Argentré (Mayenne)

Argentré
Argentré (Mayenne)
La mairie d'Argentré depuis 2007 (ancien presbytère).
Blason de Argentré
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Laval
Intercommunalité Laval Agglomération
Maire
Mandat
Christian Lefort
2020-2026
Code postal 53210
Code commune 53007
Démographie
Gentilé Argentréens
Population
municipale
2 873 hab. (2021 en évolution de +3,87 % par rapport à 2015)
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 05′ 03″ nord, 0° 38′ 29″ ouest
Altitude Min. 55 m
Max. 128 m
Superficie 36,77 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Argentré
(ville isolée)
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonchamp-lès-Laval
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Argentré
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Argentré
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Voir sur la carte topographique de la Mayenne
Argentré
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Argentré
Liens
Site web argentre.fr

Argentré est une commune française située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée au dernier recensement de 2021 de 2 873 habitants[Note 1] appelés les Argentréens.

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située sur une colline dominant la Jouanne.

Rive de la Jouanne.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 800 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1971 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records ARGENTRE (53) - alt : 107 m 48° 05′ 36″ N, 0° 39′ 06″ O
Records établis sur la période du 01-06-1971 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,4 3,2 4,7 8,3 10,9 12,7 12,4 10 7,9 4,2 2,1 6,7
Température moyenne (°C) 4,8 5,2 7,8 10 13,7 16,8 18,7 18,7 15,8 12,3 7,7 5,1 11,4
Température maximale moyenne (°C) 7,9 9 12,4 15,3 19,1 22,6 24,8 24,9 21,6 16,7 11,3 8,2 16,2
Record de froid (°C)
date du record
−16
08.01.1985
−14,5
10.02.1991
−11,3
01.03.05
−4,5
12.04.1986
−2
05.05.1979
1,2
01.06.06
4,5
12.07.00
3
29.08.1989
1,5
19.09.07
−4,5
30.10.1997
−8
23.11.1993
−10,6
29.12.05
−16
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
13.01.1993
20
27.02.19
23,5
20.03.05
27,4
15.04.15
31,5
27.05.05
37,5
26.06.1976
38,7
23.07.19
39,5
10.08.03
35
14.09.20
28
03.10.11
21,5
07.11.15
16,9
16.12.1989
39,5
2003
Précipitations (mm) 79,2 57,8 57,1 56,1 66 50,8 56,4 45 68 82,5 73,6 82,3 774,8
Source : « Fiche 53007001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , Argentré est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Argentré[Note 5], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[11]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,3 %), prairies (34,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), zones urbanisées (3,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Argentrato au IXe siècle[15]. Argentré remonte au type toponymique gaulois Argento-raton « fortification d'argent » latinisé en Argentoratum dans les textes (cf. Strasbourg ancien Argentoratum également)[15]. L'évolution phonétique est régulière ARGENTR-ATU a abouti à Argentr-é (cf. QUADRATU > carré, SACRATU> sacré, etc.). En revanche, beaucoup de noms de lieux de la région présentent une terminaison qui correspond à la variante régionale de la forme prise par le suffixe -(I)ACU, d'origine gauloise (-acon).

L'un des fours à chaux de la commune au lieu-dit Montroux.

En 1884, ont été découverts dans une carrière un trésor du IVe ou Ve siècle, une tombe riche d'un Romain, avec une sépulture en bois ferré, contenant deux bagues en or, trois bracelets en argent décorés, une chaînette en or fin en fil tressé, un vase de verre aux parois épaisses, une chevalière en or, un gobelet, verre fin en forme de tulipe, un gobelet en céramique et deux vases de poterie grise. Ils sont conservés au Musée archéologique départemental de Jublains.

Les fours à chaux du Rocher sont construits en 1843, éteints depuis 1980, deux fours sont détruits en 1987. Il existait antérieurement, au lieu-dit Montroux, un premier four à chaux dont les vestiges sont en assez bon état de conservation. L'autorisation avait été donnée en 1828 à Alexandre Patier de faire construire un four à chaux, alimenté au charbon de terre, au lieu appelé la Vallée de Montroux[16].

