La Piscine, Tombeau de Gérard van Spaendonck, huile sur toile, 1830 1,60 x 1,19, l'artiste a représenté 90 espèces de fleurs.
Paris, musée du Louvre, Le Yucca gloriosa, huile sur toile, 1845, 0,65 × 0,54, tableau loué par Baudelaire.
Chazal dessina beaucoup d'effigies pour le graveur et éditeur Ambroise Tardieu, qui ne le mentionne pourtant pas dans ses estampes (voir en dessous les légendes des portraits), cf. Philippe Nusbaumer, « Antoine Chazal, 1793-1854, Vie et œuvre », chapitre Ambroise Tardieu, p. 556.
Il s'agit des envois de Chazal aux Salons de peinture et de sculpture, ce sont les œuvres acceptées par le jury, il y a eu un certain nombre d'œuvres refusées[6].
No 518 Intérieur d’un atelier de menuisier ; Portraits de famille.
1827
No 199 Strelitzia reginae, plante de la Nouvelle-Hollande ; aquarelle.
1831
No 315 Hommage à Gérard van Spaendonck ; tableau de fleurs
No 316 Lion et lionne de barbarie, âgés de trois ans ; étude faite d’après nature à la ménagerie du Jardin du Roi. ; Aquarelle.
1834
No 517 Chapeau de paille rempli de fleurs, et renversé sur une table de marbre
No 518 Portraits d’enfants dans un bois
No 519 Fruits et fleurs sur un tapis de velours ; aquarelle
No 520 Animaux peints à l’aquarelle pour le Muséum d’histoire naturelle, même numéro.
1835
No 363 Fleurs et fruits sur une table de marbre
No 364 Étude d’aigle, aquarelle
No 365 Portrait de femme
No 2471 Offrande à Flore ; lithographie d’après Vandaël.
1838
No 284 Fleurs
No 285 Fruits.
1839
No 345 Portrait d’enfant, aquarelle.
1840
No 254 Portraits de l’abbé D***
No 255 de M. E.
No 256 Portrait du général Washington en 1783.
1842
No 350 Le vaisseau le Friedland, avec une description du sujet
No 351 Fleurs et fruits d’automne, dans un vase étrusque et sur une table de marbre sarancolin : un kakatoès à huppe rouge s’effarouche à la vue d’un lézard
No 352 *Roses fuchsia et myosotis dans un vase en cristal
No 353 *Lion d’Alger, étude sur porcelaine.
1843 (dans le livret comme Alexis)
No 219 Groupe de roses dans un vase en cristal
No 220 Pêches, amandes et belle de jour, sur une table de marbre.
1844
(Dans le livret comme de feue Madame Bruyère et d’Antoine Chazal)
No 246 Groupe de fleurs et de fruits dans un vase d’albâtre oriental (M. I.) (avec feu Élise Bruyère), 1843, huile sur bois, 130 × 98,4 cm, acquis par l'État en 1843 et expédié l'année suivante à Valenciennes ; musée des Beaux-Arts de Valenciennes, sous le titre Fleurs et raisins[7],[8].
Comme de Chazal
No 331 Groupe de fleurs et de fruits dans un vase orné d’un bas relief
No 332 Portrait de M. E.
1845
No 311 Le Yucca gloriosa fleuri en 1844 dans le parc de Neuilly, (M.d. R.)
1846
No 361 Groupe de roses, jasmin jaune et myosotis
No 362 Panier de fruits.
1847
No 1727 Trois miniatures, même numéro : Portrait de M. Henri Boulay de la Meurthe, Portrait de M. B. L., Portrait de Mlle B. L.
1848
No 861, Portrait de Madame D
No 862 Portrait de madame B.
1849
No 373 Ruines du chœur de l’abbaye d’Ourscamp, département de l’Oise ; étude d’après nature
No 374 Ruine du vestibule de la chambre des morts à l’abbaye d’Ourscamp, département de l’Oise ; étude d’après nature
No 375 Portrait de Madame R.
1852
No 245 Jacqueline, étude de la chienne braque
No 246 Vue prise dans le parc de la Brosse, Saint-Ouen (Seine-et-Marne). (Appartient à M. de Viviers)
Gilbert Breschet, Recherches Anatomiques, Physiologiques et Pathologiques sur le système veineux, Paris, 1829, lithographies en couleur d'Engelmann d'après Antoine Chazal.
Jean Cruveilhier, Anatomie pathologique du corps humain (Paris, 1828-1842).
Jacques-Pierre Maygrier, Nouveaux élémens de la science et de l'art des accouchemens, Paris, Ed. Bechet. 1822, ouvrage illustré de 80 planches en taille-douce d'après Antoine Chazal. André Breton aurait connu ce livre et y aurait remarqué les planches consacrées au Toucher.
↑À propos de cet achat, un auteur récent prétend que Chazal se serait rendu au Kentucky, ce qui n'est pas prouvé, voir Nathalie Lemoine-Bouchard, Les Peintres en miniature actifs en France, 1650-1850, Ed. de l'Amateur, Paris, 2009, p. 158.
↑Ces œuvres refusées sont signalées par des documents d'archives conservés à Paris, jadis aux Archives des musées nationaux, maintenant aux Archives nationales.