Le chemin de fer

[modifier | modifier le code]

Argentré était desservi par la ligne de chemin de fer départemental reliant Laval à Saint-Jean-sur-Erve. Cette ligne fut ouverte à l'exploitation le . À partir du 8 novembre 1934, le service fut transféré sur route. En 1935, seuls vingt-quatre trains spéciaux circulèrent sur la ligne qui fut définitivement fermée le 1er mai 1935. En 1902, la gare d'Argentré avait accueilli 16 118 voyageurs, ce qui en faisait la 2e gare la plus fréquentée de la ligne après Laval-Ville. La halte du Rocher, située dans la commune, avait accueilli 7 745 voyageurs cette même année[17].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Argentré Blason
Parti d'or à trois forces de sable, et de gueules à la croix dentelée d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1817 Ambroise Verger    
1817 1825 Denis Turmeau    
1825 1832 M. Berset d'Hauterive    
1832 1836 Mathurin Rousseau    
1836 1840 Paul Nourry    
1840 1850 Jean Baptiste Sébastien Gabriel Berset d'Hauterives    
1855 1864 M. Gaultier de la Villaudray    
1865 1871 Louis Augustin Paumard    
1871 1906 Henri Le Tourneurs du Val   Avocat, propriétaire
1906 1908 Auguste Fouquet   Propriétaire
1908 1925 Henri Le Tourneurs du Val   Propriétaire
1925 1959 François Brisard URD puis DVD Entrepreneur, conseiller général (1919 → 1940 puis 1945 → 1959)
1959 1983 René Brisard   Entrepreneur
1983 2001 Michel Descottes   Notaire
mars 2001[18] En cours Christian Lefort[19] SE Directeur de société

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 2 873 habitants[Note 7], en évolution de +3,87 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6001 4861 4801 4901 5911 7021 7021 7331 777
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7821 7451 6761 5641 5761 4581 4271 4681 414
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4561 4011 3301 2031 2011 1551 0781 1581 155
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0871 0431 2461 8442 1602 3252 4872 4802 681
2015 2020 2021 - - - - - -
2 7662 8312 873------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église paroissiale Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, dédiée à saint Cyr et à sa mère sainte Julitte, martyrs chrétiens du IVe siècle. Comme l’atteste une inscription, en 1460, la voûte, la nef et la charpente furent restaurées et les deux arcades latérales du chœur ainsi que les bas-côtés furent alors construits. En 1867, un appendice est ajouté à la sacristie. La façade romane a été démolie en 1901, remplacée par la façade actuelle ; la tour du clocher est alors refaite et les bas-côtés sont surélevés[24]. Elle est classée partiellement monument historique depuis l'arrêté du [25]. De l'époque romane, l'église a conservé le chœur (qui contient des fresques du XIIIe siècle), le transept et la tour située au sud de l’église. L'horloge du clocher a été installée vers 1875 par la société Lussault de Tiffauges en Vendée[26] et ce mécanisme, qu'il fallait remonter chaque jour, et désormais remplacé, est exposé dans le hall de la mairie.
  • Le château d'Hauterive.
  • La base de loisirs de l'étang des Alleux.

En 2014, Jean Echenoz place sa nouvelle Caprice de la reine – homonyme au recueil de sept intitulé Caprice de la reine – au centre d'une colline au lieu-dit le Pirli à Argentré de laquelle il effectue une description cinématographique à 360 degrés du paysage de la Mayenne qui l'entoure[27],[28].

En 2014 également, Aurélien Bellanger publie son second roman, L'Aménagement du territoire, et place l'intrigue dans une commune imaginaire, Argel, largement inspirée de la commune d'Argentré[29].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 151
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 53007001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Argentré », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Laval », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, DENLF, p. 26b.
  16. Archives départementales de la Mayenne, 5M 107.
  17. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, Éditions du Petit Pavé.
  18. « Christian Lefort a été réélu maire par 18 voix samedi », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  19. Réélection 2020 : « Argentré. Un 4e mandat de maire pour Christian Lefort », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. http://www.laval53000.fr/dans-le-departement/argentr%C3%A9/
  25. « Église paroissiale Saint-Cyr et Sainte-Julitte », notice no IA53001778, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=53007_2
  27. Caprice de la reine sur le site des éditions de Minuit.
  28. Caprice de la reine de Jean Echenoz par Patrick Grainville dans Le Figaro du 27 mars 2014.
  29. Aurélien Bellanger, L'Aménagement du territoire : roman, Paris, Gallimard, , 478 p. (ISBN 978-2-07-014607-9), première partie: I. Argel.